manuel de référence officieux de LaTeX2e (Août 2017)

Résumé du contenu

Table des matières

Suivant: , Monter: (dir)   [Table des matières][Index]

LaTeX2e : un manuel de référence officieux

Ce document est un manuel de référence officieux pour LaTeX2e, un système de préparation de document, dans sa version « Août 2017 ».


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

1 À propos de ce document

Ceci est un manuel de référence officieux pour le système LaTeX2e de préparation de document, ce système est mis en oeuvre sous forme d’un paquet de macros pour le programme de composition TeX (voir Overview). La page d’accueil de ce document est http://puszcza.gnu.org.ua/software/latexrefman/. Cette page contient des liens vers les produits courants de fabrication du document dans différents formats, les sources, les listes de diffusion, et d’autres infrastructures.

Dans ce document, on utilise principalement juste le terme « LaTeX » plutôt que « LaTeX2e », étant donné que la version précédente de LaTeX (2.09) est gelée depuis des dizaines d’années.

LaTeX est désormais maintenu par un groupe de bénévoles (http://latex-project.org). La documentation officielle écrite par le projet LaTeX est disponible à partir de leur site web. Le présent document est complètement officieux et n’a pas été examiné par les mainteneurs de LaTeX. Ne leur envoyez donc pas de rapports d’anomalie ou quoi que ce soit d’autre. Au lieu de cela, s’il vous plaît envoyez tous commentaires à latexrefman@tug.org.

Ce document est un manuel de référence. Il y a une vaste gamme d’autres sources d’information sur LaTeX, de tous niveaux. Voici quelques introductions :

http://ctan.org/pkg/latex-doc-ptr

Deux pages de références recommandées à LaTeX documentation.

http://ctan.org/pkg/first-latex-doc

Rédaction de votre premier document, avec un peu de texte et de mathématiques.

http://ctan.org/pkg/usrguide

Le guide pour les auteurs de documents maintenu par le projet LaTeX. Bien d’autres guides écrits par bien d’autres gens sont aussi disponibles, indépendamment du projet LaTeX ; l’article suivant en est un.

http://ctan.org/pkg/lshort

Une courte (?) indoduction à LaTeX, traduite en de nombreuses langues (traduction française : http://ctan.org/pkg/lshort-french).

http://tug.org/begin.html

Introduction au système TeX, y compris LaTeX, et plus amples références.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

2 Vue d’ensemble de LaTeX

Qu’est-ce que LaTeX?

LaTeX est un système de composition de document. Il fut à l’origine créé par Leslie Lamport et est desormais maintenu par un groupe de volontaires (http://latex-project.org). Il est largement utilisé, en particulier pour les documents complexes et techniques, tels que ceux impliquant des mathématiques.

Un utilisateur LaTeX écrit un fichier d’entrée contenant le texte d’un document avec des commandes qui y sont intercalées pour décrire comment le texte doit être formaté. LaTeX est mis en œuvre comme un ensemble de commandes liées s’interfaçant avec le programme de composition TeX de Donald E. Knuth (le terme technique est que LaTeX est un paquet de macros pour le moteur TeX). L’utilisateur produit le document de sortie en donnant ce fichier d’entrée au moteur TeX.

Le terme LaTeX est aussi parfois utilisé pour signifier le langage à balises dans lequel le code source du document est écrit, c.-à-d. pour signifier l’ensemble des commandes à la disposition d’un utilisateur de LaTeX.

Le nom LaTeX est l’abréviation de “Lamport TeX”. On le prononce LA-TÈQUE. Au sein du document, on produit le logo avec \LaTeX. Là où l’utilisation du logo n’est pas raisonnable, comme dans du texte brut, écrivez le ‘LaTeX’.


Suivant: , Monter: Overview   [Table des matières][Index]

2.1 Début et fin

Les fichiers LaTeX ont une structure globale simple, avec un début et une fin standards. Voici un exemple « Bonjour le monde » :

\documentclass{article}
\begin{document}
Bonjour le monde \LaTeX.
\end{document}

Ici ‘article’ et ce qu’on appelle la classe de document, implémentée dans une fichier article.cls. N’importe quelle classe de document peut être utilisée. Quelques classes de document sont définies par LaTeX lui-même, et un grand nombre d’autres sont largement disponibles. Voir Document classes.

Vous pouvez inclure d’autres commandes LaTeX entre les commandes \documentclass et \begin{document} (cette zone est appelée le préambule).

Le code \begin{document} ... \end{document} est ce qu’on appelle un environnement ; l’environnement ‘document’ (et aucun autre) est obligatoire dans tous les documents LaTeX (voir document). LaTeX fournit lui-même beaucoup d’environnements, et bien plus encore sont définis séparément. Voir Environments.

Les rubriques suivantes discutent de la façon de produire des PDF et d’autres format de sortie à partir d’un fichier d’entrée LaTeX.


Suivant: , Précédent: , Monter: Overview   [Table des matières][Index]

2.2 Fichiers de sortie

LaTeX produit un fichier de sortie principal et au moins deux fichiers accessoires. Le nom du fichier de sortie principal se termine soit en .dvi soit en .pdf.

.dvi

Si il est invoqué avec la commande système latex, alors il produit un fichier « DeVice Independent1 » (.dvi). Vous pouvez visualiser ce fichier avec une commande comme xdvi, ou le convertir en fichier PostScript .ps avec dvips ou en fichier « Portable Document Format2 » .pdf avec dvipdfmx. Un grand nombre d’autres progammes utilitaires DVI sont disponibles (http://mirror.ctan.org/dviware).

.pdf

Si LaTeX est invoqué avec la commande système pdflatex, parmi d’autres commandes (voir TeX engines), alors la sortie principale est un fichier “Portable Document Format” (.pdf). Typiquement, il s’agit d’un fichier autonome, avec toutes les polices et images incorporées.

LaTeX produit aussi au moins deux fichier supplémentaires.

.log

Ce fichier de transcription, ou fichier journal, contient des informations sommaires telles que la liste des paquetages chargés. Il contient aussi des messages de diagnostic et possiblement des informations supplémentaires concernant toutes erreurs.

.aux

De l’information auxiliaire est utilisée par LaTeX pour des choses telles que les doubles renvois. Par exemple, la première fois que LaTeX trouve un renvoi en aval — une double référence à quelque-chose qui n’est pas encore apparu dans le code source — il apparaîtra dans la sortie comme un double point d’interrogation ??. Quand l’endroit auquel le renvoi fait référence finit par appraître dans le code source, alors LaTeX écrit son information de localisation dans ce fichier .aux. À l’invocation suivante, LaTeX lit l’inforlation de localisation à partir de ce fichier et l’utilise pour résoudre le renvoi, en remplaçant le double point d’interrogation avec la localisation mémorisée.

LaTeX peut produire encore d’autres fichiers, caractérisés par la terminaison du nom de fichier. Ceux-ci incluent un fichier .lof qui est utilisé pour fabriquer la liste des figures, un fichier .lot utilisé pour fabriquer une liste des tableaux, et un fichier .toc utilisé pour fabriquer une table des matières. Une classe de document particulière peut en créer d’autres ; cette liste n’a pas de fin définie.


Suivant: , Précédent: , Monter: Overview   [Table des matières][Index]

2.3 Les moteurs TeX

LaTeX est défini comme un ensemble de commande qui sont exécutées par une implémentation TeX (voir Overview). Cette section donne une vue d’ensemble laconique des principaux programmes.

latex
pdflatex

Dans TeX Live (http://tug.org/texlive, si LaTeX est invoqué avec les commandes système latex ou pdflatex, alors le moteur pdfTeX est exécuté (http://ctan.org/pkg/pdftex). Selon qu’on invoque latex ou pdflatex, la sortie principale est respectivement un fichier .dvi ou un fichier .pdf.

pdfTeX incorpore les extensions qu’e-TeX apporte au programme original de Knuth (http://ctan.org/pkg/etex), ce qui inclut des caractéristiques supplémentaires de programmation et la composition bi-directionnelle, et a lui-même de nombreuses extentions. e-TeX est lui-même disponible par la commande système etex, mais le langage du fichier d’entrée est du TeX de base (et le fichier produit est un .dvi).

Dans d’autres distributions TeX, latex peut invoquer e-TeX plutôt que pdfTeX. Dans tous les cas, on peut faire l’hyptohèse que les extension e-TeX sont disponibles en LaTeX.

lualatex

Si LaTeX est invoqué avec la commandes systèmes lualatex, alors le moteur LuaTeX est exécuté (http://ctan.org/pkg/luatex). Ce programme permet que du code écrit dans le langage script Lua (http://luatex.org) intéragisse avec la compostion faite par TeX. LuaTeX traite nativement l’entrée en Unicode UTF-8, peut traiter les polices OpenType et TrueType, et produit un fichier .pdf par défaut. Il y a aussi dvilualatex pour produire un fichier .dvi, mais cela est rarement utilisé.

xelatex

Si LaTeX est invoqué avec la commandes système xelatex, le moteur XeTeX est exécuté (http://tug.org/xetex). Comme LuaTeX, XeTeX prend en charge nativement UTF-8 Unicode et les polices TrueType et OpenType, bien que l’implementation soit complètement différente, utilisant principalement des bibliothèque externe plutôt que du code interne. XeTeX produit un fichier .pdf en sortie ; il ne prend pas en charge la sortie DVI.

En interne, XeTeX crée un fichier .xdv file, une variante de DVI, et traduit cela en PDF en utilisant le programme (x)dvipdfmx, mais ce processus est automatique. Le fichier .xdv n’est utile que pour le débogage.

D’autres vairantes de LaTeX et TeX existent, par ex. pour fournir une prise en charge supplémentaires du japonais des d’autres langages ([u]pTeX, http://ctan.org/pkg/ptex, http://ctan.org/pkg/uptex).


Précédent: , Monter: Overview   [Table des matières][Index]

2.4 Syntaxe des commandes LaTeX

Dans le fichier d’entrée LaTeX, un nom de commande commence avec une contr’oblique, \. Le nom lui-même consiste soit en (a) une chaîne de lettres ou (b) une unique non-lettre.

Les noms de commandes LaTeX sont sensibles à la casse de sorte que \pagebreak diffère de \Pagebreak (ce dernier n’est pas une commande standarde). La plupart des noms de commandes sont en bas de casse, mais en tout cas vous devez saisir toutes les commandes dans la même casse où elles sont définies.

Une commande peut être suivie de zéro, un ou plus d’arguments. Ces arguments peuvent être soit obligatoires, soit optionnels. Les arguments obligatoires sont entre accolades, {...}. Les arguments optionnels sont entre crochets, [...]. En général, mais ce n’est pas universel, si la commande prend un argument optionnel, il vient en premier, avant tout argument obligatoire.

Au sein d’un argument optionnel, pour utiliser le crochet fermant (]) cachez le au sein d’accolades, comme dans \item[crochet fermant {]}]. De même, si un argument optionnel vient en dernier, sans argument obligatoire à sa suite, alors pour qie le premier caractère dans le texte suivant soit un crochet ouvrant, cachez le entre accolades.

LaTeX a la convetion que certaines commandes ont une forme en a * qui est en relation avec la forme sans le *, telles que \chapter et \chapter*. La différence exacte de comportement dépend de la commande.

Ce manuel décrit toutes les options accepté et les formes en * pour les commandes dont il traite (à l’exeption des omissions involontaires, ou bogues de ce manuel).


Suivant: , Monter: LaTeX command syntax   [Table des matières][Index]

2.4.1 Les environnements

Synopsis :

\begin{nom environnement}
  ...
\end{nom environnement}

Une zone du code source LaTeX, au sein de laquelle il y a un comportement différent. Par exemple, pour la poésie en LaTeX mettez les lignes entre \begin{verse} et \end{verse}.

\begin{verse}
    There once was a man from Nantucket \\
     ...
\end{verse}

Voir Environments pour une liste des environnements.

Le nom environnement au début doit s’accorder exactement avec celui à la fin. Ceci comprend le cas où nom environnement se termine par une étoile(*) ; l’argument à la fois de \begin et \end doit comprendre l’étoile.

Les environnements peuvent avoir des arguments, y compris des arguments optionnels. L’exemple ci-dessous produit un tableau. Le premier argument est optionnel (et implique de la table est alignée verticalement sur sa première ligne) alors que le second argument et obligatoire (il spécifie le format des colonnes).

\begin{tabular}[t]{r|l}
  ... lignes du tableau ...
\end{tabular}

Suivant: , Précédent: , Monter: LaTeX command syntax   [Table des matières][Index]

2.4.2 Les déclarations de commandes

Une commande qui change la valeur, ou change la signification, d’une autre commande ou paramètre. Par exemple, la commande \mainmatter change le réglage de la numérotation des pages en passant de numéros romains à des numéros arabes.


Précédent: , Monter: LaTeX command syntax   [Table des matières][Index]

2.4.3 \makeatletter et \makeatother

Synopsis :

\makeatletter
  ... définition de commande comprenant @ dans leur nom ..
\makeatother

Utilisé pour redéfinir des commandes internes de LaTeX. \makeatletter a pour effet que le caractère arobe @ ait le code de catégorie des lettres, c.-à-d. 11. \makeatother règle de code de catégorie de @ à 12, sa valeur d’origine.

À mesure que chaque caractère est lu par TeX pour LaTeX, un code de catégorie lui est assigné. On appelle aussi ce code catcode pour faire court. Par exemple, la contr’oblique \ reçoit le catcode 0, qui correspond aux catactères qui commencent une commande. Ces deux commandes altèrent le catcode assigné à @.

Cette altération est nécessaire parce que beaucoup des commandes de LaTeX utilisent @ dans leur nom, de sorte à empécher les utilisateurs de définir accidentellement une commande qui remplacerait l’une des commandes privées de LaTeX. Les noms de commandes consistent en un caractère de catégorie 0, d’ordinaire une contr’oblique, suivi de lettres, c.-à-d. des caractères de catégorie 11 (à ceci près q’un nom de commande peut aussi consister d’un catactère de catégorie 0 suivi d’un seul symbole non-lettre). Ainsi sous le régime par défaut de codes de catégorie, les commandes définies par l’utilisateur ne peuvent pas contenir de @. Mais \makeatletter et \makeatother permettent aux utilisateurs de définir et re-définir des commandes dont le nom comprend un @.

À utiliser dans un fichier .tex, dans le préambule. Ne pas utiliser dans des fichiers .sty ou .cls puisque les commandes \usepackage et \documentclass règlent le code de catégorie de l’arobe à celui d’une lettre.

Pour une liste complète des macros contenant un arobe dans leur nom, voir le document http://ctan.org/pkg/macros2e. Ces macros sont surtout à l’intention des auteurs de classes et de paquetages.

L’exemple ci-après est typique. Une commande \these@nomuniversite se trouve dans le fichier de classe de l’utilisateur. L’utilisateur veut changer sa définition. Pour cela, il suffit d’insérer les trois lignes suivantes dans le préambule, avant le \begin{document} :

\makeatletter
\renewcommand{\these@nomuniversite}{Université Lyon III Jean Moulin}
\makeatother

Suivant: , Monter: \makeatletter and \makeatother   [Table des matières][Index]

2.4.3.1 \@startsection

Synopsis :

\@startsection{nom}{niveau}{retrait}{avant}{après}{style}

Cette commande permet de redéfinir les commandes de rubricage telles que \section ou \subsection.

Notez que le paquetage titlesec rend la manipulation du rubricage plus facile. De plus, bien que la plupart des exigences concernant les commandes de rubricage peuvent être remplies avec \@startsection, ce n’est pas le cas de toutes. Par exemple, dans les classes LaTeX standardes book et report les commandes \chapter et \report ne sont pas construite de cette manière. Pour fabriquer une telle commande il est possible d’utiliser la commande \secdef.

Techniquement, cette commande a la forme :

\@startsection{nom}{niveau}{retrait}{avant}{après}{style}
    *[titretdm]{titre}

de sorte que faire :

\renewcommand{\section}{\@startsection{nom}{niveau}{retrait}%
     {avant}{après}{style}}

redéfinit \section en gardant sa forme standarde d’appel \section*[titretdm]{titre}. Voir Sectioning et les exemples plus bas.

nom

Nom du compteur (qui doit être défini séparément) utilisé pour numéroter le titre de rubrique. Ceux le plus communément utilisés sont section, subsection, ou paragraph. Bien que dans ces trois cas le nom du compteur soit le même que celui de la commande elle-même, utiliser le même nom n’est pas exigé.

Alors \thename affiche le numéro de titre, et \namemark sert aux en-têtes de page.

niveau

Un entier donnant la profondeur de la commande de rubricage, par ex. 0 pour chapter (ceci ne s’applique qu’aux classes standardes book et report), 1 pour section, 2 pour subsection, 3 pour subsubsection, 4 pour paragraph et 5 pour subparagraph. Dans les classes book et report, part a pour niveau -1, alors que dans la classe article, part a pour niveau 0.

Si niveau est inférieur ou égal à la valeur de secnumdepth alors les titres pour cette commande de rubricage sont numérotés. Par ex. dans un article, si secnumdepth vaut 1 alors une commande \section{Introduction} produira en sortie quelque chose du genre de 1 Introduction alors que \subsection{Historique} produit en sortie quelque chose du genre de Historique, sans numéro en préfixe. Voir Sectioning/secnumdepth.

Si niveau est inférieur ou égal à la valeur de secnumdepth alors la table des matières aura un article pour cette rubrique. Par exemple, dans un article, si tocdepth vaut 1 alors la table des matières listera les sections, mais pas les subsections.

retrait

Une longueur donnant le renfoncement de toutes les lignes du titre relativement à la marge. Pour un renfoncement nul, utilisez 0pt. Une valeur négative telle que -1em cause un débord du titre dans la marge.

avant

Longueur dont la valeur absolue est la longueur de l’espace vertical à insérer avant le titre de la rubrique. Cet espacement est ignoré si la rubrique commence au début d’une page. Si en plus avant est négatif, alors le premier paragraphe suivant immédiatement le titre n’est pas renfoncé, s’il est positif ou nul il l’est. (Notez que l’opposé de 1pt plus 2pt minus 3pt est -1pt plus -2pt minus -3pt).

Par exemple si avant vaut -3.5ex plus -1ex minus -0.2ex alors pour commencer la nouvelle rubrique, LaTeX ajoute environ 3,5 fois la hauteur d’une lettre x en espace veritical, et le premier paragraphe de la rubrique n’est pas renfoncé. Utiliser une longueur élastique, c.-à-d. comprenant plus et minus, est une bonne pratique ici car cela donne à LaTeX plus de latitude lors de la fabrication de la page.

La quantité totale d’espace vertical entre la ligne de base de la ligne précédant le titre de cette rubrique est la ligne de base du titre est la somme du \parskip dans la police du corps de texte, du \baselineskip de la police du titre, et de la valeur absolue de l’argument avant. Cet espace est typiquement élastique et peut se dilater ou se contracter. (Si la rubrique commence en début d’une page de sorte que cet espace soit ignoré, alors la ligne de base du titre correspond à la ligne de base qu’aurait la première ligne de texte sur cette page si celle-ci commençait par du texte).

après

Longueur. Lorsque elle est positive ou nulle, il s’agit de l’espace vertical à insérer après le titre de la rubrique. Lorsque elle est négative, alors le titre fait corps avec le paragraphe le suivant immédiatement. Dans ce cas la valeur absolue de la longueur donne l’espace horizontal entre la fin du titre et le début du paragraphe suivant. (Notez que l’opposé de 1pt plus 2pt minus 3pt est -1pt plus -2pt minus -3pt).

Comme c’est le cas avec avant, utiliser une longueur élastique avec des composantes plus et minus est une bonne pratique ici puisque elle donne à LaTeX plus de latitude pour assembler la page.

Si après est positif ou nul alors la quantité totale d’espace vertical entre la ligne de base du titre de la rubrique et la ligne de base de la première ligne du paragraphe suivant est la somme du \parskip de la police du titre, de \baselineskip de la police du corps de texte, et de la valeur de après. Cet espace est typiquement élastique de sorte qu’il puisse se dilater ou se contracter. (Notez que du fait que le signe d’après contrôle que le titre soit indépendant du texte le suivant, ou fasse corps avec lui, vous ne pouvez pas utiliser un après négatif pour annuler une partie du \parskip).

style

Contrôle le style du titre, voir les exemples plus bas. Les commandes typiquement utilisées ici sont \centering, \raggedright, \normalfont, \hrule, ou \newpage. La dernière commande au sein de style peut être une commande prenant un argument, telle que \MakeUppercase ou \fbox. Le titre de la rubrique est passé en argument à cette commande. Par exemple régler style à \bfseries\MakeUppercase a pour effet de produire des titres gras et en capitales.

Voici des exemples. Pour les utiliser mettez les soit au sein d’un fichier de paquetage ou de classe, ou placez les dans le préambule d’un document LaTeX entre des commandes \makeatletter et \makeatother. (Le message d’erreur You can't use `\spacefactor' in vertical mode. est le plus probable lorsque on oublie de faire cela). Voir \makeatletter and \makeatother.

L’exemple suivant redéfinit la commande de rubricage \section pour qu’elle centre le titre et le mette en gras :

\renewcommand\section{%
  \@startsection{section}% nom.
  {1}% niveau.
  {0pt}% retrait.
  {-3.5ex plus -1ex minus -.2ex}% avant.
  {2.3ex plus.2ex}% après.
  {\centering\normalfont\Large\bfseries}}% style.

Cet exemple met les titres de subsection en petites capitales, et leur fait faire corps avec le paragraphe suivant.

\renewcommand\subsection{%
  \@startsection{subsection}%  nom.
    {2}% niveau.
    {0em}% retrait.
    {-1ex plus 0.1ex minus -0.05ex}% avant.
    {-1em plus 0.2em}% après.
    {\scshape}% style.
  }

Les exemples précédents redéfinissait les commandes de titre de rubriques existantes. celui-ci en définit une nouvelle, illustrant la nécessité d’un compteur et de macros pour son affichage.

\setcounter{secnumdepth}{6}% affiche les compteur justqu'à ce niveau
\newcounter{subsubparagraph}[subparagraph]% compteur pour la
                                          % numérotation
\renewcommand{\thesubsubparagraph}%
   {\thesubparagraph.\@arabic\c@subsubparagraph}% comment afficher
                                                % la numérotation
\newcommand{\subsubparagraph}{\@startsection
                         {subsubparagraph}%
                         {6}%
                         {0em}%
                         {\baselineskip}%
                         {0.5\baselineskip}%
                         {\normalfont\normalsize}}
\newcommand*\l@subsubparagraph%
  {\@dottedtocline{6}{10em}{5em}}% pour la table des matières
\newcommand{\subsubparagraphmark}[1]{}% pour les en-têtes de page

Précédent: , Monter: \makeatletter and \makeatother   [Table des matières][Index]

2.4.3.2 \@ifstar

Vous l’avez sans doute remarqué, beaucoup d’environnements ou commandes standards de LaTeX existent sous une variante étoilée. Vous pouvez avoir envie de reprendre cette idée quand vous définissez vos commandes et arguments.

Si vous avez lu \newenvironment & \renewenvironment, vous aurez compris que c’est immédiat pour les environnements car l’étoile est un caractère autorisé dans les noms d’environnements. Il vous suffit donc de faire \newenvironment{monenv} et \newenvironment{monenv*} avec les définitions souhaitées.

Pour les commandes, c’est plus compliqué car l’étoile ne peut pas faire partie du nom de la commande. Il y aura donc une première commande, qui devra être capable de regarder si elle est ou non suivie d’une étoile et d’adapter son comportement en conséquence. Cette première commande ne pourra pas accepter d’argument, mais pourra faire appel à des commandes qui en acceptent. Par ailleurs, on utilise la commande \@ifstar interne du noyau LaTeX et vous pouvez vous reportez à « \makeatletter and \makeatother » pour comprendre pourquoi cela implique l’usage d’un bloc \makeatletter...\makeatother.

Dans cet exemple, on définit \ciel comme une commande avec un argument obligatoire et admettant une variante étoilée \ciel* également avec un argument obligatoire :

\makeatletter
\newcommand*\ciel@starred[1]{ciel #1 étoilé}
\newcommand*\ciel@unstarred[1]{ciel #1 non étoilé}
\newcommand\ciel{\@ifstar{\ciel@starred}{\ciel@unstarred}}
\makeatother

ainsi, \ciel{bleu} composera « ciel bleu non étoilé » tandis que \ciel*{nocturne} composera « ciel nocturne étoilé ».

Notez que les commandes intermédiaires \ciel@starred et \ciel@unstarred comportent un @ dans leur nom ce qui est possible puisque elles apparaissent au sein d’un bloc \makeatletter...\makeatother. Ceci assure qu’elles ne puissent pas être utilisées directement dans le document. L’utilisation de @ dans le nom comporte certes un risque de collision avec une commande interne du noyeau LaTeX, mais une telle collision est facile à détecter et corriger car \newcommand*{\cmd} vérifie que si la commande \cmd n’est pas déjà définie et génère une erreur si c’est le cas.

Voici un autre exemple où la commande \agentsecret comporte deux arguments et sa variante étoilée \agentsecret* un seul :

\makeatletter
\newcommand*\agentsecret@starred[1]{\textsc{#1}}
\newcommand*\agentsecret@unstarred[2]{\textit{#1} \textsc{#2}}
\newcommand\agentsecret{\@ifstar{\agentsecret@starred}{\agentsecret@unstarred}}
\makeatother

Avec cette définition la célèbre réplique de l’agent 007 :

Je m'appelle \agentsecret*{Bond}, \agentsecret{James}{Bond}.

est équivalente à :

Je m'appelle \textsc{Bond}, \textit{James} textsc{Bond}.

Un dernier mot : contrairement aux noms d’environnement où l’étoile fait partie du nom lui-même, et pourrait donc être à n’importe quelle position, dans le nom d’une commande l’étoile est comme une sorte d’argument optionnel. D’un point de vue purement TeXnique il est donc possible de mettre un nombre indéfini d’espaces entre la commande et l’étoile. Ainsi \agentsecret*{Bond} et \agentsecret *{Bond} sont équivalents. Toutefois la pratique commune est de ne jamais insérer de tels espaces.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

3 Classes de documents

La classe d’un document donné est définie avec la commande:

\documentclass[options]{classe}

La commande \documentclass doit être la première commande dans un fichier source LaTeX.

Les noms de classe LaTeX encastrés sont (beaucoup d’autres classes de documents sont disponibles en modules ; voir Overview):

article  report  book  letter  slides

Les options standardes sont décrites ci-dessous.


Suivant: , Monter: Document classes   [Table des matières][Index]

3.1 Options de classe de document

Vous pouvez spécifier ce qu’on appelle des d’options globales ou des des options de classe en les passant entre crochet à la commande \documentclass, comme d’habitude. Pour spécifier plus d’une option, séparez les par une virgule :

\documentclass [option1, option2, ...]{classe}

Voici la liste des options standardes de classe.

Toutes les classes standardes, sauf slides acceptent les options suivantes pour sélectionner la taille de police de caractères (l’option par défaut est 10pt):

12pt 11pt 10pt

Toutes les classes standardes acceptent ces options de sélection de la taille du papier (ci-après hauteur sur largeur) :

a4paper

210 sur 297mm (environ 8,25 sur 11,75 pouces)

a5paper

148 sur 210mm (environ 5,8 sur 8,3 pouces)

b5paper

176 sur 250mm (environ 6,9 sur 9,8 pouces)

executivepaper

7,25 sur 10,5 pouces

legalpaper

8,5 sur 14 pouces

letterpaper

8,5 sur 11 pouces (l’option par défaut)

LuaLaTeX, ou XeLaTeX (voir TeX engines), les options autres que letterpaper règlent la zone d’impression mais vous devez également régler la taille du papier physique. Un méthode pour faire cela est de placer \pdfpagewidth=\paperwidth et \pdfpageheight=\paperheight dans le préambule de votre document. Le paquetage geometry fournit des méthodes flexibles pour régler la zone d’impression et la taille du papier physique.

Diverses autres options:

draft, final

Pour marquer/ne marquer pas les boîtes trop pleines avec une grande boîte noire ; l’option par défaut est final.

fleqn

Pour aligner à gauches les formules hors texte ; par défaut elles sont centrées.

landscape

Pour sélectionner le format de page à l’italienne ; l’option par défaut est à la française.

leqno

Pour Mettre les numéros d’équation sur le côté gauche des équations ; par défaut ils sont sur le côté droit.

openbib

Pour utiliser le format bibliographie “openbib”.

titlepage, notitlepage

Indique si la page de titre est séparée ; l’option par défaut dépend de la classe.

Ces options ne sont pas disponibles avec la classe slides :

onecolumn
twocolumn

Composer en une ou deux colonnes ; le défaut est onecolumn.

oneside
twoside

Sélectionne la disposition en recto simple ou recto-verso ; le défaut est oneside pour recto, sauf pour la classe book.

Le paramètre \evensidemargin (\oddsidemargin) détermine la distance sur les pages de numéro pair (impair) entre le côté gauche de la page et la marge gauche du texte. Les valeurs par défaut varient en fonction de la taille du papier, de la disposition recto ou recto-verso sélectionnée. Pour une impression en recto le texte est centré, pour recto-verso, \oddsidemargin vaut 40% de la différence entre \paperWidth et \textwidth, \evensidemargin valant le reste.

openright
openany

Détermine si un chapitre doit commencer sur une page de droite ; défaut est openright pour la classe book.

La classe slide offre l’option clock pour l’impression du temps au bas de chaque note.


Suivant: , Précédent: , Monter: Document classes   [Table des matières][Index]

3.2 Ajout de paquetages

Les paquetages ajoutés paquo sont chargés comme ceci :

\usepackage[options]{paquo}

Pour spécifier plus d’un paquetage, vous pouvez les séparer par une virgule comme dans \usepackage{paquo1,paquo2,...}, ou utiliser plusieurs commandes \usepackage.

Toutes les options indiquées dans la commande \documentclass qui sont inconnues de la classe de document sélectionnée sont transmises aux paquetages chargés par \usepackage.


Précédent: , Monter: Document classes   [Table des matières][Index]

3.3 Construction des extensions (classes et paquetages)

Vous pouvez créer de nouvelles classes de document, et de nouveaux paquetages. Par exemple, si vos notes doivent répondre à des exigences locales, telles qu’une en-tête standarde pour chaque page, alors vous pourriez créer une nouvelle classe cmsnote.cls et commencer vos documents par \documentclass{cmsnote}.

Ce qui distingue un paquetage d’une classe de document c’est que les commandes d’une paquatage sont utilisables pour différentes classes alors que celles dans une classes de document sont spécifiques à cette classes. Ainsi, une commande qui permet de régler les en-têtes de pages irait dans un paquetage alors qu’une commande intitulant en-têtes de pages par Note du service de mathématique de la CMS irait dans une classe.

Au sein d’un fichier classe pour paquetate on peu utiliser l’arobe @ comme un caractère dans les noms de commande sans avoir à entourer le code contenant la commande en question par \makeatletter et \makeatother. Voir \makeatletter and \makeatother. Ceci permet de créer des commandes que les utilisateurs ne risquent pas de redéfinir accidentellement. Une autre technique est de préfixer les commandes spécifiques à une classe ou paquetage avec une chaîne particulière, de sorte à empêcher votre classe ou paquetage d’interférer avec d’autres. Par exemple, la classe notecms pourrait avoir des commandes \cms@tolist, \cms@fromlist, etc.


Suivant: , Monter: Class and package construction   [Table des matières][Index]

3.3.1 Structure d’une extension (classe ou paquetage)

Un fichier de classe pour paquetage comprend typiquement quatre parties.

  1. Dans la partie d’identification le fichier dit s’il s’agit d’un paquetage ou d’une classe LaTeX et s’auto-décrit, en utilisant les commandes \NeedsTeXFormat et \ProvidesClass ou \ProvidesPackage.
  2. La partie des déclarations préliminaires déclare des commandes et peut aussi charger d’autres fichiers. D’ordinaire ces commandes sont celles nécessaires au code utilisé dans la partie suivante. Par exemple, une classe notecms pourrait être appelée avec une option pour lire un fichier où est défini une liste de personnes désignées comme destinataires de la note, comme \documentclass[destinataires-math]{notecms}, et donc on a besoin de définir une commande \newcommand{\defdestinataires}[1]{\def\@liste@destinataires{#1}} à utiliser dans ce fichier.
  3. Dans la partie de gestion des options la classes ou le paquetage déclare et traite ses options. Les options de classes permette à l’utilisateur de commencer leur document comme dans \documentclass[liste d'options]{nom de la classe}, pour modifier le comportement de la classe. Un exemple est lorsque on déclare \documentclass[11pt]{article} pour régler la taille par défaut de la police du document.
  4. Finalement, dans la partie des déclarations supplémentaires la classe ou le paquetage effectue la plus grosse partie de son travail : déclarant de nouvelles variables, commandes ou polices, et chargeant d’autres fichiers.

Voici le commencement d’un fichier de classe, ce qui doit être sauvegardé comme souche.cls à un emplacement où LaTeX peut le trouver, par exemple dans le même répertoire que le fichier .tex.

\NeedsTeXFormat{LaTeX2e}
\ProvidesClass{souche}[2017/07/06 souche à partir de laquelle contruire des classes]
\DeclareOption*{\PassOptionsToClass{\CurrentOption}{article}}
\ProcessOptions\relax
\LoadClass{article}

Elle s’auto-identifie, traite les options de classe par défaut en les passant toutes à la classe article, et puis charge la classe article de sorte à fournir la base du code de cette classe.

Pour plus d’information, voir le guide officiel pour les auteurs de classes et de paquetage, le « Class Guide », http://www.latex-project.org/help/documentation/clsguide.pdf (la plupart des descriptions faites ici s’inspirent de ce document), ou l’article suivant https://www.tug.org/TUGboat/tb26-3/tb84heff.pdf illutrant la construction d’une nouvelle classe.


Précédent: , Monter: Class and package construction   [Table des matières][Index]

3.3.2 Commande pour extension (classe ou paquetage)

Voici les commandes conçues pour aider les auteurs d’extension (classes ou paquetages).

\AtBeginDvi{specials}

Sauvegarde dans une registre de boîte des choses qui sont à écrire dans le fichier .dvi au début de l’achèvement de la première page du

document.

\AtEndOfClass{code}
\AtEndOfPackage{code}

Crochet pour inséer le code à exécuter lorsque LaTeX termine le traiement de la classe ou du paquetage courants. On peut utiliser ces crochet plusieurs fois ; le code sera exécuté dans l’ordre d’appel. Voir aussi \AtBeginDocument.

\CheckCommand{cmd}[num][défaut]{définition}
\CheckCommand*{cmd}[num][défaut]{définition}

Similaire à \newcommand (voir \newcommand & \renewcommand) mais ne définit pas cmd ; à la place vérifie que la définition actuelle de cmd est exactement celle donnée par définition et est ou n’est pas longue selon ce que l’on attend. Une commande est dite longue lorsque elle accepte \par au sein d’un argument. On attend que la commande cmd soit longue avec la version non-étoilée de \CheckCommand. Lève une erreur en cas d’échec de la vérification. Ceci vous permet de vérifier avant de redéfinir vous-même cmd qu’aucun paquetage ne l’a pas déjà fait.

\ClassError{nom de la classe}{texte de l'erreur}{texte d'aide}
\PackageError{nom du paquetage}{texte de l'erreur}{texte d'aide}
\ClassWarning{nom de la classe}{warning text}
\PackageWarning{nom du paquetage}{warning text}
\ClassWarningNoLine{nom de la classe}{warning text}
\PackageWarningNoLine{nom du paquetage}{warning text}
\ClassInfo{nom de la classe}{info text}
\PackageInfo{nom du paquetage}{info text}
\ClassInfoNoLine{nom de la classe}{info text}
\PackageInfoNoLine{nom du paquetage}{info text}

Porduit un message d’erreur, ou des messages d’avertissement ou d’information.

Pour \ClassError et \PackageError le message est texte de l’erreur, suivi de l’invite d’erreur ? de TeX. Si l’utilisateur demande de l’aide en tapant h, il voit le texte d’aide.

The four warning commands are similar except that they write warning text on the screen with no error prompt. The four info commands write info text only in the transcript file. The NoLine versions do not show the number of the line generating the message, while the other versions do show that number.

Pour formatter les messages, y compris le texte d’aide : utilisez \protect pour empêcher une commande de se sévelopper, obtenez un saut de ligne avec \MessageBreak, et obtenez une espace avec \space lorsque l’utilisation d’un caractère espace ne le permet pas, comme après une commande. Notez que LaTeX ajoute un point final à chaque message.

\CurrentOption

Se développe au contenu de l’option en cours de traitement. Peut uniquement être utilisé au sein de l’argument code soit de \DeclareOption, soit de \DeclareOption*.

\DeclareOption{option}{code}
\DeclareOption*{option}{code}

Rend un option option disponible pour l’utilisateur, de sorte à ce qu’il puisse la passer à leur commande \documentclass. Par exemple, la classe notecms pourrait avoir une option logo pour mettre le logo de leur organisation sur la première page avec \documentclass[logo]{notcms}. Le fichier de classe doit contenir \DeclareOption{logo}{code} (et plus loin, \ProcessOptions).

Si vous invoquez une option qui n’a pas été déclarée, par défaut cela produit une avertissement semblable à Unused global option(s): [badoption]. Vous pouvez changer ce comportement avec la version étoilée \DeclareOption*{code}. Par exemple, beaucoup de classeq étendent une classe existante en utilisant une déclaration du genre \LoadClass{article}, et pour passer les options suppémentaires à la classe sous-jascente utilisent un code tel que celui-ci :

\DeclareOption*{%
\PassOptionsToClass{\CurrentOption}{article}%
}

Un autre exemple est que la classes notecms permette aux utilisateur de tenir des listes de destinataire des notes dans des fichier externes. Par exemple l’utilisateur invoque \documentclass[math]{notecms} et la classe lit le fichier math.memo. Ce code gère le fichier s’il existe et sinon passe l’option à la classe article.

\DeclareOption*{\InputIfFileExists{\CurrentOption.memo}{}{%
    \PassOptionsToClass{\CurrentOption}{article}}}
\DeclareRobustCommand{cmd}[num][défaut]{définition}
\DeclareRobustCommand*{cmd}[num][défaut]{définition}

Similaire à \newcommand et \newcommand* (voir \newcommand & \renewcommand) mais déclare une commande robuste, même si définition comprend du code fragile. (Pour une discussion sur les commandes robustes et fragiles voir \protect). Utilisez ces commande pour définir de nouvelles commandes robustes, ou redéfinir des commandes existantes en les rendant robustes. Contrairement à \newcommand elle ne produisent pas d’ereru si la macro cmd existe déjà ; au lieu de cela un message est écrit dans le fichier journal pour indiquer la redéfinition de la commande.

Les commandes définies de cette manière sont légèrement moins efficace que celle définies avec \newcommand, c’est pourquoi, à moins que le contenu de la commande soit fragile et que la commande soit utilisée au sein d’un argument mouvant, utilisez \newcommand.

\newrobustcmd, \newrobustcmd*, \renewrobustcmd, \renewrobustcmd*, \providerobustcmd, et \providrobustcmd* qui sont similaire aux commandes standardes \newcommand, \newcommand*, \renewcommand, \renewcommand*, \providecommand, et \providcommand*, mais définissent une commande cmd robuste avec deux advanges par rapport à \DeclareRobustCommand :

  1. Elle utilisent un mécanisme de protection de bas niveau d’e-TeX au lieu du mécanisme de plus au niveau de LaTeX utilisant \protect, ainsi elles ne subissent pas la légère perte de performance mentionnée plus haut, et
  2. Elles font la même distinction entre \new…, \renew…, et \provide… que les commandes standardes, ainsi elle ne font pas qu’envoyer un message dans le journal lorsque vous redéfinissez cmd déjà existantes, dans ce cas vous devez utiliser soit \renew… soit \provide… ou il y a une erreur.
\IfFileExists{nom fichier}{si vrai}{si faux}
\InputIfFileExists{nom fichier}{si vrai}{si faux}

Exécute si vrai sf LaTeX peut trouver le fichier nom fichier et si faux sinon. Dans le second cas, le fichier est lu immédiatement aprus exécuter si vrai. Ainsi \IfFileExists{img.pdf}{\includegraphics{img.pdf}}{\typeout{AVERSTISSEMENT : img.pdf introuvable}} n’inclut le graphique img.pdf que s’il est trouvé, mais autrement produit seulement un avertissement.

Cette commande cherche le fichier dans tous les chemin de recherche que that LaTeX utilise, et non pas seulement dans le répertoire courant. Pour chercher uniquement dans le répertoire courant faites quelque-chose du genre de \IfFileExists{./nom fichier}{si vrai}{si faux}. Si vous demandez un fichier dont le nom n’a pas d’extension .tex alors LaTeX commencera par chercher le fichier en apposant .tex à son nom ; pour plus ample information sur la façon dont LaTeX gère les extensions de nom de fichier voir \input.

\LoadClass[liste d'options]{nom de la classe}[date de parution]
\LoadClassWithOptions{nom de la classe}[date de parution]

Charge une classe, comme avec \documentclass[options list]{nom de la classe}[release info]. Voici un exemple : \LoadClass[twoside]{article}.

La liste d’options, si présente, est une liste ponctuée par des virgules. La date de parution est optionnel. Si elle est présente, elle doit avoir le format AAA/MM/JJ. Si vous demandez une date de parution et que la date du paquetage installée sur votre sysème est antérieure, alors vous obtiendrez un avertissement à l’écrant et dans le journal de compilation du genre de You have requested, on input line 4, version `2038/01/19' of document class article, but only version `2014/09/29 v1.4h Standard LaTeX document class' is available.

La variante de la commande \LoadClassWithOptions utilise la liste des options de la classe courante. Cela veut dire qu’elle ignore toute options passée via \PassOptionsToClass. Ceci est une commande de commodité qui vous permet de construire une nouvelle classe en l’héritant d’une classe existante, telle que la classe standarde article, sans avoir à gérer les options qui furent passée.

\ExecuteOptions{liste d'options}

Pour chaque option option de la liste d’options, dans l’ordre d’apparition, cette commande exécute la commande \ds@option. Si cette commande n’est pas définie, alors l’option option est ignorée.

Ceci peut être utilisé pour fournir d’un liste d’option par défaut avant le \ProcessOptions. Par exemple, si dans un fichier de classe vous désirez utiliser par défaut la taille de police 11pt alors vous devriez spécifier \ExecuteOptions{11pt}\ProcessOptions\relax.

\NeedsTeXFormat{format}[date du format]

Spécifie le format sous lequelle cette classe doit être utilisée. Cette directive est souvent donnée à la première ligne du fichier de classe, et le plus souvent elle est utilisée de cette façon : \NeedsTeXFormat{LaTeX2e}. Lorsque un document utilisant cette classe est traité, le nom du format donné ici doit s’accorder avec le format qui est en cours d’exécution (y compris le fait que la chaîne format est sensible à la casse). Si il ne s’y accorde pas alors l’exécution est interrompue par une erruer du genre de ‘This file needs format `LaTeX2e' but this is `xxx'.

Pour spécifier une version du format dont vous savez qu’elle prend en charge certaines fonctions, incluez l’argument optionnel date du format correspondant au format où ces fonction furent implémentés. Si cette argument est présent il doit être de la forme AAAA/MM/JJ. Si la version de format installée sur votre système est antérieur à la date du format alors vous obtiendrez un avertissement du genre de ‘You have requested release `2038/01/20' of LaTeX, but only release `2016/02/01' is available.

\OptionNotUsed

Ajoute l’option courante à la liste des options non utilisées. Ne peut être utilisé qu’au sein de l’argument code de \DeclareOption ou \DeclareOption*.

\PassOptionsToClass{liste d'options}{nom de la classe}
\PassOptionsToPackage{liste d'options}{nom du paquetage}

Ajoute les options de la liste ponctuée par des virgules option list aux options utilisée par toute commande ultérieure \RequirePackage ou \usepackage pour le paquetage nom du paquetage ou la classe nom de la classe.

La raison d’être de ces commande est que vous pouvez charger un paquetage autant de fois que vous le voulez sans options, mais que si voulez passer des options alors vous ne pouvez les fournir qu’au premier chargement. Charger un paquetage avec des options plus d’une fois produit une erreur du genre de Option clash for package toto. (LaTeX lance l’erreur même s’il n’y a pas de conflit entre les options.)

Si votre propre code introduit un paquetage deux fois alors vous pouvez réduire cela en une fois, par exemple en remplaçant les deux \RequirePackage[landscape]{geometry}\RequirePackage[margins=1in]{geometry} par un seul \RequirePackage[landscape,margins=1in]{geometry}. Mais si vous chargez un paquetage qui à son tour en charge un autre alors vous devez mettre en queue les options que vous désirez pour cet autre paquetage. Par exemple, supposons que le paquetage toto charge le paquetage geometry. Au lieu de \RequirePackage{toto}\RequirePackage[draft]{graphics} vous devez écrire \PassOptionsToPackage{draft}{graphics} \RequirePackage{toto}. (Si toto.sty charge une option en conflit avec ce que vous désirez alors vous devrez considérer une modification de son code source.)

Ces commandes sont également utiles aux utilisateurs de base et pas seulement aux auteurs de classes et paquetage. Par exemple, supposons qu’un utilisateur veuille cherge le paquetage graphicx avec l’option draft et veuille également utiliser une classe toto qui charge le paquetage graphicx, mais sans cette option. L’utilisateur peut commencer son fichier LaTeX avec \PassOptionsToPackage{draft}{graphicx}\documentclass{toto}.

\ProcessOptions
\ProcessOptions*\@options

Exécute le code associé à chaque option que l’utilisateur a invoquée. À include dans le fichier classe sous la forme \ProcessOptions\relax (à cause de l’existance de la variant étoilée de la commande).

Les options tombent dans deux catégories. Les options locales sont spécifiées pour un paquetage particulier au sein de l’argument options dans \PassOptionsToPackage{options}, \usepackage[options], ou \RequirePackage[options]. Les options globales sont celles données par l’utilisateur de la classe dans \documentclass[options]. (Si une option est spécifiée à la fois localement et globalement, alors elle est locale).

Lorsque \ProcessOptions est appelé pour un paquetage pkg.sty, il se produit ce qui suit :

  1. Pour chaque option option déclarée jusqu’à ce point avec \DeclareOption, LaTeX examine si cette option est soit globale soit locale pour pkg. Si c’est le cas, il exécute le code déclaré. Ceci est fait dans l’ordre de passage de ces options à pkg.sty.
  2. Pour chaque option locale restante, il exécute la commande \ds@option si elle a été défini quelque-part (autrement que par un \DeclareOption) ; sinon, il exécute le code de traitement par défaut des options donné dans \DeclareOption*. Si aucun code de traitement par défaut n’a été déclaré, il produit un message d’erreur. Ceci est fait dans l’ordre dans lequel ces options ont été spécifiées.

Lorsque \ProcessOptions est appelé pour une classe il fonctionne de la même manière à ceci près que toutes les options sont locales, et que le code par défaut pour \DeclareOption* et \OptionNotUsed plutôt qu’une erreur.

La version étoilée \ProcessOptions* exécute le traitement des options dans l’ordre spécifié par les commandes appelante, plutôt que dans l’ordre de déclaration de la classe ou du paquetage. Pour un paquetage, ceci signifie que les options globales sont traitées en premier.

\ProvidesClass{nom de la classe}[date de parution brève information supplémentaire]
\ProvidesClass{nom de la classe}[date de parution]
\ProvidesPackage{nom du paquetage}[date de parution brève information supplémentaire]
\ProvidesPackage{nom du paquetage}[date de parution]

Indentifie la classe ou le paquetage, en tapant un message sur la console et dans le fichier journal.

Lorsqu’un utilisateur écrit \documentclass{notecms} alors LaTeX charge le fichier notecms.cls. De même, un utilisateur écrivant \usepackage{essai} invite LaTeX à charger le fichier essai.sty. Si le nom du fichier ne s’accorde pas à l’argument nom de la classe ou nom du paquetage alors un avertissement est produit. Ainsi, si vous invoquez \documentclass{notecms}, et que le fichier the file notecms.cls comprend la déclaration statement \ProvidesClass{xxx} alors vous obtiendrez un avertissement du genre de like You have requested document class `notecms', but the document class provides 'xxx'. Cet avertissement n’empèche pas LaTeX de traiter le reste du fichier de la classe normalement.

Si vous incluez l’argument optionnel, alors vous devez inclure la date, avant le premier espace s’il y en a, et elle doit avoir le format AAAA/MM/JJ. Le reste de l’argument est en format libre, toutefois il identifie traditionnellement la classe, et est écrit pendant la compilation à l’écran et dans le journal. Ainsi, si votre fichier notecms.cls contient la ligne \ProvidesClass{smcmem}[2008/06/01 v1.0 Classe note CMS] la première ligne de votre docment est \documentclass{notecms} alors vous pourrez voir Document Class: notecms 2008/06/01 v1.0 Classe note CMS.

La date dans l’argument optionnel permet aux utilisateurs de classe et de paquetage de demander à être avertis si la version de la classe ou du paquetage installé sur leur système est antérieur à date de parution, en utilisant les arguments optionnels comme dans \documentclass{smcmem}[2018/10/12] ou \usepackage{toto}[[2017/07/07]]. (Notez que les utilisateurs de paquetages incluent seulement rarement une date, et les utilisateurs de classe presque jamais).

\ProvidesFile{nom fichier}[information supplémentaire]

Déclare un fihcier autre que les fichiers principaux de classe ou de paquetage, tel qu’un fichier de configuration ou un fichier de définition de police. Mettez la commande dans ce fichier et vous obtiendrez dans le journal une information du genre de File: essai.config 2017/10/12 fichier de configuration pour essai.cls lorsque nom fichier vaut ‘essai.config’ et que information supplémentaire vaut ‘2017/10/12 fichier de configuration pour essai.cls’.

\RequirePackage[liste d'options]{nom du paquetage}[date de parution]
\RequirePackageWithOptions{nom du paquetage}[date de parution]

Charge un paquetage, comme la commande \usepackage pour les auteurs de documents. Voir Additional packages. Voici un exemple : \RequirePackage[landscape,margin=1in]{geometry}. Notez que l’équipe de développement de LaTeX recommande fortement l’utilisation de ces commande de préférence à l’\input de Plain TeX ; voir le « Class Guide ».

La liste d’options, si présente, est une liste ponctuée de virgules. La date de parution, si présente, doit avoir le format AAAA/MM/JJ. Si la date de parution du paquetzge tel qu’il est installé sur votre systèlme est antérieur à date de parution alors vous obtiendrez un avertissement du genre de You have requested, on input line 9, version `2017/07/03' of package jhtest, but only version `2000/01/01' is available.

La variante \RequirePackageWithOptions utilise la liste d’options de la classe courtante. Ceci implique qu’elle ignore toute option passée à la classe via \PassOptionsToClass. C’est une commande de commodité pour permettre facilement de construire des classes sur des classes existantes sans avoir à gérer les options qui sont passées.

La différence entre \usepackage et \RequirePackage est mince. La commande \usepackage est à l’intention du fichier document alors que \RequirePackage l’est à celle des fichiers paquetage ou classe. Ansi, utiliser \usepackage avant la commande \documentclass amène LaTeX à produire une erreur du genre de \usepackage before \documentclass, là où vous pouvez utiliser \RequirePackage.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

4 Polices de caractères

Deux aspects importants de la sélection d’une police sont la spécification d’une taille et celle d’un style. Les commandes LaTeX pour ce faire sont décrites ci-après.


Suivant: , Monter: Fonts   [Table des matières][Index]

4.1 styles des polices

Les commandes de styles suivantes sont prises en charge par LaTeX.

Ce premier groupe de commandes est généralement utilisé avec un argument, comme dans \textit{texte en italique}. Dans le tableau ci-dessous, la commande correspondante entre parenthèses est la « forme déclarative », qui ne prend pas arguments. La portée la forme déclarative s’étend jusqu’à la prochaine commande de type style ou jusqu’à la fin du groupe actuel.

Ces commandes, à la fois dans la forme à argument et dans la forme déclarative, sont cumulatives ; par exemple, vous pouvez dire aussi bien \sffamily\bfseries que \bfseries\sffamily pour obtenir du gras sans serif.

Vous pouvez également utiliser une forme de déclaration par environnement ; par exemple, \begin{ttfamily} … \end{ttfamily}.

Ces commandes fournissent automatiquement une correction d’italique si nécessaire.

\textrm (\rmfamily)

Romain.

\textit (\itshape)

Italique.

\emph

Accent (commute entre \textit et \textrm selon le contexte).

\textmd (\mdseries)

Poids moyen (par défaut).

\textbf (\bfseries)

Gras.

\textup (\upshape)

Droit (par défaut). Le contraire d’incliné.

\textsl (\slshape)

Inclinée.

\textsf (\sffamily)

Sans serif.

\textsc (\scshape)

Petites capitales.

\texttt (\ttfamily)

Machine à écrire.

\textnormal (\normalfont)

Police principale du document.

\mathrm

Roman, pour une utilisation en mode mathématique.

\mathbf

Gras, pour une utilisation en mode mathématique.

\mathsf

Sans serif, pour une utilisation en mode mathématique.

\mathtt

Machine à écrire, pour une utilisation en mode mathématique.

\mathit
(\mit)

Italique, pour une utilisation en mode mathématique.

\mathnormal

Pour une utilisation en mode mathématique, par exemple dans un autre déclaration de type style.

\mathcal

Lettres « calligraphiques », pour une utilisation en mode mathématique.

En outre, la commande \mathversion{bold} peut être utilisée pour commuter en caractères gras les lettres et les symboles dans les formules. \mathversion{normal} restaure la valeur par défaut.

Enfin, la commande \oldstylenums{chiffres} sert à composer des chiffres dits de “à l’ancienne”, qui ont des hauteurs et profondeur (et parfois largeurs) distincts de l’alignement standard des chiffres. Les polices LaTeX par défaut prennent en charge cela, et respecteront \textbf (mais pas les autres styles, il n’y a pas de style à l’ancienne italique pour les chiffres en Computer Modern). Beaucoup d’autres polices ont des chiffre à l’ancienne aussi; parfois le paquetage textcomp doit être chargé, et parfois des options de paquet sont mises à disposition pour en faire le style par défaut. Entrée de FAQ : http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=osf.

LaTeX fournit également les commandes suivantes, qui font passer inconditionnellement à un style donné, c.-à-d. ne sont pas cumulatives. De plus, elles sont utilisées différemment des commandes ci-dessus : {\cmd ... } au lieu de \cmd{...}. Ce sont deux constructions sans relation l’une avec l’autre.

\bf

Passage en gras.

\cal

Passage en lettres calligraphiques pour les mathématiques.

\em

Accent (italique dans romain, romain dans italiques).

\il

Italique.

\rm

Romain.

\sc

Les petites capitales.

\sf

Sans serif.

\sl

Incliné (oblique).

\tt

Machine à écrire (largeur fixe).

Certaines personnes considèrent que les commandes commutation inconditionnelles de polices, comme \tt, sont obsolète et que seulement les commandes cumulatives (\texttt) doivent être utilisées. Je (Karl) ne suis pas d’accord. il y a situations tout à fait raisonnables quand un commutateur de police inconditionnelle est précisément ce dont vous avez besoin pour obtenir le résultat souhaité ; pour un exemple, voir description. Les deux ensembles de commandes ont leur place.


Suivant: , Précédent: , Monter: Fonts   [Table des matières][Index]

4.2 tailles des polices

Les commandes de type de taille standard suivants sont pris en charge par LaTeX. Le tableau indique le nom de la commande et taille utilisée (en points) correspondant réellement pour la police avec les options ‘10pt’, ‘11pt’, et ‘12pt’ de classe de document, respectivement (voir Document class options).

commande10pt11pt12pt
\tiny566
\scriptsize788
\footnotesize8910
\small91010,95
\normalsize (par défaut)1010.9512
\large121214,4
\Large14.414.417,28
\LARGE17.2817.2820,74
\huge20,7420,7424,88
\Huge24.8824.8824.88

Les commandes énumérées ici sont des “forme déclaratives”. La portée d’une forme déclarative s’étend jusqu’à la prochaine la commande de type style ou la fin du groupe courant. Vous pouvez également utiliser la “forme d’environnement” de ces commandes ; par exemple, \begin{tiny} ... \end{tiny}.


Précédent: , Monter: Fonts   [Table des matières][Index]

4.3 commandes de fontes de bas niveau

Ces commandes sont principalement destinés aux auteurs de macros et paquetages. Les commandes indiquées ici sont seulement un sous-ensemble de celles disponibles.

\fontencoding{codage}

Sélectionnez le codage de police. Les codages valides comprennent OT1 et T1.

\fontfamily{famille}

Sélectionnez la famille de polices. Familles valides sont :

et de nombreuses autres.

\fontseries{série}

Sélectionnez série de police. Les séries valides sont :

et diverses autres combinaisons.

\fontshape{forme}

Sélectionnez l’allure de police. Les allures valides sont :

Les deux dernières allures ne sont pas disponibles pour la plupart des familles de polices.

\fontsize{taille}{interligne}

Réglage de la taille de police. Le premier paramètre est la taille de la police pour basculer et le deuxième est l’espacement d’interligne ; ceci est stocké dans un paramètre nommé \baselineskip. L’unité des deux paramètres est par défaut le pt. La valeur par défaut de \baselineskip pour la police Computer Modern est 1,2 fois le \fontsize.

L’espacement des lignes est également multiplié par la valeur du paramètre \baselinestretch en cas de changement de taille de type ;la valeur défaut est 1. Cependant, la meilleure façon de mettre un document en “espacement double”, si vous avez la malchance d’avoir à produire une telle chose, est d’utiliser le paquetage setspace ; voir http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=linespace.

\linespread{facteur}

Est équivalent à \renewcommand{\baselinestretch}{facteur}, et doit donc être suivie par \selectfont pour avoir un effet. Il vaut mieux que ce soit dans le préambule, ou utiliser le paquetage setspace, comme décrit juste au-dessus.

Les modifications apportées en appelant les commandes de polices décrites ci-dessus n’entrent en vigueur qu’après que \selectfont est appelé.

\usefont{codage}{famille}{série}{forme}

Revient à la même chose que d’invoquer \fontencoding, \fontfamily, \fontseries et \fontshape avec les paramètres donnés, suivi par \selectfont.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

5 Mise en page

Diverses commandes pour contrôler la disposition générale de la page.


Suivant: , Monter: Layout   [Table des matières][Index]

5.1 \onecolumn

La déclaration \onecolumn commence une nouvelle page et produit une sortie à colonne unique. C’est la valeur par défaut.


Suivant: , Précédent: , Monter: Layout   [Table des matières][Index]

5.2 \twocolumn

Synopsis :

\twocolumn [texte1col]

La déclaration \twocolumn commence une nouvelle page et produit sortie à deux colonnes. Si l’argument optionnel texte1col est présent, il est composée dans le mode à une colonne avant que la composition à deux colonnes ne commence.

Les paramètres ci-après contrôlent la composition de la production de deux colonnes :

\columnsep

La distance entre les colonnes (35pt par défaut).

\columnseprule

La largeur du filet entre les colonnes ; la valeur par défaut est 0pt, de sorte qu’il n’y a pas de filet.

\columnwidth

La largeur de la colonne en cours ; il est égal à \textwidth dans le cas d’un texte composé en une seule colonne.

Les paramètres ci-après contrôlent le comportement des flottants en cas de production à deux colonnes :

\dbltopfraction

Fraction maximale au sommet d’une page sur deux colonnes qui peut être occupée par des flottants. Par défaut vaut ‘0,7’, peut être utilement redéfini en (par exemple) ‘0,9’ pour aller moins tôt sur des pages de flottants.

\dblfloatpagefraction

La fraction minimum d’une page de flottants qui doit être occupée par des flottants, pour une page à flottant à deux colonnes. Par défaut vaut ‘0,5’.

\dblfloatsep

Distance entre les flottants en haut ou en bas d’une page de flottants à deux colonnes. Par défaut vaut ‘12pt plus2pt minus2pt’ pour des documents en ‘10pt’ ou ‘11pt’, et ‘14pt plus2pt minus4pt’ pour ‘12pt’.

\dbltextfloatsep

Distance entre un flottant multi-colonnes en haut ou en bas d’une page et le texte principal. Par défaut vaut ‘20pt plus2pt minus4pt’ .


Suivant: , Précédent: , Monter: Layout   [Table des matières][Index]

5.3 \flushbottom

La déclaration \flushbottom rend toutes les pages de texte de la même hauteur, en ajoutant de k’espace vertical supplémentaire si nécessaire pour remplir le page.

C’est la valeur par défaut si le mode twocolumn est sélectionné (voir Document class options).


Suivant: , Précédent: , Monter: Layout   [Table des matières][Index]

5.4 \raggedbottom

La déclaration \raggedbottom rend toutes les pages de la hauteur naturelle de la matière sur cette page. Aucune des longueurs d’élastique ne seront étirée.


Suivant: , Précédent: , Monter: Layout   [Table des matières][Index]

5.5 Paramètres de mise en page

\headheight

Hauteur de la boîte qui contient la tête en cours de traitement. La valeur par défaut est ‘30pt’, sauf dans la classe book, où elle varie en fonction de la taille de la police.

\headsep

La distance verticale entre le bas de la ligne d’en-tête et la partie supérieure du texte principal. La valeur par défaut est ‘25pt’, sauf dans la classe book, où elle varie avec la taille de la police.

\footskip

Distance de la ligne de base de la dernière ligne de texte à la ligne de base du bas de page. La valeur par défaut est ‘30pt’, sauf dans la classe book où elle varie avec la taille de la police.

\linewidth

Largeur de la ligne actuelle, diminuée pour chaque list imbriquée (voir list). Plus précisément, elle est inférieure à \textwidth par la somme de \leftmargin et \rightmargin (voir itemize). La valeur par défaut varie en fonction de la taille de la police, la largeur du papier, le mode à deux colonnes, etc. Pour un document de classe article en taille de police ‘10pt’, elle vaut ‘345pt’ ; dans le mode à deux colonnes, elle passe à ‘229.5pt’.

\textheight

La hauteur verticale normale du corps de la page ; la valeur par défaut varie en fonction de la taille de la police, de la classe du document, etc. Pour un document de classe article ou report en taille de police ‘10pt’, elle vaut ‘43\baselineskip’ ; pour une classe book, elle vaut ‘41\baselineskip’. Pour ‘11pt’, c’est ‘38\baselineskip’ et pour ‘12pt’ c’est ‘36\baselineskip’.

\paperheight

La hauteur du papier, à ne pas confondre avec la hauteur de la zone d’impression. Elle est normalement réglée avec une option de classe de document, comme dans \documentclass[a4paper]{article} (voir Options de classe de document).

\paperwidth

La largeur du papier, à ne pas confondre avec la largeur de la zone d’impression. Elle est normalement réglée avec une option de classe de document, comme dans \documentclass[a4paper]{article} (voir Options de classe de document).

\textwidth

La largeur horizontale totale de l’ensemble du corps de la page; la valeur par défaut varie comme d’habitude. Pour un document de classe article ou report, elle vaut ‘345pt’ à ‘10pt’ de taille de police, ‘360pt’ à ‘11pt’, et ‘390pt’ à ‘12pt’. Pour un document book, elle veut ‘4.5in’ à ‘10pt’ et ‘5in’ à ‘11pt’ ou ‘12pt’.

En sortie multi-colonne, \textwidth reste de la largeur de tout le corps de la page, tandis que \columnwidth est la largeur d’une colonne (voir \twocolumn).

Dans les listes (voir list), \textwidth est le reste la largeur du corps corps de la page entière (et \columnwidth est la largeur d’une colonne entière), alors que \linewidth peut diminuer au sein de listes imbriquées.

À l’intérieur d’une minipage (voir minipage ) ou \parbox (voir \parbox), tous les paramètres liés à la largeur sont mis à la largeur spécifiée, et de reviennent à leurs valeurs normales à la fin du minipage ou \parbox.

Par souci d’exhaustivité : \hsize est le paramètre TeX primitif utilisé lorsque le texte est divisé en lignes. Il ne devrait pas être utilisé dans des documents LaTeX en conditions normales.

\topmargin

L’espace entre le haut de la page TeX (un pouce à partir du haut de la feuille, par défaut) et le sommet de l’en-tête de page. La valeur par défaut est calculée sur la base de nombreux autres paramètres : \paperheight - 2in - \headheight - \headsep - \textheight - \footskip, et ensuite divisé par deux.

\topskip

La distance minimale entre le sommet du corps de la page et la ligne de base de la première ligne de texte. Pour les classes standard, la valeur par défaut est la même que la taille de la police, par exemple, ‘10pt’ à ‘10pt’.


Précédent: , Monter: Layout   [Table des matières][Index]

5.6 Flottants

Certains éléments typographiques, tels que les figures et les tableaux, ne peuvent pas être à cheval sur plusieurs pages. Ils doivent être composés en dehors du flux normal du texte, par exemple flottant au sommet d’une page ultérieure

LaTeX sait gérer plusieurs classes de matériel flottant. Il y a deux classes définies par défaut, figure (voir figure) et table (voir table), mais vous pouvez créer une nouvelle classes avec le paquetage float.

Au sein d’une même classe flottante LaTeX respecte l’ordre, de sorte que la première figure dans le code source d’un document est toujours composée avant la deuxième figure. Cependant, LaTeX peut mélanger les classes, ainsi il peut se produire qu’alors que le premier tableau apparaît dans le code source avant la première figure, il apparaîsse après elle dans le fichier de sortie.

Le placement des flottant est l’objet de paramètres, donnés ci-dessous, qui limittent le nombre de flottants pouvant apparaître au sommet d’une page, et au bas de page, etc. Si à cause d’un nombre trop important de flottants mis en queue ces limites les empèchent de tenir tous dans une seule page, alors LaTeX place ce qu’il peut et diffère le reste à la page suivante. De la sorte, les flottants peuvent être composés loin de leur place d’origine dans le code source. En particulioer, un flottant qui prend beaucoup de place peut migrer jusqu’à la fin du document. Mais alors, parce que tous les flottant dans une classe doivent appraître dans le même ordre séquentiel, tous les flottants suivant dans cette classe appraîssent aussi à la fin.

En plus de changer les paramètres, pour chaque flottant vous pouvez peaufiner l’endroit où l’algorithme de placement des flottants essaie de le placer en utilisant sont argument placement. Les valeurs possibles sont une séquence des lettres ci-dessous. La valeur par défault pour à la fois figure et table, dans les deux classes de document article et book, est tbp.

t

(pour Top) — au sommet d’une page de texte.

b

(pour Bottom) — au bas d’une page de texte. (Cependant, b n’est pas autorisé avec des flottants en pleine-largeur (figure*) en cas de sortie à double-colonne. Pour améliorer cela, on peut utiliser les paquetages stfloats ou dblfloatfix, mais voyez la discussion sur les avertissements dans la FAQ : http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=2colfloat.

h

(pour « Here », c.-à-d.« Ici » en anglais) — à la position du texte où l’environnement figure apparaît. Cependant, h n’est pas autorisé en soi-même ; t est ajouté automatiquement.

Pour forcer à tout prix un flottant à apparaître « ici », vous pouvez charger le paquetage float et le spécificateur H qui y est défini. Pour plus ample discussion, voir l’entrée de FAQ à http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=figurehere.

p

(pour Page de flottants) — sur une page de flottants séparée, qui est une page ne contenant pas de texte, seulement des flottants.

!

Utilisé en plus de l’un des spécificateur précédents ; pour ce flottant seulement, LaTeX ignore les restrictions à la fois sur le nombre de flottants qui peuvent apparaître et les quantité relatives de texte flottant et non-flottant sur la page. Le spécificateur ! ne signifie pas « mets le flottant ici » ; voir plus haut.

Note : l’ordre dans lequel les lettres apparaîssent au sein du paramètre placement ne change pas l’ordre dans lequel LaTeX essaie de placer le flottant ; par exemple btp a le même effet que tbp. Tout ce que placement fait c’est que si une lettre n’est pas présente alors l’algorithme n’essaie pas cet endroit. Ainsi, la valeur par défault de LaTeX étant tbp consiste à essayer toutes les localisations sauf celle de placer le flottant là où il apparaît dans le code source.

Pour empêcher LaTeX de rejeter tous les flottants à la fin du document ou d’un chapitre, vous pouvez utiliser la commande \clearpage pour commencer une nouvelle page et insérer tous les flottants pendants. Si un saut de page est indésirable alors vous pouvez charger le paquetage afterpage et commettre le code \afterpage{\clearpage}. Ceci aura l’effet d’attendre la fin de la page courante et ensuite de faire passer tous les flottants encore non placés.

LaTeX peut composer un flottant avant l’endroit où il apparaît dans le code source (quoique sur la même page de sortie) s’il y a un spécificateur t au sein du paramètre placement. Si ceci n’est pas désiré, et que supprimer t n’est acceptable car ce spécificateur empèche le flottant d’être placé au sommet de la page suivante, alors vous pouvez empêcher cela soit en utilisant le paquetage flafter ou en utilisant ou en utilisant la commande \suppressfloats[t], ce qui entraîne le déplacement vers la page suivante des flottants qui auraient du être placés au sommet de la page courante.

Voici les paramètre en relation aux fractions de pages occupées par du texte flottant et non flottant (on peut les changer avec \renewcommand{parameter}{decimal between 0 and 1}) :

La fraction maximal de page autorisée à être occupées par des flottants au bas de la page ; la valeur par défaut est ‘.3’.

\floatpagefraction

La fraction minimale d’une page de flottants qui doit être occupée par des flottants ; la valeur par défaut ‘.5’.

\textfraction

La fraction minimale d’une page qui doit être du texte ; si des flottants prennent trop d’espace pour préserver une telle quantité de texte, alors les flottants sont déplacés vers une autre page. La valeur par défaut est ‘.2’.

\topfraction

Fraction maximale au sommet d’une page page que peut être occupée avant des flottants ; la valeur par défaut est ‘.7’.

Les paramètres en relation à l’espace vertical autour des flottants (on peut les changer avec \setlength{parameter}{length expression}) :

\floatsep

Espace entre les floattants au sommet ou au bas d’une page ; par défaut vaut ‘12pt plus2pt minus2pt’.

\intextsep

Espace au dessus et au dessous d’un flottant situé au milieu du texte principal ; vaut par défaut ‘12pt plus2pt minus2pt’ pour les styles à ‘10pt’ et à ‘11pt’, et ‘14pt plus4pt minus4pt’ pour ‘12pt’.

\textfloatsep

Espace entre le dernier (premier) flottant au sommet (bas) d’une page ; par défaut vaut ‘20pt plus2pt minus4pt’.

Paramètres en relation avec le nombre de flottant sur une page (on peut les changer avec \setcounter{ctrname}{natural number}) :

\bottomnumber

Nombre maximal de flottants pouvant apparaître au bas d’une page de texte ; par défaut 1.

\topnumber

Nombre maximal de flottants pouvant apparaître au sommet d’une page de texte ; par défaut 2.

\totalnumber

Nombre maximal de flottants pouvant apparaître sur une page de texte ; par défaut 3.

L’article principal de FAQ TeX en rapport avec les flottants http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=floats contient des suggestions pour relâcher les paramètres par défaut de LaTeX de sorte à réduire les problèmes de flottants rejetés à la fin. Une explication complète de l’algorithme de placement des flottant se trouve dans l’article de Frank Mittelbach « How to infuence the position of float environments like figure and table in LaTeX? » (http://latex-project.org/papers/tb111mitt-float.pdf).


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

6 Des rubriques

Les commandes de rubricage fournissent les moyens de structurer votre texte en unités sectionnelles, ou rubriques :

\part
\chapter (seulement pour classes report et book)
\section
\paragraph
\subsubsection
\paragraph
\alinea

Toutes les commandes ont la même forme générale, par exemple,

\chapter[titretdm]{titre}

En plus de fournir le titre de rubrique titre dans le texte principal, le titre peut apparaître dans deux autres endroits :

  1. La table des matières.
  2. L’en-tête en cours de traitement en haut de la page.

Vous ne voudrez peut-être pas le même texte dans ces endroits que dans le texte principal. Pour gérer cela, les commandes de rubricage ont un argument optionnel titretdm qui, lorsqu’il est fourni, précise le texte de ces autres endroits.

En outre, toutes les commandes de rubricage ont des formes en *, aussi appelée étoilée, qui compose titre comme d’habitude, mais ne comprennent pas de numéro et ne produisent pas d’entrée dans la table des matières. Par exemple :

\section*{Préambule}

La commande \appendix modifie la façon dont les unités sectionnelles suivantes sont numérotées. La commande \appendix elle-même ne génère aucun texte et n’affecte pas la numérotation des parties. L’utilisation normale de cette commande est quelque chose comme cela :

\chapter{Un chapitre}
…
\appendix
\chapter{La première annexe }

Le compteur secnumdepth contrôle la composition des numéros de rubrique. le paramètre

\setcounter{secnumdepth}{niveau}

supprime le numéros de rubrique à n’importe quelle profondeur > niveau, où chapter est le niveau zéro. (Voir \setcounter.)


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

7 Des références croisées

Une des raisons pour numéroter des choses telles que les figures ou les équations est d’indiquer au lecteur une référence vers elles, comme dans « Voir la figure 3 pour plus de détails. »

Inclure le numéro de figure dans le code source est une mauvaise pratique puisque ce si ce noméro change avec l’évolution du document, alors on doit penser à mettre à jour cet référence manuellement. Au lieu de cela, LaTeX vous fait écrire une étiquette du genre \label{eq:ThmGreens} et lui faire référence avec Voir l'équation~\ref{eq:ThmGreens}.

LaTeX écrit l’information provenant des étiquettes dans un fichier avec le même nom que le fichier conteant le \label{...} mais avec une extension .aux. (L’information a le format \newlabel{étiquette}{{étiquette-courante}{numéro-de-page}}étiquette-courante est la valeur de la macro \@currentlabel qui est d’ordinaire mise à jour à chaque vous que that is vous appelez \refstepcounter{compteur}.)

L’effet secondaire le plus courant du paragraphe précédent se produit lorsque votre document a une référence déclarée en aval, c.-à-d. un \ref{clef} qui apparaît avant le \label{clef} associé ; voir l’exemple dans la description de \pageref{...}. LaTeX obtient les référence à partir du fichier .aux. Si c’est la première fois que vous compilez le document alors vous obtiendrez un message LaTeX Warning: Label(s) may have changed. Rerun to get cross references right. et dans la sortie la référence apparaîtra comme deux points d’interrogration ‘??’ en caractères gras. Ou, si vous modifiez le document de telle façon que les références changent alors vous obtiendrez le même avertissement et la sortie contiendra l’information de référence de la fois précédente. La solution dans les deux cas est juste de re-compiler le document encore une fois.


Suivant: , Monter: Cross references   [Table des matières][Index]

7.1 \label

Synopsis :

\label{clef}

Attribut un numéro de référence à clef. Au sein de texte ordinaire, \label{clef} attribut à clef le numéro de la rubrique courante. Au sein d’un environnement numéroté, tel que l’environnement table ou theorem, \label{clef} attribue le numéro de cet environnement à clef. On retire le numéro attribué avec la commande \ref{clef} (voir \ref).

Le nom clef peut se composer de n’importe quelle séquence de lettres, chiffres, ou caractères de ponctuation ordinaires. Il est sensible à la casse — lettres capitales ou bas-de-casse.

Pour éviter de créer accidentellement deux étiquettes avec le même nom, l’usage est d’utiliser des étiquettes composées d’un préfixe et d’un suffixe séparés par un caractère : ou .. Certains préfixes classiquement utilisés :

ch

pour les chapitres

sec

les commandes de rubricage de niveau inférieur

fig

pour les figures

tab

pour les tables

eq

pour les équations

Ansi, \label{fig:Euler} est une étiquette pour une figure avec un portrait de ce grand homme.

Dans l’exemple ci-dessous la clef sec:test se verra attribué le numéro de la section courante et la clef fig:test se verra attribué le numéro de la figure. Soit dit en passant, mettez les étiquettes (\label) après les légendes (\caption) au sein des environnements figure ou table.

\section{Titre de la rubrique}
\label{sec:test}
Dans cette rubrique~\ref{sec:test}.
\begin{figure}
  ...
  \caption{Texte de la légende}
  \label{fig:test}
\end{figure}
Voir Figure~\ref{fig:test}.

Suivant: , Précédent: , Monter: Cross references   [Table des matières][Index]

7.2 \pageref{clef}

Synopsis :

\pageref{clef}

Produit le numéro de page de l’endroit du texte où la commande correspondante \label{clef} apparaît.

Dans cet exemple le \label{eq:principale} est utilisé à la fois pour le numéro de la formule et pour le numéro de page. (Notez que les deux références sont des référénces déclarées en aval, ainsi ce document that the a besoin d’être compilé deux fois pour les résoudre.)

Le résultat principal est la formule~\ref{eq:principale} de la
page~\pageref{eq:principale}.
  ...
\begin{equation} \label{eq:principale}
   \mathbf{P}=\mathbf{NP}
\end{equation}

Précédent: , Monter: Cross references   [Table des matières][Index]

7.3 \ref{clef}

Synopsis :

\ref{clef}

Produit le numéro de la rubrique, équation, note en bas de page, figure, …, de la commande correspondante \label (voir \label). Elle ne produit aucun texte, tel que le mot ‘Section’ ou ‘Figure’, juste le numéro lui-même sans plus.

Dans cet exemple, le \ref{populaire} produit ‘2’. Notez que ceci est une référence déclarée en aval puisque elle est faite avant \label{populaire}.

Le format utilisé le plus largement est à l'item item numéro~\ref{populaire}.
\begin{enumerate}
\item Plain \TeX
\item \label{populaire} \LaTeX
\item Con\TeX t
\end{enumerate}

Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

8 Environments

LaTeX fournit beacoup d’environnements pour baliser un certain texte. Chaque environnement commence et se termine de la même manière :

\begin{nomenv}
...
\end{nomenv}

Suivant: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.1 abstract

Synopsis :

\begin{abstract}
...
\end{abstract}

Produit un résumé, potentiellement contenant plusieurs paragraphes. Cet environnement n’est défini que dans les classes de document article et report (voir Document classes).

Utiliser l’exemple ci-dessous au sein de la classe article produit un paragraphe détaché. L’option titlepage de la classe de document a pour effet que le résumé soit sur une page séparée (voir Document class options) ; ceci est le comportement par défaut selement dans la classe report.

\begin{abstract}
  Nous comparons tous les récits de la proposition faits par Porter
  Alexander à Robert E Lee en lieu de l'Appomattox Court House que
  l'armée continue à combattre dans une guerre de guerilla, ce que Lee
  refusa.
\end{abstract}

L’exemple suivant produit un résumé en une-colonne au sein d’un document en deux-colonne (pour plus solution plus flexible, utilisez le paquetage abstract).

\documentclass[twocolumn]{article}
  ...
\begin{document}
\title{Babe Ruth comme ancêtre culturel : une approche atavique}
\author{Smith \\ Jones \\ Robinson\thanks{Bourse des chemins de fer.}}
\twocolumn[
  \begin{@twocolumnfalse}
     \maketitle
     \begin{abstract}
       Ruth n'était pas seulement le Sultan du Swat, il était à lui tout 
       seul l'équipe du swat.
     \end{abstract}
   \end{@twocolumnfalse}
   ]
{   % by-hand insert a footnote at page bottom
 \renewcommand{\thefootnote}{\fnsymbol{footnote}}
 \footnotetext[1]{Merci pour tout le poisson.}
}

Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.2 array

Synopsis :

\begin{array}{patron}
entrée-col-1&entrée-col-2 ... &entrée-col-n}\\
...
\end{array}

ou

\begin{array}[pos]{patron}
entrée-col-1&entrée-col-2 ... &entrée-col-n}\\
...
\end{array}

Les tableaux mathématiques sont produits avec l’environnement array, normalement au sein d’un environnement equation (voir equation). Les entrées dans chaque colonne sont séparées avec une esperluette (&). Les lignes sont terminées par une double contr’oblique (voir \\).

L’argument obligatoire patron décrit le nombre de colonnes, l’alignement en leur sein, et le formatage des régions inter-colonne. Voir tabular pour une description complete de patron, et des autres caractéristiques communes aux deux environnement, y compris l’argument optionnel pos.

L’environnement array diverge de tabular par deux aspect. Le premier est que les entrée de array sont composées en mode mathématique, dans le texte(sauf si le patron spécifie la colonne avec @p{...}, ce qui a pour effet que l’entrée est composée en mode texte). Le second est que au lieu du paramètre \tablcolsep de tabular, l’espace inter-colonne que LaTeX met dans un array est contrôlé par \arraycolsep, qui spécifie la moitié de la largueur entre les colonnes. La valeur par défaut est ‘5pt’.

Pour otenir des tableaux entre accolades la méthode standarde est d’utiliser le paquetage amsmath. Il comprend les environnements pmatrix pour un tableau entre parenthèses (...), bmatrix pour un tableau entre crochets [...], Bmatrix pour un tableau entre accolades {...}, vmatrix pour un tableau entre barres verticales |...|, et Vmatrix pour un tableau entre doubles barres verticales ||...||, ainsi que diverses autres contructions de tableaux.

Voici un exemple d’un tableau :

\begin{equation}
  \begin{array}{cr}
    \sqrt{y}  &12.3 \\
    x^2       &3.4
  \end{array}
\end{equation}

L’exemple suivante nécessite \usepackage{amsmath} dans le preambule :

\begin{equation}
  \begin{vmatrix}{cc}
    a  &b \\
    c  &d
  \end{vmatrix}=ad-bc
\end{equation}

Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.3 center

Synopsis :

\begin{center}
line1 \\
line2 \\
\end{center}

L’environnement center vous permet de créer un paragraphe consistant de lignes qui sont centrée entre les marges de gauche et de droite de la page courante. Chaque ligne est terminée avec la chaîne \\.


Monter: center   [Table des matières][Index]

8.3.1 \centering

La déclaration \centering correspond à l’environnement center. Cette déclaration peut être utilisée à l’intérieur d’un environnement tel que quote ou d’une parbox. Ainsi, le texte d’une figure ou d’une table peut être centré sur la page en mettant une commande \centering au début de l’environnement de la figure ou table.

Contrairement à l’environnement center, la commande \centering ne commence pas un nouveau paragraphe ; elle change simplement la façon dont LaTeX formate les unités paragraphe. Pour affecter le format d’une unité paragraphe, la porté de la déclaration doit contenir une ligne à blanc ou la commande \end (d’un environnement tel que quote) qui finit l’unité de paragraphe.

Voici un exemple :

\begin{quote}
\centering
first line \\
second line \\
\end{quote}

Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.4 description

Synopsis :

\begin{description}
\item [étiquette1] article1
\item [étiquette2] article2
...
\end{description}

L’environnement description est utilisé pour fabriquer des listes d’articles étiquetés. Chaque étiquette d’article est composée en gras, alignée à gauche. Bien que les étiquettes sur les articles sont optionnelles il n’y a pas de valeur par défaut sensée, c’est pourquoi tous les articles devraient avoir une étiquette.

La liste consiste en au moins un article ; voir \item (l’absence d’article cause l’erreur LaTeX ‘Something's wrong--perhaps a missing \item’). Chaque article est produit avec une commande \item.

Une autre variation : puisque le style gras est appliqué aux étiquettes, si vous composez une étiquette en style tapuscrit avec \texttt, vous obtiendrez du gras tapuscrit : \item[\texttt{gras et tapuscrit}]. C’est peut-être trop gras, entre autres problèmes. Pour obtenir juste le style tapuscrit, utilisez \tt, ce qui reinitialise toutes les autres variations de style : \item[{\tt tapuscrit de base}].

Pour les détails concernant l’espacement des listes, voir itemize.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.5 displaymath

Synopsis :

\begin{displaymath}
des maths
\end{displaymath}

L’environnement displaymath compose le texte des maths sur sa propre ligne, centré par défaut. L’option globale fleqn justifie les équations à gauche ; voir Document class options.

Aucun numéro d’équation n’est ajouté au texte de texte displaymath ; pour obtenir un numéro d’équation, vous pouvez utiliser l’environnement equation (voir equation).

LaTeX ne fait pas de saut de ligne au sein de des maths.

Notez que le paquetage amsmath comprend des possibilités beaucoup plus vastes en matière d’affichage d’équations. Par exemple, il offre plusieurs altenatives pour effectuer des sauts de lignes au sein de texte en mode mathématique.

La construction \[des maths\] est essentiellement un synonyme de \begin{displaymath}des maths\end{displaymath}, mais ce dernier est plus pratique à manipuler dans le code source ; par exemple la recherche d’un caractère crochet ] peut donner des faux positifs, alors qu’il est plus probable que le mot displaymath soit unique. (La construction $$des maths$$ tirée du language TeX de base est souvent utilisée à tort comme un synonyme de displaymath. Ce n’en est pas un, parce que l’environnement displaymath vérifie qu’il ne commence pas en mode mathérmatique, parce qu’il gère l’espacement verticial environment différemment, et parce qu’il honore l’option fleqn.)

Le texte composé par cet exemple est centré et seul sur sa ligne.

\begin{displaymath}
  \int_1^2 x^2\,dx=7/3
\end{displaymath}

De plus, le signe intégrale est plus grand que ce que la version en ligne \( \int_1^2 x^2\,dx=7/3 \) produit.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.6 document

L’environnement document entoure le corps entier d’un document. Il est obligatoire dans tout document LaTeX. Voir Starting and ending.


Suivant: , Monter: document   [Table des matières][Index]

\AtBeginDocument

Synopsis :

\AtBeginDocument{code}

Sauvegarde code et exécute le quand \begin{document} est exécuté, à la toute fin du préambule. Le code est exécuté après que les tables de sélection de police ont été réglées, ainsi la police normale du document est la police courante. Toutefois, le code est exécuté en tant que faisant partie du préambule, c’est pourquoi on ne peut pas composer du texte avec.

On peut utiliser cette commande plus d’une fois ; les lignes de code successives sont exécutée dans l’ordre de passage à la commande.


Précédent: , Monter: document   [Table des matières][Index]

\AtEndDocument

Synopsis :

\AtEndDocument{code}

Sauvegarde code et l’exécute vers la fin du document. Plus précisément, il est exécuté lorsque \end{document} est exécuté, avant que la dernière page ne soit terminée et avant que tous environnements flottant restants soient traités. Si on désire d’une partie du code soit exécuté après ces deux traitements, alors il suffit d’inclure un \clearpage à l’endroit approprié du code.

On peut utiliser cette commande plus d’une fois ; les lignes de code successives sont exécutée dans l’ordre de passage à la commande.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.7 enumerate

Synopsis :

\begin{enumerate}
\item article1
\item article2
...
\end{enumerate}

L’environnement enumerate produit une liste numérotée d’articles. Le format du numéro en étiquette dépend de si cet environnement est imbriqué dans un autre ; voir plus bas.

La liste consiste en au moins un article. L’absence d’article cause l’erreur LaTeX ‘Something's wrong--perhaps a missing \item’. Chaque article est produit avec la commande \item.

Cet exemple fait la liste des deux premiers courreurs à l’arrivée du marathon olympique de 1908 :

\begin{enumerate}
 \item Johnny Hayes (USA)
 \item Charles Hefferon (RSA)
\end{enumerate}

Les énumerations peuvent être imbriquées les unes dans les autres, jusqu’à une profondeur de quatre niveaux. Elles peuvent aussi être imbriquées au sein d’autres environnements fabriquant des paragraphes, tels que itemize (voir itemize) et description (voir description). Le format de l’étiquette produite dépend du niveau d’imbrication de la liste. Voici les valeurs par défaut de LaTeX pour le format à chaque niveau d’imbrication (où 1 est le niveau le plus externe) :

  1. numéro arabe suivi d’un point : ‘1.’, ‘2.’, …
  2. lettre en bas de casse et entre parenthèse : ‘(a)’, ‘(b)’ …
  3. numéro romain en bas de casse suivi d’un point : ‘i.’, ‘ii.’, …
  4. lettre capitale suivie d’un point : ‘A.’, ‘B.’, …

L’environnement enumerate utilise les compteurs \enumi, …, \enumiv (voir Counters). Si vous utilisez l’argument optionnel d’\item alors le compteur n’est pas incrementé pour cet article (voir \item).

L’environnement enumerate utilise les commandes de \labelenumi jusqu’à \labelenumiv pour produire l’étiquette par défaut. Ainsi, vous pouvez utiliser \renewcommand pour chancher le format des étiquettes (voir \newcommand & \renewcommand). Par exemple, cette liste de premier niveau va être étiquettée avec des lettres capitales, en gras, non suivies point :

\renewcommand{\labelenumi}{\textbf{\Alph{enumi}}}
\begin{enumerate}
  \item eI
  \item bi:
  \item si:
\end{enumerate}

Pour une liste des commandes comme \Alph utilisables pour formatter le compteur d’étiquette voir \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol.

Pour plus ample information sur la personalisation de la forme voir list. De même, le paquetage enumitem est utile pour cela.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.8 eqnarray

Tout d’abord une mise en garde : l’environnement eqnarray a quelques maladresse que l’on ne peut pas surmonter ; l’artice « Évitez eqnarray ! » de Lars Madsen les décrit en détail (http://tug.org/TUGboat/tb33-1/tb103madsen.pdf). Ce qu’il faut retenir c’est qu’il vaut mieux utiliser l’environnement align (et d’autres) du paquetage amsmath.

Néanmoins, voici une description d’eqnarray :

\begin{eqnarray} (ou eqnarray*)
formula1 \\
formula2 \\
...
\end{eqnarray}

L’environnement eqnarray est utilisé pour afficher une séquence d’équations ou d’inégalités. Il est similaire à un environnement array à trois colonnes, avec des lignes consecutives séparées par \\ et des articles consécutifs au sein d’une ligne séparé par une esperluète &.

\\* peut aussi être utilisé pour séparer les équations, avec sa signification normale de ne pas autoriser un saut de page à cette ligne.

Un numéro d’équation est placé sur chaque ligne à moins que cette ligne ait une commande \nonumber. Alternativement, la forme étoilé (en *) de l’environnement (\begin{eqnarray*} ... \end{eqnarray*}) omet la numérotation des équations entièrement, tout en faisant par ailleurs la même chose qu’eqnarray.

La commande \lefteqn est utilisée pour couper les longues formules sur plusieurs lignes. Elle compose son argument en hors texte et le justifie à gauche dans une boîte de largeur nulle.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.9 equation

Synopsis :

\begin{equation}
math
\end{equation}

L’environnement equation commence un environnement en displaymath (voir displaymath), par ex. en centrant le texte math sur la page, et aussi en plaçant un numéro d’équation dans la marge de droite.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.10 figure

Synopsis :

\begin{figure}[placement]
  corpsfigure
\caption[titreldf]{texte}
\label{étiquette}
\end{figure}

ou

\begin{figure*}[placement]
corpsfigure
\caption[titreldf]{texte}
\label{étiquette}
\end{figure}

Une classe de flottant (voir Floats). Parce qu’elles ne peuvent pas être coupées à cheval sur plusieurs pages, elles ne sont pas composées en séquence avec le texte normal, mais au contraire sont “flottées” vers un endroit convenable, tel que le sommet d’une page suivante.

Pour les valeurs possibles de placement et leur effet sur l’algorithme de placement des flottants, voir Floats.

La version étoilée figure* est utilisée quand un document est en mode double-colonne (voir \twocolumn). elle produit une figure qui s’étend sur les deux colonnes, au sommet de la page. Pour ajouter la possibiltié de la placer à un bas de page voir la discussion de placement b dans Floats.

Le corps de la figure est composé dans une parbox de largueur \textwidth and ainsi il peut contenir du texte, des commandes, etc.

L’étiquette est optionnelle ; elle est utilisée pour les double renvois (voir Cross references). La commande \caption spécifie la légende texte pour la figure. La légende est numérotée par défaut. Si titreldf est présent, il est utilisé dans la liste des figures au lieu de texte (voir Tables of contents).

Cet exemple fabrique une figure à partir d’un graphique. Il nécessite l’un des paquetage graphics ou graphicx. Le graphique, avec sa légende, est palcé au sommet d’une page ou, s’il est rejet à la fin du document, sur une page de flottants.

\begin{figure}[t]
  \centering
  \includegraphics[width=0.5\textwidth]{CTANlion.png}
  \caption{The CTAN lion, by Duane Bibby}
\end{figure}

Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.11 filecontents: Écrire un fichier externe

Synopsis :

\begin{filecontents}{nomfichier}
texte
\end{filecontents}

ou

\begin{filecontents*}{nomfichier}
texte
\end{filecontents*}

Crée un fichier nommé nomfichier et le remplit de texte. La version non étoilée de l’environnement filecontent préfixe le contenu du ficher crée d’une en-tête ; voir l’exemple ci-dessous. La version étoilée filecontent* n’inclut par l’en-tête.

Cet environnement peut être utilisé n’importe-où dans le préambule, bien qu’elle apparaisse en général avant la commande \documentclass. Elle est typiquement utilisée quand une fichier source a besoin d’un fichier non standard de style ou de classe. L’environnement permet d’écrire ce fichier dans le répertoire contenant ce fichier et ainsi de rendre le code source autonome. Une autre utilisation est d’inclure des référence au format bib dans le fichier source, de même pour le rendre autonome.

L’environnement vérifie si un fichier de même nom existe déjà, et si oui, ne fait rien. Il y a un paquetage filecontents qui redéfinit l’environnement filecontents de sorte qu’au lieu de ne rien faire dans ce cas, il écrase le fichier existant.

Par exemple, ce document :

\documentclass{article}
\begin{filecontents}{JH.sty}
\newcommand{\monnom}{Jim Hef{}feron}
\end{filecontents}
\usepackage{JH}
\begin{document}
Un article de \monnom.
\end{document}

produit ce fichier JH.sty.

%% LaTeX2e file `JH.sty'
%% generated by the `filecontents' environment
%% from source `test' on 2015/10/12.
%%
\newcommand{\monnom}{Jim Hef{}feron}

Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.12 flushleft

\begin{flushleft}
ligne1 \\
ligne2 \\
...
\end{flushleft}

L’environnement flushleft vous permet de créer un paragraphe ferré à gauche, c’est à dire consistant en lignes qui sont alignées sur la marge de gauche et en dentelures à droite comme un drapeau dont la hampe (fer du composteur) serait à gauche et les franges à droite. Chaque ligne doit être terminée par la séquence de contrôle \\.


Monter: flushleft   [Table des matières][Index]

8.12.1 \raggedright

La déclaration \raggedright correspond à l’environnement flushleft. Cette déclaration peut être utilisée au sein d’un environnement tel que quote ou d’une parbox.

Contrairement à l’environnement flushleft, la commande \raggedright ne démarre pas un nouveau paragraphe ; elle change seulement la façon dont LaTeX formatte les unités de paragraphe. Pour affecter le format d’une unité de paragraphe, la porté de la déclaration doit contenir la ligne à blanc où la commande \end qui termine l’unité de paragraphe.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.13 flushright

\begin{flushright}
ligne1 \\
ligne2 \\
...
\end{flushright}

L’environnement flushright vous permet de créer un paragraphe ferré à droite et drapeau gauche, c.-à-d. consistant de lignes qui sont alignées sur la marge de droite (fer à droite) et en dentelures (drapeau) sur la marge de gauche. Chaque ligne doit être temrinée par la séquence de contrôle \\.


Monter: flushright   [Table des matières][Index]

8.13.1 \raggedleft

La déclaration \raggedleft correspond à l’environnement flushright. Cette déclaration peut être utilisée au sein d’un environnement tel que as quote ou d’une parbox.

Contrairement à l’environnement flushright, la commande \raggedleft ne commence pas un nouveau paragraphe ; elle change seulement la façon dont LaTeX formatte les unités de paragraphe. Pour affecter le format d’une une unité de paragraphe, la portée de la déclaration doit contenir la ligne à blanc ou la commande \end qui termine l’unité de paragraphe.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.14 itemize

Synopsis :

\begin{itemize}
\item item1
\item item2
...
\end{itemize}

L’environnement itemize produit une liste « non ordonnée », « à puces ». Les environnement itemize peuvent être imbriqués l’un dans l’autre, jusqu’à quatre niveaux de profondeur. Ils peuvent aussi être imbriqués avec d’autre environnements fabriquant des paragraphes, comme enumerate (voir enumerate).

Chaque article d’une liste itemize commence avec une commande \item. Il doit y avoir au moins une commande \item au sein de l’environnement.

Par défaut, les marques de chaque niveau ressemblent à cela :

  1. • (puce)
  2. -- (tiret demi-cadratin gras)
  3. * (asterisque)
  4. . (point centré verticalement, rendu ici comme un point final)

Si vous utilisez l’environnement babel avec la langue french, alors il y a des tirets pour tous les niveaux comme c’est l’habitude des Français.

L’environnement itemize utilise les commandes de \labelitemi jusqu’à \labelitemiv pour produire les étiquettes par défaut. Ainsi, vous pouvez utiliser \renewcommand pour changer les étiquettes. Par exemple, pour que le premier niveau utilise des losanges :

\renewcommand{\labelitemi}{$\diamond$}

Les paramètres de \leftmargini jusqu’à \leftmarginvi définissent la distance entre la marge de gauche de l’environnement surjacent et la marge de gauche de la liste. Par convention, \leftmargin est réglée à la \leftmarginN appropriée quand on entre dans un nouveau niveau d’imbrication.

Les valeurs par défaut varient de ‘.5em’ (pour les niveaux d’imbrication les plus élevés) jusqu’à ‘2.5em’ (premier niveau), et sont légèrement réduits en mode deux-colonnes. Cet exemple réduit grandement l’espace de marge pour la liste la plus extérieure :

\setlength{\leftmargini}{1.25em} % par défaut 2.5em

Quelques paramètres qui affectent le formatage des listes :

\itemindent

Renfoncement supplementaire avant chaque articles dans une liste ; la valeur par défaut est zéro.

\labelsep

Espace entre l’étiquette et le texte d’un article ; la valeur par défaut est ‘.5em’.

\labelwidth

Largeur de l’étiquette ; la valeur par défaut est ‘2em’, ou ‘1.5em’ en mode deux-colonnes.

\listparindent

Renfoncement supplémentaire ajoutée aux paragraphes suivants à commencer par le second au sein d’un article de liste ; la valeur par défaut est ‘0pt’.

\rightmargin

Distance horizontale entre la marge de droite de la liste et l’environnement surjacent ; la valeur par défaut est ‘0pt’, sauf à l’intérieur des environnement quote, quotation, et verse, où elle est réglée pour être égale à \leftmargin.

Paramètres affectant l’espacement vertical entre les articles de liste (plutôt relâché, par défaut).

\itemsep

Espace vertical entre les articles. La valeur par défaut est 2pt plus1pt minus1pt pour les documents en 10pt, 3pt plus2pt minus1pt pour ceux en 11pt, et 4.5pt plus2pt minus1pt pour ceux en 12pt.

\parsep

Espace vertical supplémentaire entre les paragraphes au sein d’un article de liste. Par défaut vaut la même chose que \itemsep.

\topsep

Espace vertical entre le premier article et le paragraphe précédent. Pour les listes au niveau le plus haut, la valeur par défaut est 8pt plus2pt minus4pt pour les documents en 10pt, 9pt plus3pt minus5pt pour ceux en 11pt, et 10pt plus4pt minus6pt pour ceux en 12pt. Ces valeurs sont réduites pour les listes avec au moins un niveau d’imbrication.

\partopsep

Espace supplémentaire ajouté à \topsep quand l’environnement de liste démarre un paragraphe. La valeur par défaut est 2pt plus1pt minus1pt pour les documents en 10pt, 3pt plus1pt minus1pt pour ceux en 11pt, et 3pt plus2pt minus2pt pour ceux en 12pt.

En particulier pour les listes avec des articles courts, il peut être désirable d’élider l’espace entre les articles. Voici un exemple définissant un environnement itemize* sans espacement supplémentaire entre les articles, ni entre les paragraphes au sein d’un seul article (\parskip n’est pas spécifique aux listes, voir \parskip):

\newenvironment{itemize*}%
  {\begin{itemize}%
    \setlength{\itemsep}{0pt}%
    \setlength{\parsep}{0pt}}%
    \setlength{\parskip}{0pt}}%
  {\end{itemize}}

Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.15 environnement letter: écrire des lettres postales

Cet environnement est utilisé pour créer des lettres. Voir Letters.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.16 list

L’environnement list est un environnement générique qui est utilisé pour définir beaucoup des environnements plus spécifiques. Il est rarement utilisé dans des documents, mais souvant dans des macros.

\begin{list}{étiquettage}{espacement}
\item item1
\item item2
...
\end{list}

L’argument obligatoire étiquettage spécifie comment les articles doivent être étiquetés (à moins que son argument optionnel soit fourni à \item). Cet argument est un morceau de texte qui est inséré dans une boîte pour former l’étiquette. Il peut contenir, et d’habitude c’est le cas, d’autres commandes LaTeX.

L’argument obligatoire espacement contient des commandes pour changer les paramètres d’espacement pour la liste. Cet argument est le plus souvent vide, c.-à-d. {}, ce qui laisse l’espacement par défaut.

L’argument utilisé pour composer les articles de la liste est spécifiée par \linewidth (voir Page layout parameters).


Monter: list   [Table des matières][Index]

\item

Synopsis :

\item texte de l'article

ou

\item[étiquette optionnelle] texte de l'article

Un entrée dans une liste. Les entrées sont préfixées par une étiquette, dont la valeur par défaut dépend du type de liste.

Parce que l’argument optionnel étiquette optionnelle est entouré de crochets ([ et ]), pour utiliser des crochets au sein de l’argument optionnel vous devez les cacher entre accolades, comme dans \item[Crochet fermant, {]}]. De même, pour utiliser un crochet ouvrant comme premier caractère du texte d’un article, cachez le aussi au sein d’accolade. Voir LaTeX command syntax.

Dans cet exemple la liste enumerate a deux articles qui utilise l’étiquette par défaut et une qui utilise l’étiquette optionnelle.

\begin{enumerate}
  \item Moe
  \item[sometimes] Shemp
  \item Larry
\end{enumerate}

Le premier article est étiquetté ‘1.’, le deuxième article est étiquetté ‘sometimes’, et le troisième article est étiquetté ‘2.’ (notez que, à cause de l’étiquette optionnelle dans le second article, le troisième article ne reçoit pas l’étiquette ‘3.’).


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.17 math

Synopsis :

\begin{math}
maths
\end{math}

L’environnement math insert les maths donnés au sein du texte en cours. \(...\)) et $...$ sont des synonymes. Voir Math formulas.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.18 minipage

\begin{minipage}[position][hauteur][pos-interne]{largeur}
texte
\end{minipage}

L’environnement minipage compose son corps texte dans un bloc qui ne peut pas être coupé sur plusieurs pages. C’est similaire à la commande \parbox (voir \parbox), mais contrairement à \parbox, d’autres environnements de production de paragraphe peuvent être utilisés au sein d’une minipage.

Les arguments sont les mêmes que pour \parbox (voir \parbox).

Par défaut, les paragraphes ne sont pas renfoncés au sein d’un environnement minipage. Vous pouvez restaurer le renfoncement avec une commande telle que \setlength{\parindent}{1pc}.

Les notes en bas de page au sein d’un environnement minipage sont gérées d’une façon qui est particulièrement utiles pour mettre des notes en bas de page dans des figures ou des tableaux. Une commande \footnote \footnotetext met la note en bas de page au bas de la minipage au lieu de la mettre au bas de la page, et elle utilise le compteur \mpfootnote au lieu du compteur ordinaire footnote (voir Counters).

Cependant, ne mettez pas une minipage à l’intérieur d’une autre si vous utilisez les note en bas de page ; elles pourraient terminer en bas de la mauvaise minipage.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.19 picture

\begin{picture}(largeur,hauteur)(décalagex,décalagey)
… commandes picture …
\end{picture}

L’environnement picture vous permet de créer toute sorte de dessin dans lequel vous voulez du texte, des lignes, des flèches et des cercles. Vous dîtes à LaTeX où mettre les chose dans le dessin en spécifiant leur coordonnées. Une coordonnée est un nombre qui peut avoir une séparateur décimal (point et non virgule) et un signe moins — un nombre comme 5, 0.3 ou -3.1416. Une coordonnées spécifie une longueur en multiples de l’unité de longueur \unitlength, ainsi si \unitlength a été réglée à 1cm, alors la coordonnée 2.54 spécifie une longueur de 2,54 centimètres.

Vous devriez changer la valeur de \unitlength, en utilisant la commande \setlength, en dehors d’un environnement picture. La valeur par défaut est 1pt.

Le paquetage picture redéfinit l’environnement picture de sorte qu’où que soit utilisé un nombre au sein de commandes picture pour spécifier une coordonnée, on puisse alternativement utiliser une longueur. Notez bien cependant que ceci empèche de dilater/contracter ces longueurs en changeant \unitlength.

Une position est une paire de coordonnées, telle que (2.4,-5), ce qui spécifie un point d’abscisse 2.4 et d’ordonnée -5. Les coordonnées sont spécifiées de la manière habituelle relativement à une origine, qui est normalement dans le coin inférieur gauche du dessin. Notez que lorsque une position apparaît en argument, elle n’est pas entourée d’accolades ; on délimite l’argument avec des parenthèses.

L’environnement picture a un argument obligatoire qui est une position (largeur,hauteur) qui spécifie la taille du dessin. L’environnement produit une boîte rectangulaire dont les dimensions sont cette largeur et cette hauteur.

L’environnement picture a aussi un argument optionnel de position (décalagex,décalagey), qui suit l’argument de taille, et qui peut changer l’origine. (Contrairement aux arguments optionnels ordinaire, cet argument n’est pas contenu entre crochets.) L’argument optionnel donne les coordonnées du point dans le coin inférieur gauche du dessin (par là même déterminant l’origine). Par exemple, si \unitlength a été réglée à 1mm, la commande

\begin{picture}(100,200)(10,20)

produit un dessin de largeur 100 millimetres et hauteur 200 millimetres, done le coin inférieur gauche est le (10,20) et dont le coin supérieur doint est donc le point (110,220). Lorsque vous dessin la première fois un dessin, typiquement vous omettez l’argument optionnel, laissant l’origine au coin inférieur gauche. Si ensuite vous voulez modifier le dessin en translatant tout, vous pouvez juste ajouter l’argument optionnel approprié.

L’argument obligatoire de l’environnement détermine la taille nominale du dessin. Il n’est pas nécessaire que cela soit en relation à la taille réèlle du dessin ; LaTeX vous laissera sans broncher mettre des chose en dehors de la boîte définie par la taille du dessin, et même en dehors de la page. La taille nominale du dessin est utilisée par LaTeX pour la détermination de la quantité de place à prévoir pour lui.

Tout ce qui apparaît dans un dessin picture est dessiné par la commande \put. La commande

\put (11.3,-.3){...}

met l’objet spécifié par ... dans le dessin picture, avec sont point de référence aux coordonnées (11.3,-.3). Les points de référence des divers objets sont décrits plus bas.

La commande \put crée une LR box. Vous pouvez mettre tout ce qui peut aller dans une \mbox (voir \mbox) dans l’argument texte de la commande \put. Quand vous faites cela, le point de référence devient le coin inférieur gauche de la boîte .

Les commandes picture sont décrites dans les rubriques suivantes.


Suivant: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.1 \circle

Synopsis :

\circle{diamètre}
\circle*{diamètre}

La commande \circle produit un cercle dont le diamètre est le plus proche possible de celui spécifié. La forme étoilée (en *) de la commande dessine un disque, c.-à-d. un cercle plein.

Des cercles jusqu’à 40pt peuvent être dessinés.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.2 \makebox

Synopsis :

\makebox(largeur,hauteur)[position]{texte}

La commande \makebox pour l’environnement picture est similaire à la commande normale \makebox à ceci près que vous devez spécifier une largeur et une hauteur implicitement multipliés par \unitlength.

L’argument optionnel, [position], spécifie le quadrant dans lequel votre texte apparaît. Vous pouvez sélectionner jusqu’à deux spécificateurs parmi les suivants :

t

Place l’article au sommet du rectangle.

b

Place l’article en bas du rectangle.

l

Place l’article sur la gauche.

r

Place l’article sur la droite.

Voir \makebox.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.3 \framebox

Synopsis :

\framebox(largeur,hauteur)[pos]{...}

La commande \framebox est similaire à \makebox (voir section précédent), à ceci près qu’elle met un cadre autour de l’extérieur du contenu de la boîte qu’elle créée.

La commande \framebox produit un filet d’épaisseur \fboxrule, et laisse un espace \fboxsep entre le filet et le contenu de la boîte.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.4 \dashbox

Dessine une boîte avec une ligne en tireté. Synopsis :

\dashbox{tlong}(rlargeur,rhauteur)[pos]{texte}

\dashbox crée un rectangle en tireté autour de texte au sein d’un environnement picture. Les tirets sont long de tlong unités, et le rectangle a pour largeur totale rlargeur et hauteur totale rhauteur. Le texte est positionné par l’argument optionnel pos.

Une boîte en tireté a meilleure allure quand les paramètres rlargeur et rhauteur sont des multiple de tlong.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.5 \frame

Synopsis :

\frame{texte}

La commande \frame met un cadre rectangulaire autour de texte. Le point de référence est le coin en bas à gauche du cadre. Aucun espace supplémentaire n’est mis entre le cadre et l’objet texte.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.6 \line

Synopsis :

\line(xpente,ypente){longueur}

La commande \line dessine un ligne avec la longueur donnée et la pente xpente/ypente.

De base LaTeX peut seulement dessiner des ligne dont la pente = x/y, où x et y prennent des valeurs entières de -6 jusqu’à 6. Pour des ligne de pente quelconque, sans parler d’autres formes, voir le paquetage curve2e et bien d’autres sur le CTAN.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.7 \linethickness

La commande \linethickness{dim} déclare que l’épaisseur des lignes horizontales et verticales dans un environnement picture environnement vaut dim, qui doit être une longueur positive.

\linethickness n’affecte pas l’épaisseur des lignes obliques, cercles, ou quarts de cercles dessinés par \oval.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.8 \thicklines

La commande \thicklines est une épaisseur de trait alternative pour les lignes verticales et horizontales dans un environnement picture ; cf. \linethickness et \thinlines.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.9 \thinlines

La commande \thinlines est l’épaisseur de trait par défaut pour les lignes horizontales et verticales dans un environnement picture ; cf. \linethickness et \thicklines.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.10 \multiput

Synopsis :

\multiput(x,y)(delta_x,delta_y){n}{obj}

La commande \multiput copie l’objet obj en un motif régulier à travers la figure. obj est placé en premier à la position (x,y), puis à la position (x+\delta x,y+\delta y), et ainsi de suite, n fois.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.11 \oval

Synopsis :

\oval(largeur,hauteur)[portion]

La commande \oval produit un rectangle aux coins arrondis. L’argument optionnel portion vous permet de ne produire qu’une moitié de l’ovale selon ce qui suit :

t

selectionne la moitié supérieure ;

b

selectionne la moitié inférieure ;

r

selectionne la moitié de droite ;

l

selectionne la moitié de gauche.

Il est également possible de ne produire qu’un quart de l’ovale en réglant portion à tr, br, bl, ou tl.

Les « coins » de l’ovale sont fabriqués avec des quarts de cercle d’un rayon maximal de 20pt, ainsi les « ovales » de grande taille ressembleront plus à des boîtes aux coins arrondis.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.12 \put

\put(xcoord,ycoord){ ... }

La commande \put place l’article spécifié par l’argument obligatoire aux coordonnées xcoord et ycoord fournies.


Suivant: , Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.13 \shortstack

Synopsis :

\shortstack[position]{...\\...\\...}

La commande \shortstack produit une pile d’objets. Les positions valides sont :

r

Déplace les objets à la droite de la pile.

l

Déplace les objets à la gauche de la pile

c

Déplace les objets au centre de la pile (position par défaut)

Les objets sont séparés avec \\.


Précédent: , Monter: picture   [Table des matières][Index]

8.19.14 \vector

Synopsis :

\vector(xpente,ypente){longueur}

La commande \vector dessine une ligne fléchée de la longueur et direction (xpente,ypente) spécifiées. Les valeurs de xpente et ypente doivent être comprises entre -4 and +4 y compris.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.20 quotation et quote

Synopsis :

\begin{quotation}
texte
\end{quotation}

ou

\begin{quote}
texte
\end{quote}

Cite du texte.

Dans les deux environnement, les marges sont renfoncées à la fois sur la gauche et la droite. Le texte est justifié des deux côtés sur la marge. De même que dans le texte principal, laisser une ligne à blanc au sein du texte produit un nouveau paragraphe.

Pour comparer les deux : dans l’environnement quotation, les paragraphes sont renfoncés de 1,5em et l’espace entre les paragraphe est petit, 0pt plus 1pt. Dans l’environnement quote, les paragraphes ne sont pas renfoncés et il y a une espace verticale entre les paragraphes (c’est la longueur elastique \parsep). Ainsi, l’environnement quotation convient mieux environm aux documents où les nouveaux paragraphes sont marqués par un renfoncement plutôt que par une séparation verticale. De plus, quote convient meieux pour des citations courtes ou une suite de citations courtes.

\begin{quotation}
\it Il y a quatre-vingt sept ans
  ... ne disparaîtra jamais de la surface de la terre.
\hspace{1em plus 1fill}---Abraham Lincoln
\end{quotation}

Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.21 tabbing

Synopsis :

\begin{tabbing}
row1col1 \= row1col2 \= row1col3 \= row1col4 \\
row2col1 \> \> row2col3 \\
...
\end{tabbing}

L’environnement tabbing fournit une technique pour aligner du texte en colonnes. Il fonctionne en réglant des taquet et en tabulant jusqu’à eux bien comme on le ferait sur une machine à écrire. Il convient le mieux pour les cas où la largeur de chaque colonnne est constante et connue d’avance.

Cet environnement peut être rompu entre plusieurs pages, contrairement à l’environnement tabular.

Les commandes suivante peuvent être utilisée au sein d’un environnement tabbing :

\\ (tabbing)

Finit une ligne.

\= (tabbing)

Règle un taquet à la position courante.

\> (tabbing)

Avance au taquet suivant.

\<

Place le texte qui suit à la gauche de la marge locale (sans changer cette marge). Ne peut être utilisé qu’au début d’une ligne.

\+

Déplace la marge de gauche d’un taquet vers la droite pour la ligne suivante et toutes celles qui suivent.

\-

Déplace la marge de gauche d’un taquet vers la gauche pour la ligne suivante et toutes celles qui suivent.

\' (tabbing)

Déplace tout ce que vous avez tapé jusqu’alors dans la colonne courante, c.-à-d. tout ce qui suit la plus récente commande \>, \<, \', \\, ou \kill, à la droite de la colonne précédente, aligné à droite sur le taquet de la colonne courante.

\` (tabbing)

Vous perme de placer du texte justifié à droite sur n’importe quel taquet, y compris le taquet 0. Toutefois, ne peut pas placer du texte à la droite de la dernière colonne parce qu’il n’y a pas de taquet à cet endroit. La commande \` déplace tout le texte qui la suit, jusqu’à la commande \\ ou \end{tabbing} qui termine la ligne.

\a (tabbing)

Dans un environnement tabbing, les commandes \=, \' et \` ne produisent pas d’accents comme d’habitude (voir Accents). À leur place, on utilise les commandes \a=, \a' et \a`.

\kill

Règles les taquets sans produire de texte. Fonctionne tout comme \\ à ceci près que la ligne courante est jetée au lieu de produire une sortie. L’effet de toute commande \=, \+ ou \- dans cette ligne demeure en vigueur.

\poptabs

Restaure les positions de taquets sauvegardés par le dernier \pushtabs.

\pushtabs

Sauvegarde positions courantes de tous les taquets. C’est utile pour changer temporairement les positions de taquets au milieu d’un environnement tabbing.

\tabbingsep

Distance à la gauche d’un taquet déplacé par \'.

Cet exemple compose un fonction en Pascal function dans un format traditionnel :

\begin{tabbing}
function \= fact(n : integer) : integer;\\
         \> begin \= \+ \\
               \> if \= n $>$ 1 then \+ \\
                        fact := n * fact(n-1) \- \\
                  else \+ \\
                        fact := 1; \-\- \\
            end;\\
\end{tabbing}

Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.22 table

Synopsis :

 \begin{table}[placement]
  corps-du-talbeau
 \caption[titreldt]{titre}
 \end{table}

Une classe de flottants (voir Floats). Parce qu’ils ne peuvent pas être coupés à cheval sur plusieurs pages, il ne sont pas composés en séquence avec le texte normale, mais à la place sont « flottés » vers un endroit convenable, tel que le sommet d’une page suivante.

Pour les valeurs possibles de placement et leur effet sur l’algorithme de placement des flottants, voir Floats.

Le corps du tableau est composé dans une parbox de largueur \textwidth and ainsi il peut contenir du texte, des commandes, etc.

L’étiquette est optionnelle ; elle est utilisée pour les double renvois (voir Cross references). La commande \caption spécifie la légende texte pour la figure. La légende est numérotée par défaut. Si titreldt est présent, il est utilisé dans la liste des talbeaux au lieu de titre (voir Tables of contents).

\begin{table}[b]
  \centering
  \begin{tabular}{r|p{2in}} \hline
    Un &Le plus solitaire des nombres \\
    Deux &Peut être aussi triste qu'un.
         C'est le nombre le plus solitaire après le nombre un.
  \end{tabular}
  \caption{Vertus cardinales}
  \label{tab:VertusCardinales}
\end{table}

Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.23 tabular

Synopsis :

\begin{tabular}[pos]{cols}
column 1 entry & column 2 entry ... & column n entry \\
...
\end{tabular}

ou

\begin{tabular*}{largeur}[pos]{cols}
column 1 entry & column 2 entry ... & column n entry \\
...
\end{tabular*}

Ces environnements produisent une boîte consistant d’une séquence de ligne horizontales. Chaque ligne consiste en des articles qui sont alignés verticalement au sein de colonnes. Ci-après une illustration de beaucoup des caractéristiques.

\begin{tabular}{l|l}
  \textit{Nom du joueur}  &\textit{Coups de circuit de toute sa carrière}  \\
  \hline
  Hank Aaron  &755 \\
  Babe Ruth   &714
\end{tabular}

Le format vertical de deux colonnes alignées à gauche, avec une barre verticales entre elles, est spécifié par l’argument {l|l} de tabular. Les colonnes sont séparées avec une esperluette &. On crée un filet horizontal entre deux ligne avec \hline. La fin de chaque ligne est marquée avec une double-contr’oblique \\. Cette \\ est optionnelle après la dernière ligne, à moins qu’une commande \hline suive, pour mettre un filet sous le tableau.

Les arguments obligatoires et optionnels de tabular consistent en :

largeur

Obligatoire pour tabular*, non autorisé pour tabular. Spécifie la largeur de l’ environnement tabular*. Il doit y avoir de l’espace élastique entre les colonnes, comme avec with @{\extracolsep{\fill}}, de sorte à permettre au tableau de se dilater ou contracter pour faire la largeur spécifiée, sans quoi vous aurez probablement l’avertissement Underfull \hbox (badness 10000) in alignment ...

pos

Optionnel. Spécifie la position verticale du tableau. La valeur par défaut est d’aligner le tableau de sorte à ce que son centre vertical s’accorder à la ligne de base du texte autour. Il y a deux autres alignements possible : t aligne le tableau de sorte que la première ligne s’accorde à la ligne de base du texte autour, et b fait la même chose pour la dernière ligne du tableau.

Ceci n’a un effet que si il y a du texte autour de la table. Dans le cas usuel d’un tabular seul au sein d’un environnement center cette option ne fait aucune différence.

cols

Obligatoire. Spécifie le formatage des colonnes. Il consiste en une séquence des spécificateurs suivants, correspondant à la séquence des colonnes et du matériel intercolonne.

l

Une colonne d’articles alignés à gauche.

r

Une colonne d’article alignés à droite.

c

Une colonne d’article centrés.

|

Une ligne verticale s’étendant complètement sur la hauteur et profondeur de l’environnement.

@{texte ou espace}

Ceci insère texte ou espace à cette position dans chaque ligne. Le matériel texte ou espace est composé en mode LR. Ce texte est fragile (voir \protect).

Ce spécificateur est optionnel : à moins que vous mettiez dans votre propre @-expression alors les classes book, article et report de LaTeX mettent de chaque côté de chaque colonne un espace de longueur \tabcolsep, qui par défaut vaut ‘6pt’. C’est à dire que par défaut des colonnes adjacentes sont séparées de 12pt (ainsi \tabcolsep est un nom trompeur puisque ce n’est pas la séparation entre des colonnes de tableau). Aussi, par défaut un espace de 6pt vient après la première colonne ainsi qu’après la dernière colonne, à moins que vous placiez un @{...} ou | à cet endroit.

Si vous l’emportez sur la valeur par défaut et utilisez une expression en @{...} alors vous devez insérer tout espace désiré vous-même, comme dans @{\hspace{1em}}.

Une expression vide @{} élimine l’espace, y compris l’espace au début ou à la fin, comme dans l’exemple ci-dessous où on veut que les lignes du tableau soient alignées sur la marge de gauche.

\begin{flushleft}
  \begin{tabular}{@{}l}
    ..
  \end{tabular}
\end{flushleft}

Cet exemple montre du texte, une virgule de séparation décimale, entre les colonnes, arangé de sorte que les nombres dans la table sont alignés sur cette virgule.

\begin{tabular}{r@{$,$}l}
  $3$ &$14$  \\
  $9$ &$80665$
\end{tabular}

Une commande \extracolsep{lrg} au sein d’une expression en ‘@{…}’ a pour effet qu’une espace supplémentaire de largeur lrg apparaît sur la gauche de toutes les colonnes suivantes, jusqu’à contre-ordre d’une autre commande \extracolsep. Contrairement aux à espace inter-colonnes ordinaires, cette espace supplémentaire n’est pas supprimé par une expression en ‘@{…}’. Une commande \extracolsep peut uniquement être utilisée au sein d’une expression en ‘@{…}’ elle-même au sein de l’argument cols.

\begin{center}
  \begin{tabular*}{10cm}{l@{\ \ldots\extracolsep{\fill}}l}
    Tomber sept fois, se relever huit
    &c'est comme ça la vie !
  \end{tabular*}
\end{center}

Pour insérer des commandes qui sont automatiquement exécutées avant une colonne donnée, charger le paquetage array et utilisez le spécificateur >{...}.

p{lrg}

Chaque cellule de la colonne est composée au sein d’une parbox de largeur lrg.

Note que les sauts de ligne de type double-contr’oblique \\ ne sont pas permis au sein d’une telle cellule, sauf à l’intérieur d’un environnement comme minipage, array, ou tabular, ou à l’intérieur d’une \parbox explicite, ou dans la portée d’une déclaration \centering, \raggedright, ou \raggedleft (quand elles sont utilisée au sein d’une cellule de colonne en p ces déclaration doivent apparaître entre accolade, comme dans {\centering .. \\ ..}. Sans quoi LaTeX prendra la double contr’oblique comme une fin de ligne.

*{num}{cols}

Équivalent à num copies de cols, où num est un entier positif et cols est toute liste de spécificateurs. Ainsi \begin{tabular}{|*{3}{l|r}|} équivaut à \begin{tabular}{|l|rl|rl|r|}. Notez que cols peut contenir une autre expression en *{…}{…}.

Paramètres qui contrôlent le formatage :

\arrayrulewidth

Une longueur qui est l’épaisseur du filet créé par |, \hline, et \vline au sein des environnements tabular et array. La valeur par défaut est ‘.4pt’. On peut la changer comme dans \setlength{\arrayrulewidth}{0.8pt}.

\arraystretch

Un facteur par lequel l’espacement entre les lignes au sein des environnement tabular et array est multiplié. La valeur par défaut est ‘1’ pour aucune dilatation/contraction. On peut la changer comme dans \renewcommand{\arraystretch}{1.2}.

\doublerulesep

Une longueur qui est la distance ente les filets verticaux produit par le spécificateur ||. La valeur par défaut est ‘2pt’.

\tabcolsep

Une longueur qui est la moitié de l’espace entre les colonnes. La valeur par défaut est ‘6pt’. On peut la changer avec \setlength

Les commandes suivantes peuvent être utilisées à l’intérieur du corps d’un environnement tabular :


Suivant: , Monter: tabular   [Table des matières][Index]

8.23.1 \multicolumn

Synopsis :

\multicolumn{nbrecols}{patron}{texte}

Fabrique une entrée de array ou tabular fusionnée sur plusieurs colonnes. Le premier argument, nbrecols spécifie le nombre de colonnes sur lesquelles s’étend la fusion. Le second argument, patron, est obligatoire et spécifie le format de l’entrée ; notamment c pour centré, l pour aligné à gauche, r pour aligné à droite. Le troisième argument, texte spécifie le texte à mettre dans l’entrée.

Dans l’exemple suivant les trois première colonnes sont fusionnées en le titre unique ‘Nom’.

\begin{tabular}{lccl}
  \textit{ID}     &\multicolumn{2}{c}{\textit{Nom}} &\textit{Âge}\\ \hline % ligne 1
  978-0-393-03701-2 &O'Brian &Patrick                         &55            \\ % ligne two
    ...
\end{tabular}

On compte comme colonne chaque partie du patron patron de l’environnement array ou tabular qui, à l’exception de la première, commence par l, c, r, ou p. Ainsi à partir de \begin{tabular}{|r|ccp{4cm}|} les partie sont |r|, c, c, et p{1.5in}|.

L’argument patron l’emporte sur la spécification par défaut de zone inter-colonne de l’environnement array ou tabular contigüe à cette entrée multi-colonne. Pour affecter cette zone, cet argument peut contenir des barre verticale | indiquant le placement de filets verticaux, et d’expression @{...}. Ainsi si patron est ‘|c|’ alors l’entrée multi-colonne est centrée et un filet vertical la précède et la suit dans les espaces intercolonne de part et d’autre. Ce tableau nous permet de décrire en détail le comportement exact.

\begin{tabular}{|cc|c|c|}
  \multicolumn{1}{r}{w}       % entrée un
    &\multicolumn{1}{|r|}{x}  % entrée deux
    &\multicolumn{1}{|r}{y}   % entrée trois
    &z                        % entrée quatre
\end{tabular}

Avant la première entrée il n’y a pas de filet verticale en sortie parce que le \multicolumn a le spécificateur ‘r’ dans patron sans barre verticales initiale. Entre les entrée un et deux il y a un filet vertical ; en effet bien que le premier patron ne se termine pas par une barre verticale, le second patron en a une à son commencement. Entre la deuxième et la troisième entré il y a un seul filet vertical ; bien que le patron dans les deux multicolumn correspondant demandent un filet vertical, vous n’en obtenez qu’un seul. Entre les entrée trois et quatre il n’y a aucun filet vertical ; la spécification par défaut en demande un mais le patron dans le \multicolumn de la troisième entrée n’en demande pas, et cela l’emporte. Finalement, à la suite de la quatrième entrée il y a un filet vertical à cause de la spécification par défaut.

Le nombre de colonnes fusionnées nbrecols peut être 1. En plus de donner la possibilité de changer l’alignement horizontal, ceci est aussi utile pour l’emporter pour l’une des ligne sur la définition tabular par défaut de la zone inter-colonne, y compris concernant le placement des filets verticaux.

Dans l’exemple ci-dessous, dans la définition tabular de la première colonne on spécifie par défaut de justfier, mais au sein de la première ligne l’entrée est centrée avec \multicolumn{1}{c}{\textsc{Période}}. De même au sein de la première ligne, les deuxième et troisième colonnes sont fusionnées entre elle avec \multicolumn{2}{c}{\textsc{Intervalle}}, l’emportant sur la spécification pour centrer ces deux colonnes sur le trait d’union au sein de la plage de dates.

\begin{tabular}{l|r@{-}l}
  \multicolumn{1}{c}{\textsc{Période}}
    &multicolumn{2}{c}{\textsc{Dates}} \\ \hline
  Baroque          &1600           &1760         \\
  Classique        &1730           &1820         \\
  Romantique       &1780           &1910         \\
  Impressioniste   &1875           &1925
\end{tabular}

Noter ue bien que la spécification tabular par défaut place un filet vertical etre la première et la deuxième colonne, du fait qu’il n’y pas pas de barre verticale dans aucun des patrons patron des commandes \multicolumn des deux premières colonne, alors aucun filet n’apparaît sur la première ligne.


Suivant: , Précédent: , Monter: tabular   [Table des matières][Index]

8.23.2 \cline

Synopsis :

\cline{i-j}

La commande \cline dessine des lignes horizontales à travers les colonnes spécifiées en arguments obligatoires, en commençant dans la i et finissant dans la colonne j.


Suivant: , Précédent: , Monter: tabular   [Table des matières][Index]

8.23.3 \hline

La commande \hline dessine une ligne horizontale de la largeur de l’environnement tabular ou array surjacent. Elle est la plupart du temps utilisé pour dessiner une ligne au sommet, bas, et entre les lignes d’un tableau.


Précédent: , Monter: tabular   [Table des matières][Index]

8.23.4 \vline

La commande \vline dessine une ligne verticale s’étendant sur la totalité de la hauteur et de la profondeur de sa ligne. Une commande \hfill peut être utilisée pour déplacer cette ligne verticale vers le bord de la colonne. La commande \vline peut aussi être utilisée dans une expression @{…}.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.24 thebibliography

Synopsis :

\begin{thebibliography}{étiquette-la-plus-large}
\bibitem[étiquette]{clef_de_cite}
...
\end{thebibliography}

L’environnement thebibliography produit une bibliographie ou une liste de références.

Dans la classe article, cette liste de références est intitulée « Réferences » ; dans la classe report, elle est intitulée « Bibliographie ». Vous pouvez changer le titre (dans les classes standardes) en redéfinissant la commande \refname. Par exemple, cela l’élimine complètement :

\renewcommand{\refname}{}

L’argument obligatoire étiquette-la-plus-large est un texte qui, lorsqu’il est composé, est aussi large que la plus large des étiquettes d’article produit pas les commandes \bibitem. C’est typiquement donné comme 9 pour des bibliographies de moins de 10 références, 99 pour celles qui en on moins de 100, etc.


Suivant: , Monter: thebibliography   [Table des matières][Index]

8.24.1 \bibitem

Synopsis :

\bibitem[étiquette]{clef_de_cite}

La commande \bibitem génère une entrée étiquetée par étiquette. Si l’argument étiquette est omis, un numéro est automatiquement généré en utilisant le compteur enumi. L’argument clef_de_cite est une clef de référence bibiliographique consistant en une séquence quelconque de lettres, chiffres, et signes de ponctuation ne contenant aucune virgule.

Cette commande écrit une entrée dans le fichier .aux, et cette entrée contient les étiquette et clef_de_cite de l’article considéré. Lorsque le fichier .aux est lu par la commande \begin{document}, l’étiquette de l’article est associée à sa clef_de_cite, ce qui a pour effet que toute référence à clef_de_cite avec une commande \cite (voir \cite) produit l’étiquette associée.


Suivant: , Précédent: , Monter: thebibliography   [Table des matières][Index]

8.24.2 \cite

Synopsis :

\cite[subcite]{clefs}

L’argument clefs est une liste d’une ou plus de clefs de références bibliographiques (voir \bibitem), séparées par des virgules. Cette commande génère une référence bibliographique au sein du textes contenant les étiquettes associées aux clefs contenues dans clefs par les entrées respectives au sein du fichier .aux.

Le texte de l’argument optionnel subcite apparaît après l’étiquette de référence. Par exemple, \cite[p.~314]{knuth} pourrait produire ‘[Knuth, p. 314]’.


Suivant: , Précédent: , Monter: thebibliography   [Table des matières][Index]

8.24.3 \nocite

Synopsis :

\nocite{clefs}

La commande \nocite ne produit aucun texte, mais écrit clefs, ce qui est une liste d’une ou plusieurs clefs de référence bibliograhique dans le fichier .aux.


Précédent: , Monter: thebibliography   [Table des matières][Index]

8.24.4 Utilisation de BibTeX

Si vous utilisez le programme BibTeX d’Oren Patashnik (ce qui est fortement recommandé si vous avez besoin d’une bibliographie de plus d’un ou deux titre) pour mainteninr votre bibliographie, vous n’utilisez pas l’environnement thebibliography (voir thebibliography). Au lieu de cela, vous incluez les lignes :

\bibliographystyle{stylebib}
\bibliography{ficbib1,ficbib2}

La commande \bibliographystyle ne produit aucune sortie en elle-même. En revanche, elle définit le style dans lequel la bibliographie est à produite : stylebib fait référence à un fichier stylebib.bst définissant l’aspect que doivent avoir vos référence bibliographique. Les nom stylebib standards distribués avec BibTeX sont :

alpha

Classé alphabetiquement. Les étiquettes sont formées à partir du nom de l’auteur et de l’année de publication.

plain

Classé alphabetiquement. Les étiquettes sont des numéros.

unsrt

Comme plain, mais les entrées sont dans l’ordre où les références y sont faites dans le texte.

abbrv

Comme plain, mais les étiquettes sont plus compactes.

De plus, de nombreux autres styles BibTeX existent faits sur mesure pour satisfaire les exigences de diverses publications. Voir http://mirror.ctan.org/biblio/bibtex/contrib.

La commande \bibliography est ce qui produit pour de bon la bibliographie. L’argument de \bibliography fait référence aux fichiers nommés ficbib1.bib, ficbib2.bib, …, qui sont censés contenir votre base de donnée au format BibTeX. Seules les entrées désignées par les commandes \cite ou \nocite sont listées dans la bibliographie.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.25 theorem

Synopsis :

\begin{theorem}
texte-théorème
\end{theorem}

L’environnement theorem produit « Théorème n » en gras suivi de texte-théorème, où les possibilité de numérotation pour n sont décrites par \newtheorem (voir \newtheorem).


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.26 titlepage

Synopsis :

\begin{titlepage}
texte
\end{titlepage}

L’environnement titlepage crée une page de titre, c’est à dire une page sur laquelle ne sont inscrit aucun numéro de page ou libellé de rubrique. Il entraîne aussi que la page suivante a le numéro un. Le formatage de la page de titre vous est laissé. La commande \today peut être utile sur les pages de titre (voir \today).

Vous pouvez utiliser la commande \maketitle (voir \maketitle) pour produire une page de titre standarde sans utiliser l’environnement titlepage.


Suivant: , Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.27 verbatim

Synopsis :

\begin{verbatim}
literal-texte
\end{verbatim}

L’environnement verbatim est un environnement qui fabrique des paragraphes dans lequel LaTeX produit exactement ce qui vous y taez ; par exemple le caractère \ produit ‘\’ à l’impression . Il, fait de LaTeX une machine à écrire, c.-à-d. que le retour chariot et les blancs y ont un tel effet.

L’environnement verbatim utilise une police de type machine à écrire à chasse fixe (\tt).


Monter: verbatim   [Table des matières][Index]

8.27.1 \verb

Synopsis :

\verbcartexte-littéralcar
\verb*cartexte-littéralcar

La commande \verb compose texte-littéral comme il est entré, en incluant les caractères spéciaux et les espaces, en utilisant la police tapuscrit (\tt). Aucun espaces n’est autorisé entre \verb ou \verb* et le délimiteur car qui marque le début et la fin du texte verbatim. Le délimiteur ne doit pas aparaître dans le texte-littéral.

La forme étoilée (en *) diffère seulement en ce que les espaces sont tapés avec un caractère « espace visible ».


Précédent: , Monter: Environments   [Table des matières][Index]

8.28 verse

Synopsis :

\begin{verse}
line1 \\
line2 \\
...
\end{verse}

L’environnement verse est conçu pour la poésie, bien que vous pouvez lui trouver d’autres usages.

Les marges sont renfoncées sur la gauche et la droite, les paragraphes ne le sont pas, et le texte n’est pas justifié. Séparez le ligne de chaque strophe avec \\, et utilisez une ou plusieurs lignes vides pour séparer les strophes.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

9 Saut à la ligne

La première chose que LaTeX fait lorsqu’il traite du texte ordinaire est de traduire votre fichier d’entrée en une séquence de glyphes et d’espaces. Pour produire un document imprimé, cette séquence doit être rompue en lignes (et ces lignes doivent être rompues en pages).

D’ordinaire LaTeX effectue la rupture de ligne (et de page) pour vous, mais dans certains environnements, vous faites la rupture vous-même avec la commande \\, et vous pouvez toujours forcer manuellement les ruptures.


Suivant: , Monter: Line breaking   [Table des matières][Index]

9.1 \\

Synopsis :

\\[espaceenplus]

ou

\\*[espaceenplus]

Commencer une nouvelle ligne. L’argument optionnel espaceenplus spécifie l’espace supplémentaire vertical à insérer avant la ligne suivante. Ceci peut être une longueur négative. Le texte avant le saut est composé à sa longueur normale, c.-à-d. qu’il n’est pas dilaté pour remplir la largeur de la ligne.

Les sauts de ligne explicites au sein du corps de texte sont inhabituels en LaTeX. en particulier, pour commencer un nouveau paragraphe laissez plutôt une ligne à blanc. Cette commande est utilisée principalement en dehors du flux principal de texte comme dans un environnement tabular ou array.

Dans des circonstances ordinaires (par ex. en dehors d’une colonne spécifiée par p{...} dans un environnement tabular) la commande \newline est un synonyme de \\ (voir \newline).

En plus de commencer une nouvelle ligne, la forme étoilée \\* dit à LaTeX de ne pas commencer une nouvelle page entre les deux lignes, en émettant un \nobreak.

\title{Mon histoire~: \\[7mm]
       un conte pathétique}

Suivant: , Précédent: , Monter: Line breaking   [Table des matières][Index]

9.2 \obeycr & \restorecr

La commande \obeycr a pour effet qu’un retour chariot dans le fichier d’entrée (‘^^M’, internement) soit traité de la même façon que \\ (suivi d’un \relax). Ainsi chaque passage à la ligne dans l’entrée est aussi un passage à la ligne dans la sortie.

\restorecr restaure le comportement normal vis à vis des saut de ligne.


Suivant: , Précédent: , Monter: Line breaking   [Table des matières][Index]

9.3 \newline

Dans du texte ordinaire ceci est équivalent à une double-contr’oblique (voir \\) ; cela rompt la ligne, sans dilatation du texte le précéndent.

Au sein d’un environnement tabular ou array, dans une colonne avec un specificateur produisant une boîte paragraphe, comme typiquement p{..}, \newline insère un saut de ligne au sein de la colonne, c.-à-d. insère un saut de ligne à l’intérieur de la colonne, c.-à-d. qu’il ne rompt pas la ligne entière. Pour rompre la ligne entière utilisez \\ ou son équivalent \tabularnewline.

L’exemple suivant écrit ‘Nom~:’ et ‘Adresse~:’ comme deux ligne ain sein d’une seule cellule du tableau.

\begin{tabular}{p{2.5cm}{\hspace{5cm}}p{2.5cm}}
  Nom~: \newline Adresse~: &Date~: \\ \hline
\end{tabular}

La ‘Date~:’ sera alignée sur la ligne de base de ‘Nom~:’.


Suivant: , Précédent: , Monter: Line breaking   [Table des matières][Index]

9.4 \- (césure à gré)

La commande \- commande dit à LaTeX qu’il peut faire une césure du mode à cet endroit. LaTeX est très bon en ce qui concerne les césures, et il trouve la plupart des points corrects de césure, tout en n’en utilisant presque jamais un incorrect. La commande \- est commande est utilisée pour les cas exceptionnels.

Quand vous insérez des commandes \- dans un mot, le mot ne pourra avoir de césure qu’à ces endroit et non dans aucun des points de césure que LaTeX aurait pu choisir sinon.


Suivant: , Précédent: , Monter: Line breaking   [Table des matières][Index]

9.5 \discretionary (point de césure généralisé)

Synopsis :

\discretionary{avant-saut}{après-saut}{sans-saut}

La commande \discretionary permet de contrôler finement la césure dans les cas où ne suffisent ni le contrôle standard de la césure fait l’algorithme de césure de TeX et les règles de césures données par les paquetages de gestion linguistiques, ni les moyens de contrôle explicites offerts par les commandes \hyphenation (voir \hyphenation) et \- (voir \- (césure à gré)).

\discretionary indique qu’un saut de ligne est possible à cet endroit. Dans le cas d’un saut de ligne, le texte avant-saut est placé immédiatement avant le saut, et le texte après-saut immédiatement après. Dans le cas sans saut de ligne le texte sans-saut est imprimé.

Les arguments de \discretionary ne peuvent contrenir que des caractères, des boîtes ou des crénages.

L’usage typique de \discretionary est par exemple de contrôler la césure au sein d’une formule mathématique en mode ligne (voir aussi Miscellanées mathématique (entrée \*)). Ci-dessous un exemple de contrôle de la césure au sein d’une adresse réticulaire, où l’on autorise la césure sur les obliques mais en utilisant une contr’oblique violette en lieu de trait d’union :

\documentclass{article}
\usepackage[T1]{fontenc}
\usepackage[utf8]{inputenc}
\usepackage{xcolor}
\usepackage{hyperref}
\usepackage{french}
\newcommand*\DiscrSlash{\discretionary{\mbox{\textcolor
 {purple}{\textbackslash}}}{/}{/}}
\begin{document}
Allez donc à \href{http://une/tr\%c3\%A8s/tr\%c3\%A8s/longue%
  /mais/vraiment/tr\%c3\%A8s/longue/adresse/r\%C3\%A9ticulaire%
  /index.html}{http://une\DiscrSlash très\DiscrSlash très\DiscrSlash
  longue\DiscrSlash mais\DiscrSlash vraiment\DiscrSlash
  très\DiscrSlash longue\DiscrSlash adresse\DiscrSlash
  réticulaire\DiscrSlash index.html}
\end{document}

Suivant: , Précédent: , Monter: Line breaking   [Table des matières][Index]

9.6 \fussy

La déclaration \fussy (ce qui est le réglage par défaut) a pour effet que TeX fait le difficile à propos des saut de ligne. Ceci évite d’ordinaire trop d’espace entre les mots, au prix d’occasionnellement une boîte trop pleine (‘overfull \hbox’).

Cette commande annule l’effet d’une commande \sloppy précédente (voir \sloppy).


Suivant: , Précédent: , Monter: Line breaking   [Table des matières][Index]

9.7 \sloppy

La déclaration \sloppy a pour effet que TeX fasse moins le difficile à propos des sauts de ligne. Ceci evite les boîtes trop pleines, au prix d’un espacement lâche entre les mots.

L’effet dure jusqu’à la prochaine commande \fussy (voir \fussy).


Suivant: , Précédent: , Monter: Line breaking   [Table des matières][Index]

9.8 \hyphenation

Synopsis :

\hyphenation{mot-un mot-deux}

La commande \hyphenation déclare les points de césure autorisé avec un caratère - au sein des mots donnés. Les mots sont séparés par des espaces. TeX ne fera de césure que si le mot correspond exactement, aucune désinence n’est essayée. Des commandes \hyphenation mutliple s’accumulent. Voici quelques exemples en anglais (les motifs de césure par défaut de TeX manquent les césures de ces mots) :

\hyphenation{ap-pen-dix col-umns data-base data-bases}

Précédent: , Monter: Line breaking   [Table des matières][Index]

9.9 \linebreak & \nolinebreak

Synopsis :

\linebreak[priorité]
\nolinebreak[priorité]

Par défaut, la commande \linebreak (\nolinebreak) force (empêche) un saut de ligne à la position courante. Pour \linebreak, les espaces de la ligne sont dilatés jusqu’à ce qu’elle s’étende jusqu’à la marge de droite, comme d’habitude.

Avec l’argument optionnel priorité, vous pouvez convertir la commande d’une simple demande à une requête. La priorité doit être un nombre compris entre 0 et 4. Plus ce nombre est grand, et plus la requête est insistante.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

10 Saut de page

LaTeX commence de nouvelles pages de façon asynchrone, lorsque suffisamment de matériel a été accumulé pour remplir une page. D’ordinaire ceci se produit automatiquement, mais parfois on peut désirer influencer les sauts.


Suivant: , Monter: Page breaking   [Table des matières][Index]

10.1 \cleardoublepage

La commande \cleardoublepage finit la page courante et fait que LaTeX imprime tous les flottants, tableaux et figures, qui sont apparus en entrée jusqu’à ce point et sont en attente. Dans le cas d’une impression en style twoside, elle fait aussi que la nouvelle page et une page de droite (numérotée impaire), en produisant si nécessaire une page à blanc.


Suivant: , Précédent: , Monter: Page breaking   [Table des matières][Index]

10.2 \clearpage

La commande \clearpage finit la page actuelle et fait que LaTeX imprime tous les flottants, tableaux et figures, qui sont apparus en entrée jusqu’à ce point et sont en attente.


Suivant: , Précédent: , Monter: Page breaking   [Table des matières][Index]

10.3 \newpage

La commande \newpage finit la page courante, mais ne débourre pas tous les flottants (voir \clearpage).


Suivant: , Précédent: , Monter: Page breaking   [Table des matières][Index]

10.4 \enlargethispage

\enlargethispage{size}

\enlargethispage*{size}

Agrandit la \textheight de la page courante de la quantité spécifiée ; par exemple \enlargethispage{\baselineskip} permet d’avoir une ligne de plus.

La forme étoilée essaie de comprimer le matériel sur la page autant que possible. Ceci est normalement utilisé en même temps qu’un \pagebreak explicite.


Précédent: , Monter: Page breaking   [Table des matières][Index]

10.5 \pagebreak & \nopagebreak

Synopsis :

\pagebreak[priorité]
\nopagebreak[priorité]

Par défaut, la commande \pagebreak (\nopagebreak) force (empèche) un saut de page à la position courante. Avec \pagebreak, l’espace verticale sur la page est dilatée où c’est possible de sorte à s’étendre jusqu’à la marge inférieure normale.

Avec l’argument optionnel priorité, vous pouvez convertique la commande \pagebreak d’une demande à une exigence. Le nombre doit être compris entre 0 et 4. Plus grand est le nombre, et plus insistant est l’exigence.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

11 Note en bas de page

Mettez une note en bas de la page courante avec la commande \footnote comme ci-dessous.

Noël Coward a dit plaisamment que lire une note en bas de page, c'est
comme devoir descendre répondre à la porte d'entrée alors qu'on est en
train de faire l'amour\footnote{Je ne peux pas le savoir ; je ne lis
jamais les notes en bas de page}

Vous pouvez placer beaucoup de notes en bas de page dans une page. Si le texte devient trop long alors il est continué sur la page suivante.

Vous pouvez aussi produire des notes en bas de page en combinant les commandes \footnotemark et \footnotetext, ce qui est utiles dans des circonstances speciales.


Suivant: , Monter: Footnotes   [Table des matières][Index]

11.1 \footnote

Synopsis :

\footnote[numéro]{texte}

Place en bas de la page courante une note texte numérotée.

Il y a plus d'un milier de notes en bas de page dans \textit{Histoire
Du Déclin Et De La Chute De L'empire Romain}\footnote{Après la lecture
d'une version préléminaire, David Hume s'est plaint, « On souffre d'un
fléau avec ces notes, selon la méthode acutelle d'imprimer le livre » et
il suggera qu'elles « ne soient seulement imprimée dans la marge ou en
bas de page »} d'Édouard Gibbon.

L’argument optionnel numéro vous perme de spécifier le numéro de la note. Le compteur footnote donnant le numéro de la note n’est pas incrémenté si vous utilisez cette option, mais l’est dans le cas contraire.

Changez l’aspect que LaTeX donne au compteur de note en bas de page avec quelque chose du genre de \renewcommand{\thefootnote}{\fnsymbol{footnote}}, ce qui utilise une séquence de symboles (voir \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol). Pour rendre ce changement global mettez cela dans le préambule. Si vous faite ce changement local alors vous désirerez sans doute réinitialiser le compte avec \setcounter{footnote}{0}. Par défaut LaTeX utilise des nombres arabes.

Le comportement par défaut de LaTeX met beaucoup de restrictions sur l’endroit où l’on peut utiliser une \footnote ; par exemple, vous ne pouvez pas l’utiliser dans l’argument d’une commande de rubricage telle que \chapter (elle ne peut être utilisée seulement en mode paragraphe le plus externe). Il y a des contournements ; voir les rubriques suivantes.

Au sein d’un environnement minipage la commande \footnote utilise le compteur mpfootnote au lieu de footnote, de sorte que les notes sont numérotéee indépendemment. Elles apparaissent au bas de l’environnement, et non au bas de la page. Et par défaut elles apparaissent alphabétiquement. Voir minipage.


Suivant: , Précédent: , Monter: Footnotes   [Table des matières][Index]

11.2 \footnotemark

Synopsis :

\footnotemark

Sans l’argument optionnel, la commande \footnotemark place dans le texte le numéro de la note courante. Cette commande peut être utilisée en mode paragraphe interne. Vous pouvez donner le texte de la note séparéement la commande \footnotetext.

Cette commande pour produire plusieurs marque de note en bas de page faisant référence à la même note avec

\footnotemark[\value{footnote}]

après la première commande \footnote.


Suivant: , Précédent: , Monter: Footnotes   [Table des matières][Index]

11.3 \footnotetext

Synopsis, l’un des deux :

\footnotetext{texte}
\footnotetext[numéro]{texte}

Place texte au bas de la page comme une note en bas de page. Cette This commande peut appraître n’importe où après la commande \footnotemark. L’argument optionnel numéro change le numéro de note affiché. La commande \footnotetext ne doit être utilisée qu’en mode paragraphe externe.


Suivant: , Précédent: , Monter: Footnotes   [Table des matières][Index]

11.4 Notes en bas de page dans un tableau

Au sein d’un environnement table la commande \footnote ne fonctionne pas. Par exemple, si le code ci-dessous apparaît sans plus alors la note disapaît tout simplement ; il y aura une marque de note dans la cellule du tableau mais rien n’est composé en bas de la page.

\begin{center}
     \begin{tabular}{l|l}
     \textsc{Ship}  &\textsc{Book} \\ \hline
     \textit{HMS Sophie}     &Master and Commander  \\
     \textit{HMS Polychrest} &Post Captain  \\
     \textit{HMS Lively}     &Post Captain \\
     \textit{HMS Surprise}   &A number of books\footnote{Starting with
                                HMS Surprise.}
     \end{tabular}
\end{center}

La solution est d’entourer l’environnement the tabular d’un environnement minipage, comme ci-après (voir minipage).

\begin{center}
  \begin{minipage}{.5\textwidth}
    .. matériel tabulaire ..
  \end{minipage}
\end{center}

La même technique marche au sein d’un environnement table flottant (voir table). To get the footnote at the bottom of the page use the tablefootnote package, comme illustré dans l’exemple ci-apès. Si vous placez \usepackage{tablefootnote} dans le préambule et utilisez le code source ci-dessous, alors la note apparaîtra en bas de la page et sera numérotée dans la même séquence que les autres notes en bas de page.

\begin{table}
  \centering
     \begin{tabular}{l|l}
     \textsc{Date}  &\textsc{Campagne} \\ \hline
     1862           &Fort Donelson \\
     1863           &Vicksburg     \\
     1865           &Armée de Virginie du Nord\footnote{Fin de la
                     guerre.}
     \end{tabular}
    \caption{Forces capturées par le général Grant}
\end{table}

Suivant: , Précédent: , Monter: Footnotes   [Table des matières][Index]

11.5 Note en bas de page dont le renvoi est au sein d’un titre de rubrique

Mettre une note en bas de page depuis un titre de rubrique, comme dans :

\section{Les ensembles complets\protect\footnote{Ce texte est dû à ...}}

a pour effet que la note en bas de page apparaît à la fois en bas de la page où la rubrique commence, et de celle où son titre apparaît dans la table des matières, ce qui vraisembablement n’est pas voulu. Pour qu’elle n’apparaisse pas sur la table des matières utilisez le paquetage footmisc avec l’option stable.

\usepackage[stable]{footmisc}
 ..
\begin{document}
 ..
\section{Les ensembles complets\footnote{Ce texte est dû à R~Jones.}}

Notez que le \protect a disparu ; l’inclure aurait pour effet que la note en bas de page apparaîtrait de nouveau dans la table des matières.


Précédent: , Monter: Footnotes   [Table des matières][Index]

11.6 Paramètres des notes en bas de page

\footnoterule

Produit le filet de séparation entre texte principal sur une page et les notes en bas de cette page. Les dimension par défaut : épaisseur (ou largeur) 0.4pt, et longueur 0.4\columnwidth dans les classes standard de document (à l’exception slide, où elle n’apparaît pas).

\footnotesep

La hauteur de l’étai placé au début de la note en bas de page. Par défaut, c’est réglé à l’étai nomal pour des police de taille \footnotesize (voir Font sizes), donc il n’y a pas d’espace supplémentaire entre les notes. Cela vaut ‘6.65pt’ pour des polices à ‘10pt’, ‘7.7pt’ pour ‘11pt’, et ‘8.4pt’ pour ‘12pt’.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

12 Définitions

LaTeX prend en charges la fabrication de nouvelles commandes de bien des genres.


Suivant: , Monter: Definitions   [Table des matières][Index]

12.1 \newcommand & \renewcommand

\newcommand définit une nouvelle commande, et \renewcommand la redéfinit.

Synopsis :

  \newcommand{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
\renewcommand{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
  \newcommand*{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}
\renewcommand*{\cmd}[nargs][optargdéfaut]{défn}

La forme étoilée (en *) de ces commandes exige que les arguments ne contiennent pas de paragraphes de texte (la commande n’est pas \long, dans la terminologie de TeX de base).

cmd

Obligatoire ; \cmd est le nom de la commande. Pour \newcommand, il ne doit pas être déja défini et ne doit pas commencer avec \end ; pour \renewcommand, il doit être déja défini.

nargs

Optionnel ; un entier compris entre 1 et 9 spécifiant le nombre d’arguments que commande peut prendre, y compris un éventuel argument optionnel. Si cet argument n’est pas présent, alors la spécification par défaut est que la commande ne prend aucun argument. Lorsque on redéfinit une commande, la nouvelle version peut prendre un nombre différent d’arguments par rapport à l’ancienne.

optargdéfaut

Optionnel ; si cet argument est present, alors le premier argument de la commande \cmd en définition est optionnel, et sa valeur par défaut est optargdéfaut (qui peut être une chaîne vide). Si cet argument n’est pas présent, alors \cmd ne prend pas d’argument optionnel.

C’est à dire que si \cmd est utilisé avec des crochets à la suite, comme dans \cmd[maval], alors au sein de défn le premier paramètre positionnel #1 se développe en maval. Par contre si \cmd est appelé sans crochet à la suite, alors au sein de défn le paramètre positionnel #1 se développe en la valeur par défaut optargdéfaut. Dans tous les cas, tout argument obligatoire sera désigné en commençant par #2.

Omettre [maval] dans un appel n’est pas la même chose qu’avoir les crochets ne contenant rien, comme dans []. Dans le premier cas le paramètre #1 se développe en optargdéfaut ; alors que dans le secon #1 se développe en une chaîne vide.

défn

Le texte par lequel substituer chaque occurrence de \cmd ; le paramètre positionnel #n au sein de défn est remplacée par le texte passé comme nième argument.

TeX ignore les espaces dans le code source à la suite d’une commande (ou de toute séquence de contrôle), comme dans ‘\cmd ’. Si vous désirez une espace réellement à cet endroit, une solution est de taper {} après la commande (‘\cmd{} ’), et un autre est d’utiliser un espace de contrôle explicite (‘\cmd\ ’).

Un exemple simple de définition d’une nouvelle commande : \newcommand{\JM}{Jean Martin} a pour effet le remplacement de l’abréviation \JM par le texte plus long de la définition.

La redéfinition d’une commande existante est similaire : \renewcommand{\symbolecqfd}{{\small CQFD}}.

Voici la définition d’une commande avec un argument obligatoire :

\newcommand{\defref}[1]{Définition~\ref{#1}}

Alors, \defref{def:basis} se développe en Définition~\ref{def:basis}, ce qui en fin de compte se développera en quelque-chose du genre de ‘Définition~3.14’.

Un exemple avec deux arguments obligatoires : \newcommand{\nbym}[2]{$#1 \times #2$} est invoqué comme \nbym{2}{k}.

Un exemple avec un argument optionnel :

\newcommand{\salutation}[1][Madame, Monsieur]{#1,}

Alors, \salutation donne ‘Madame, Monsieur,’ alors \salutation[Cher Jean] donne ‘Cher Jean,’. Et \salutation[] donne ‘,’.

Les accolades autour de défn ne définissent pas un groupe, c.-à-d. qu’elle ne délimitent pas la portée du résultat du développement de défn. Ainsi la définition \newcommand{\nomnavire}[1]{\it #1} est problématique ; dans cette phrase

Le \nomnavire{Monitor} rencontra le \nomnavire{Merrimac}.

les mots ‘rencontra le’ sont mis incorrectement en italique. Une paire supplémentaire d’accolades est nécessaire, comme cela : \newcommand{\nomnavire}[1]{{\it #1}}. Ces accolades font partie de la définition et par conséquent définissent bien un groupe.


Suivant: , Précédent: , Monter: Definitions   [Table des matières][Index]

12.2 \newcounter

Synopsis :

\newcounter{nomcompteur}[super]

La commande \newcounter définit un nouveau compteur nommé nomcompteur. Le nouveau compteur est initialisé à zéro.

Quand l’argument optionnel [super] est fourni, le compteur nomcompteur est réinitialisé à chaque incrémentation du compteur nommé super.

Voir Counters, pour plus d’information à propos des compteurs.


Suivant: , Précédent: , Monter: Definitions   [Table des matières][Index]

12.3 \newlength

Synopsis :

\newlength{\arg}

La commande \newlength définit l’argument obligatoire comme une commande de longueur avec une valeur de 0mm. L’argument doit être une séquence de contrôle, comme dans \newlength{\foo}. Une erreur se produit si \foo est déjà défini.

Voir Lengths, pour comment régler la nouvelle longeur à une valeur non nulle, et pour plus d’information à propos des longueurs en général.


Suivant: , Précédent: , Monter: Definitions   [Table des matières][Index]

12.4 \newsavebox

Synopsis :

\newsavebox{\cmd}

Définit \cmd pour se référer à un nouveau bac pour stocker des boîtes. Une telle boîte sert à détenir du matériel composé, pour l’utiliser plusieurs fois (voir Boxes) ou pour le mesurer ou le manipuler. Le nom \cmd doit commencer par une contr’oblique, et ne doit pas être déjà défini.

L’allocation d’une boîte est globale. Cette commande est fragile (voir \protect).


Suivant: , Précédent: , Monter: Definitions   [Table des matières][Index]

12.5 \newenvironment & \renewenvironment

Ces commandes définissent ou redéfinissent un environnement env, c.-à-d., \begin{env} corps \end{env}.

Synopsis :

  \newenvironment{env}[nargs][argoptdéfaut]{défdébut}{déffin}
  \newenvironment*{env}[nargs][argoptdéfaut]{défdébut}{déffin}
\renewenvironment{env}[nargs]{défdébut}{déffin}
\renewenvironment*{env}[nargs]{défdébut}{déffin}

La forme étoilée de ces commandes exige que les arguments (à ne pas confondre avec le corps de l’environnement) ne contiennent pas de paragraphes de texte.

env

Obligatoire ; le nom de l’environnement. Il est constitué seulement de lettres ou du caractère astérisque *, et donc ne commence pas par une contr’oblique \. Il ne doit pas commencer par la chaîne end. Pour \newenvironment, env ne doit pas être le nom d’un environnement déjà existant, et la commande \env ne doit pas être définie. Pour \renewenvironment, env doit être le nom d’un environnement déjà existant.

nargs

Optionnel ; un entier de 0 à 9 indiquant le nombre d’arguments que l’environnement attend. Quand l’environnement est utilisé, ces arguments apparaissent après le \begin, comme dans \begin{env}{arg1}…{argn}. Si cet argument n’est pas présent, alors par défaut l’environment n’attend pas d’argument. Lorsqu’on redéfinit un environment, la nouvelle version peut prendre un nombre différent d’arguments que la précédente.

argoptdéfaut

Optionnel ; si cet argument est présent alors le premier argument de l’environnement en définition est optionnel, et sa valeur par défaut est argoptdéfaut (éventuellement une chaîne vide). Si cet argument n’est pas présent alors l’environnement ne prend pas d’argument optionnel.

c.-à-d. que si [argoptdéfaut] est présent dans la définition de l’environnement, et que \begin{env} est utilisé avec des crochets à la suite, comme dans \begin{env}[maval], alors, au sein de défdébut, le paramètre positionnel #1 se développe en maval. Si par contre \begin{env} est appéelé sans être suivi de crochet, alors, au sein de défdébut, le paramètre positionnel #1 se développe en la valeur par défaut, c.-à-d. optargdefault. Dans les deux cas, le premier paramètre positionnel faisant référence à argument obligatoire est #2.

Omettre [maval] dans l’appel est différent d’avoir des crochets sans contenu, c.-à-d. []. Dans le premier cas #1 se développe en argoptdéfaut, et dans le second en une chaîne vide.

défdébut

Obligatoire ; le texte qui est développé à toute occurrence de \begin{env} ; au sein de défdébut, le nième paramètre positionnel, (c.-à-d. #n), est remplacé au sein de défdébut par le texte du nième argument.

déffin

Obligatoire ; le texte développé à toute occurrence de \end{env}. Il ne doit contenir aucun paramètre positionnel, ainsi #n ne peut pas être utilisé ici (mais voyez l’exemple final ci-après).

Tous les environnements, c’est à dire le code de défdébut, le corps de l’environnement, et le code déffin, sont traités au sein d’un groupe. Ansi, dans le premier exemple ci-dessous, l’effet de \small est limité à la citation et ne s’étend pas au matériel qui suit l’environnement.

Cet exemple dont un environnement semblable à quotation de LaTeX à ceci près qu’il sera composé dans une taille de police plus petite :

\newenvironment{smallquote}{%
  \small\begin{quotation}
}{%
  \end{quotation}
}

Celui-ci montre l’utilisation des arguments ; cela donne un environnement de citation qui affiche l’auteur :

\newenvironment{citequote}[1][Corneille]{%
  \begin{quotation}
  \noindent\textit{#1}:
}{%
  \end{quotation}
}

Le nom de l’auteur est optionnel, et vaut par défaut ‘Corneille’. Dans le document, utilisez l’environnement comme ceci :

\begin{citequote}[Clovis, roi des Francs]
  ...
\end{citequote}

Ce dernier exemple montre comment sauvegarder la valeur d’un argument pour l’utiliser dans déffin, dans ce cas dans une boîte (voir \sbox).

\newsavebox{\quoteauthor}
\newenvironment{citequote}[1][Corneille]{%
  \sbox\quoteauthor{#1}%
  \begin{quotation}
}{%
  \hspace{1em plus 1fill}---\usebox{\quoteauthor}
  \end{quotation}
}

Suivant: , Précédent: , Monter: Definitions   [Table des matières][Index]

12.6 \newtheorem

Définit une nouvel environnement simili-théorème. Synopsis :

\newtheorem{nom}{titre}[numéroté_au_sein_de]
\newtheorem{nom}[numéroté_comme]{titre}

Ces deux commandes crééent un environnement simili-théorème nom. Utiliser la première des deux formes,

\newtheorem{nom}{titre}[numéroté_au_sein_de]

avec l’argument optionnel après le second argument obligatoire, crée un environnement dont le compteur est subordonné au compteur déjà existant numéroté_au_sein_de, c.-à-d. qui est réinitialisé à it will chaque réinitialisation de numéroté_au_sein_de.

Utiliser la seconde forme,

\newtheorem{nim}[numéroté_comme]{titre}

avec l’argument optionnel entre les deux arguments obligatoire, crée une environnement dont le compteur partage le compteur déjà défini numéroté_comme.

Vous pouvez spécifier l’un seul de numéroté_au_sein_de et numéroté_comme, ou ni l’un ni l’autre, mais non les deux à la fois.

Cette commande crée un compteur nommé name. De plus, à moins que l’argument optionnel numéroté_comme soit utilisé, la valeur courrante de \ref est celle de \thenuméroté_au_sein_de (voir \ref).

Cette déclaration est globale. Elle est fragile (voir \protect).

nom

Le nom de l’environnement. Il ne doit pas commencer avec une contr’oblique (‘\’). Il ne doit pas être le nom d’un environnement déjà exisant ; en fait le nom de commande \nom ne doit pas être déjà défini de quelque façon que ce soit.

titre

Le texte imprimé au début de l’environnement, avant le numéro. Par exemple, ‘Théorème’.

numéroté_au_sein_de

Optionnel ; le nom d’un compteur déjà défini, d’ordinaire une unité sectionnelle telle que chapter ou section. Lorsque le compteur numéroté_au_sein_de est re-initialisé, alors le compteur de l’environnement nom l’est aussi.

Si cet argument optionnel est omis alors la commande \thenom est définie comme \arabic{nom}.

numéroté_comme

Optionnel ; le nom d’un environement simil-théorème déjà défini. Le nouvel environnement se numéroté en séquence avec numéroté_comme.

En l’absence des arguments optionnels les environnement sont numérotés en séquence. L’exemple suivant a une déclaration dans le préambule qui résulte en ‘Définition 1’ et ‘Définition 2’ en sortie.

\newtheorem{defn}{Définition}
\begin{document}
\section{...}
\begin{defn}
  Première déf.
\end{defn}

\section{...}
\begin{defn}
  Seconde déf.
\end{defn}

Parce que l’exemple suivant spécifie section comme argument optionnel numéroté_au_sein_de à \newtheorem, l’exemple, reprenant le même corps de document que l’exemple précédent, donne ‘Définition 1.1’ et ‘Définition 2.1’.

\newtheorem{defn}{Definition}[section]
\begin{document}
\section{...}
\begin{defn}
  Première déf.
\end{defn}

\section{...}
\begin{defn}
  Seconde déf.
\end{defn}

Dans l’exemple suivant il y a deux déclarations dans le préambule, la seconde desquelle appelle le nouvel environnement thm pour utilise le même compteur que defn. Cela donne ‘Définition 1.1’, suivi de ‘Théorème 2.1’ et ‘Définition 2.2’.

\newtheorem{defn}{Définition}[section]
\newtheorem{thm}[defn]{Théorème}
\begin{document}
\section{...}
\begin{defn}
  Première déf.
\end{defn}

\section{...}
\begin{thm}
  Premier théorème
\end{thm}

\begin{defn}
  Seconde déf.
\end{defn}
\section{...}

Suivant: , Précédent: , Monter: Definitions   [Table des matières][Index]

12.7 \newfont: définit une nouvelle police (obsolète)

\newfont, desormais obsolète, définit une commande qui commute la police de caractère. Synopsis :

\newfont{\cmd}{description_police}

Ceci définit une séquence de contrôle \cmd qui change la police courante. LaTeX cherche sur votre système un fichier nommé nompolice.tfm. La séquence de contrôle ne doit pas être déjà définie. Elle doit commencer par une contr’oblique (‘\’).

Cette commande est obsolète. c’est une commande de bas niveau pour mettre en place une police individuelle. De nos jours, les polices sont pratiquement toujours définies en familles (ce qui vous permet, par exemple, d’associer un gras et un romain) au travers de ce qu’il est convenu de nommer le « Nouveau Plan de Sélection de Polices de caractère », soit en utilisant des fichier .fd ou à travers l’utilisation d’un moteur qui sait accéder au système de polices de caractère, tel que XeLaTeX (voir Les moteurs TeX).

Mais puisque cela fait partie de LaTeX, voici l’explication : le paramètre description_police consiste en un nompolice et une clause at optionnelle ; celle-ci peut avoir soit la forme at dimen ou scaled facteur, où un facteur de ‘1000’ signifie aucune dilatation/contraction. Pour l’usage de LaTeX, tout ce que ceci fait est de dilater ou contracter le caractère et les autre dimension relative à la taille de conception de la police, ce qui est une valeur définie dans le fichier en .tfm.

Cet exemple défnit deux polices équivalente et compose quelques caractères dans chacune d’elles :

\newfont{\testpoliceat}{cmb10 at 11pt}
\newfont{\testpolicedilatee}{cmb10 scaled 1100}
\testpoliceat abc
\testpolicedilatee abc

Précédent: , Monter: Definitions   [Table des matières][Index]

12.8 \protect

Toutes les commandes de LaTeX sont soit fragiles soit robustes. Les notes en bas de page, les saut de ligne, toute commande prenant un argument optionnel, et bien d’autres, sont fragiles. Une commande fragile peut se disloquer et causer une erreur lorsque elle est utilisée au sein de l’argument de certaines commandes. Pour empécher la dislocation de ces commandes l’une des solutions est de les précéder de la commande \protect.

Par exemple, lorsque LaTeX execute la commande \section{nom-rubrique} il écrit le texte nom-rubrique dans le fichier auxiliaire .aux, de sorte à pouvoir le tirer de là pour l’utiliser dans d’autres partie du document comme la table des matières. On appelle argument mouvant tout argument qui est développé en interne par LaTeX sans être directement composé en sortie. Une commande est dite fragile si elle se développe pendant ce processus en un code TeX non valide. Certains exemples d’arguments mouvants sont ceut qui apparaissent au sein des commande \caption{...} (voir figure), dans la commande \thanks{...} (voir \maketitle), et dans les expression en @ des environnements tabular et array (voir tabular).

Si vous obtenez des erreurs étranges de commandes utilisées au sein d’arguments mouvants, essayez des les précéder d’un \protect. Il faut un \protect pour chacune des commandes fragiles.

Bien qu’en général la commande \protect ne fait pas de mal, les commandes de gestion de longueurs sont robustes et ne devraient pas être précédées d’une commande \protect. Une commande \protect ne peut pas non plus être utilisée au sein de l’argument d’une commande \addtocounter ou \setcounter.

Dans l’exemple qui suit la commande \caption produit une erreur mystérieuse

\begin{figure}
  ...
  \caption{Company headquarters of A\raisebox{1pt}{B}\raisebox{-1pt}{C}}
\end{figure}

Dans l’exemple suivant la commande \tableofcontents produit une erreur à cause du \(..\) dans le titre de section qui se développe en code incorrect TeX dans le fichier .toc. Vous pouvez résoudre ceci en remplaçat \(..\) par \protect\(..\protect\).

\begin{document}
\tableofcontents
...
\section{Einstein's \( e=mc^2 \)}
...

Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

13 Compteurs

Tout ce que LaTeX numérote pour vous a un compteur associé avec soi. Le nom du compteur est le même que le nom de l’environnement ou de la commande qui produit le numéro, sauf qu’il ne pas de \. (enumienumiv sont utilisés pour les environnements enumerate imbriqués). Ci-dessous se trouve une liste des compteurs utilisée dans les classes standardes de documents LaTeX pour contrôler la numérotation.

part paragraphe figure enumi
chapter subparagraph table enumii
section page footnote enumiii
subsection équation mpfootnote enumiv
subsubsection

Suivant: , Monter: Counters   [Table des matières][Index]

13.1 \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol: Taper des compteurs

Toutes ces commandes prennent un unique compteur en argument, par exemple, \alph{enumi}.

\alph

tape compteur en utilisant des lettre en bas de casse : ‘a’, ‘b’, ...

\Alph

Utilise des lettres capitales : ‘A’, ‘B’, ...

\arabic

Utilise des numéro en chiffres arabes : ‘1’, ‘2’, ...

\roman

Utilise des nombres romains en bas de casse : ‘i’, ‘ii’, ...

\Roman

Utilise des nombres romains en capitales : ‘I’, ‘II’, ...

\fnsymbol

Tape la valeur de compteur dans une séquence spécifique de neuf symboles (utilisés par convention pour la numérotation des notes en bas de page). La valeur de compteur doit être comprise entre 1 et 9 inclus.

Voici ces symboles :

NomCommandeÉquivalent Unicode
astérisque\ast*
obèle\dagger
double-obèle\ddagger
marque-de-section\S§
marque-de-paragraphe\P
parallèle\parallel
asterisque-double\ast\ast**
obèle-double\dagger\dagger††
double-obèle-double\ddagger\ddagger‡‡

Suivant: , Précédent: , Monter: Counters   [Table des matières][Index]

13.2 \usecounter{compteur}

Synopsis :

\usecounter{compteur}

La commande \usecounter est utilisée dans le second argument de l’environnement list pour spécifier le compteur à utiliser pour numéroter les articles de la liste.


Suivant: , Précédent: , Monter: Counters   [Table des matières][Index]

13.3 \value{compteur}

Synopsis :

\value{compteur}

La commande \value produit la valeur de compteur. Ça peut être utilisé partout là où LaTeX attend un nombre, par exemple :

\setcounter{moncompteur}{3}
\addtocounter{moncompteur}{1}
\hspace{\value{moncompteur}\parindent}

Suivant: , Précédent: , Monter: Counters   [Table des matières][Index]

13.4 \setcounter{compteur}{value}

Synopsis :

\setcounter{compteur}{value}

La commande \setcounter règle la valeur de compteur à l’argument value.


Suivant: , Précédent: , Monter: Counters   [Table des matières][Index]

13.5 \addtocounter{compteur}{valeur}

La commande \addtocounter incrémente compteur de la quantité spécifiée par l’argument valeur, qui peut être negatif.


Suivant: , Précédent: , Monter: Counters   [Table des matières][Index]

13.6 \refstepcounter{compteur}

La commande \refstepcounter fonctionne de la même façon que \stepcounter Voir \stepcounter, à ceci près qu’elle définit également la valeur courante de \ref comme le résultat de \thecounter.


Suivant: , Précédent: , Monter: Counters   [Table des matières][Index]

13.7 \stepcounter{compteur}

La commande \stepcounter ajouter un à compteur et re-initialise tous les compteurs subsidiaires.


Précédent: , Monter: Counters   [Table des matières][Index]

13.8 \day \month \year: Predefined compteurs

LaTeX définit des compteurs pour le quantième du mois (\day, 1–31), le mois de l’année (\month, 1–12), et l’année (\year, de l’ère chrétienne). Quand TeX démarre, ils sont mis à la valeur courante du système sur lequel TeX s’exécute. Ils ne sont pas remis à jour pendant que le traitement par TeX progresse.

En relation avec ces compteurs, la commande \today produit une chaîne représentant le jour courant (voir \today).


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

14 Longueurs

Une longeur est une mesure de distance. Beaucoup de commandes LaTeX prennent une longueur en argument.


Suivant: , Monter: Lengths   [Table des matières][Index]

14.1 Unités de longueur

TeX et LaTeX connaissent ces unités aussi bien en mode mathématique qu’en dehors de celui-ci.

pt

Point (1/72,27)pouce. La conversion en unités métriques units, avec deux chiffres après la virgule, est 1point = 2,85mm = 28,45cm.

pc

Pica, 12pt

in

Pouce, 72,27pt

bp

Big point, 1/72 pouce. Cette longueur est la défition d’un point en PostScript et dans beaucoup d’autres systèmes bureautiques d’éditique (PAO).

cm

Centimetre

mm

Millimètre

dd

Point Didot, 1,07pt

cc

Cicero, 12dd

sp

Point proportionné, (1/65536)pt

Deux autre longueurs sont souvent utilisées et sont des valeurs réglées par les créateurs de caractères typographiques. La hauteur ex d’un x de la fonte coutante , traditionnellement la hauteur de la lettre x en bas de casse, est souvent utilisée pour les longueurs verticales. De même le em, traditionnellement la largeur de la lettre M capitale, est souvant utilisée pour les longueurs horizontales (il y a aussi \enspace qui vaut 0.5em). L’utilisation de ces unités peut aider améliorer le fonctionnement d’une définition lors des changements de fonte. Par exemple, il est plus probable qu’une définition de l’espace verticale entre les articles d’une liste donnée comme \setlength{\itemsep}{1ex plus 0.05ex minus 0.01ex} reste raisonnable si la fonte est changée que si elle était exprimée en points.

En mode mathématique, beaucoup de définitions sont exprimées dans l’unité mathématique mu donnée par 1em = 18mu, où le em est pris de la famille courante des symboles mathématiques. Voir Spacing in math mode.


Suivant: , Précédent: , Monter: Lengths   [Table des matières][Index]

14.2 \setlength

Synopsis :

\setlength{\longueur}{valeur}

La commande \setlength règle la valeur d’une commande de longueur \longueur à l’argument valeur qui peut être exprimé dans n’importe quelle unité comprise par LaTeX, c.-à-d. des pouces (in), des millimètres (mm), des points (pt), des « big points » (bp), etc.


Suivant: , Précédent: , Monter: Lengths   [Table des matières][Index]

14.3 \addtolength

Synopsis :

\addtolength{\longueur}{valeur}

La commande \addtolength incrémente une commande de longueur \longueur de la quantité spécifiée par l’argument quantité, ce qui peut être négatif.


Suivant: , Précédent: , Monter: Lengths   [Table des matières][Index]

14.4 \settodepth

Synopsis :

\settodepth{\longueur}{texte}

La commande \settodepth règle la valeur d’une commande le longueur \longueur à la profondeur de l’argument texte.


Suivant: , Précédent: , Monter: Lengths   [Table des matières][Index]

14.5 \settoheight

Synopsis :

\settoheight{\longueur}{texte}

La commande \settoheight règle la valeur d’une commande le longueur \longueur à la hauteur de l’argument texte.


Suivant: , Précédent: , Monter: Lengths   [Table des matières][Index]

14.6 \settowidth

Synopsis :

\settowidth{\longueur}{texte}

La commande \settoheight règle la valeur d’une commande le longueur \longueur à la largeur de l’argument texte.


Précédent: , Monter: Lengths   [Table des matières][Index]

14.7 Longueurs prédéfinies

\width

\height

\depth

\totalheight

Ces paramètres de longueur peuvent être utilisés au sein des arguments des commandes de fabrication de boîte (voir Boxes). Il spécifient la largeur naturelle, etc., du texte dans la boîte. \totalheight vaut \height + \depth. Pour frabriquer une boîte dont le texte est dilaté au double de sa taille naturelle, écrivez par ex. :

\makebox[2\width]{Dilatez moi}

Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

15 Faire des paragraphes

Un paragraphe se termine par une ou plusieurs lignes complètement blanches — des lignes ne contenant même pas un %. Une ligne à blanc ne devrait pas apparaître là où un nouveau paragraphe n’a pas le droit de commencer, tel que en mode mathématique ou dans l’argument d’une commande de rubricage.


Suivant: , Monter: Making paragraphs   [Table des matières][Index]

15.1 \indent

\indent produit un espace horizontal dont la largeur est égale à la longueur \parindent, le renfoncement normal d’un paragraphe. Elle est utilisée pour ajouter un renfoncement de paragraphe là où il serait autrement supprimé.

La valeur par défaut de \parindent est 1em en mode two-column, autrement elle vaut 15pt pour les documents 10pt, 17pt pour 11pt, et 1.5em pour 12pt.


Suivant: , Précédent: , Monter: Making paragraphs   [Table des matières][Index]

15.2 \noindent

Utilisée au commencement d’un paragraphe, la commande \noindent supprime tout renfoncement de paragraphe.

... fin du paragraphe précédent.

\noindent Ce paragraphe n'est pas renfoncé.

Elle est sans effet quand elle est utilisée au milieu d’un paragraphe.

Pour éliminer le renfoncement de paragraphe dans tout un document, mettez \setlength{\parindent}{0pt} dans le préambule.


Suivant: , Précédent: , Monter: Making paragraphs   [Table des matières][Index]

15.3 \parskip

\parskip est une longueur élastique définissant l’espace vertical additionnel ajouté avant chaque paragraphe. La valeur par défaut est 0pt plus1pt.


Précédent: , Monter: Making paragraphs   [Table des matières][Index]

15.4 Notes en marge

Synopsis :

\marginpar[gauche]{droite}

La commande \marginpar crée une note dans la marge. La première ligne de la note a la même ligne de base que la ligne dans le texte où le \marginpar se trouve.

Lorsque vous spécifiez seulement l’argument obligatoire droite, le texte est placé

La commande \reversemarginpar place les notes en marge suivante sur la marge opposée (interne). \normalmarginpar les replace dans la position par défaut.

Lorsque vous spécifier les deux arguments, gauche est utilisé pour is used la marge de gauche, et droite est utilisé pour la marge de is used droite.

Le premier mot doit normalement ne pas être sujet à une césure ; Vous pouvez activer la césure à cet endroit en commençant le nœud avec \hspace{0pt}.

Ces paramètres affectent le formattage de la note :

\marginparpush

Espace verticale minimale entre les notes ; par défaut ‘7pt’ pour des documents à ‘12pt’, ‘5pt’ sinon.

\marginparsep

Espace horizontale entre le texte principal et la note ; par défaut ‘11pt’ pour des documents à ‘10pt’, ‘10pt’ sinon.

\marginparwidth

Largeur de la note même ; la valeur par défaut est ‘90pt’ pour un document en recto simple et à ‘10pt’ , ‘83pt’ pour ‘11pt’, et ‘68pt’ pour ‘12pt’ ; ‘17pt’ de plus dans chacun de ces cas pour un document recto-verso. En mode à deux colonnes, la valeur par défaut est ‘48pt’.

La routine standarde de LaTeX pour les notes en marge n’empêche pas les notes de déborder hors du bas de la page.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

16 Formules mathématiques

Il y a trois environnements qui mettent LaTeX en mode mathématique :

math

Pour les formules qui apparaissent directement dans le texte.

displaymath

Pour les formules qui apparaissent sur leur propre ligne.

equation

Parail que l’environnement displaymath sauf qu’il ajoute un numéro d’équation dans la marge de droite.

L’environnement math peut être utilsé aussi bien en mode paragraphe qu’en mode LR, mais les environnements displaymath et equation ne peuvent être utilisés qu’en mode paragraphe. Les environnements math et displaymath sont utilisés si souvent qu’ils ont les formes abrégées suivantes :

\(...\) au lieu de \begin{math}...\end{math}
\[...\] au lieu de \begin{displaymath}...\end{displaymath}

En fait, l’environnement math est si fréquent qu’il a une forme encore plus courte :

$ ... $ au lieu de \(...\)

La commande \boldmath change les lettres and symboles mathématiques pour qu’il soient en gras. Elle est utilisée en dehors du mode mathématique. À l’inverse, la commande \unboldmath change les glyphes mathématique pour qu’ils soient dans une fonte normale ; elle aussi est à utiliser en dehors du mode mathématique.

La déclaration \displaystyle force la taille et le style de la formule à être ceux de displaymath, par ex., avec les limites au dessus et en dessous le signe de sommation. Par exemple

$\displaystyle \sum_{n=0}^\infty x_n $

Suivant: , Monter: Math formulas   [Table des matières][Index]

16.1 Indices inférieurs & supérieurs

En mode mathématique, utilisez le caractère caret ^ pour qu’une expression exp apparaisse en indice supérieur, c.-à-d. tapez ^{exp}. Similairement, en mode mathémtique, _{exp} fait un indice inférieur de exp.

Dans cet exemple le 0 et le 1 apparaissent comme indices inférieurs alors que le 2 est un indice supérieur.

\( (x_0+x_1)^2 \)

Pour avoir plus d’un caractère au sein de exp utilisez des accolades comme dans e^{-2x}.

LaTeX manipule la mise en indice supérieur d’un matériel et tout ce qui tient de cela de la manière naturelle, de sorte que des expressions telles que e^{x^2} et x_{a_0} seront composées comme il faut. Il fait même ce qu’il faut quand quelque-chose a à la fois un indice supérieur et un indice inférieur. Dans cet exemple le 0 apparaît au bas du signe intégrale alors que le 10 apparaît en haut.

\int_0^{10} x^2 \,dx

Vous pouvez mettre un indice supérieur ou inférieur avant un symbole avec une construction telle que {}_t K^2 en mode mathématique (le {} initial empèche l’indice préfixé d’être attaché à quelque symbole qui le précède dans l’expression).

En dehors du mode mathématique, une construction comme Un test$_\textnormal{indice inf.}$ produit un indice inférieur composé en mode texte, non pas en mode mathémque. Notez qu’il y a des paquetage spécialisée pour écrire des formule chimique, tel que mhchem.


Suivant: , Précédent: , Monter: Math formulas   [Table des matières][Index]

16.2 Symboles mathématiques

LaTeX fournit presque tout symbole mathématique dont vous êtes susceptible d’avoir besoin. Par exemple, si vous incluez $\pi$ dans votre code source, alors vous obtenez le symbole pi π.

Ci-dessous se trouve une liste de symboles généralement disponibles. Ce n’est en aucun cas une liste exhaustive. Chaque symbole y est décrit brièvement et avec sa classe de symbole (qui détermine l’espacement autour de lui) qui est donnée entre parenthèses. Les commandes pour ces symboles peuvent, sauf mention contraire, être utilisées seulement en mode mathématique.

Pour redéfinir une commande de sorte à pouvoir l’utiliser quel que soit le mode, voir \ensuremath.

\|

∥ Parallèle (relation). Synonyme : \parallel.

\aleph

ℵ Aleph, cardinal transfini (ordinaire).

\alpha

α Lettre grecque en bas de casse alpha (ordinaire).

\amalg

⨿ Union disjointe (binaire)

\angle

∠ Angle géometrique (ordinaire). Similaire : sign inférieur-à < et chevron \langle.

\approx

≈ Presque égal à (relation).

\ast

∗ Opérateur astérisque, convolution, à six branches (binaire). Synonyme : *, ce qui est souvent un indice supérieur ou inférieur, comme dans l’étoile de Kleene. Similaire : \star, qui est à cinq branches, et est quelque-fois utilisée comme une opération binaire générale, and quelques-fois reservée pour la corrélation-croisée.

\asymp

≍ Équivalent asymptomatiquement (relation).

\backslash

\ contr’oblique (ordinaire). Similaire : soustraction d’ensemble \setminus, et \textbackslash pour une contr’oblique en-dehors du mode mathématique.

\beta

β Lettre grecque en bas de casse beta (ordinaire).

\bigcap

⋂ De taille Variable, ou n-aire, intersection (opérateur). Similaire : intersection binaire \cap.

\bigcirc

⚪ Cercle, plus grand (binaire). Similaire : composition de fonction \circ.

\bigcup

⋃ De taille variable, ou n-aire, union (opérateur). Similaire : union binaire \cup.

\bigodot

⨀ De taille variable, ou n-aire, opérateur point encerclé (opérateur).

\bigoplus

⨁ De taille variable, ou n-aire, opérateur plus encerclé (opérateur).

\bigotimes

⨂ De taille variable, ou n-aire, opérateur multiplié encerclé (opérateur).

\bigtriangledown

▽ De taille variable, ou n-aire, triangle ouvert pointant vers le bas(opérateur).

\bigtriangleup

△ De taille variable, ou n-aire, triangle ouvert pointant vers le haut (opérateur).

\bigsqcup

⨆ De taille variable, ou n-aire, union carrée (opérateur).

\biguplus

⨄ De taille variable, ou n-aire, opérateur union avec un plus (opérateur). (Notez que le nom a juste un p.)

\bigvee

⋁ De taille variable, ou n-aire, et-logique (opérateur).

\bigwedge

⋀ De taille variable, ou n-aire, ou-logique (opérateur).

\bot

⊥ Taquet vers le haut, minimum, plus petit élément d’un ensemble partiellement ordonné, ou une contradiction (ordinaire). Voir aussi \top.

\bowtie

⋈ Jonction naturelle de deux relations (relation).

\Box

□ Opérateur modal pour la nécessité ; boîte ouverte carrée (ordinaire). Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb.

\bullet

• Puce (binaire). Similaire : point de multiplication \cdot.

\cap

∩ Intersection de deux ensembles (binaire). Similaire : opérateur de taille variable \bigcap.

\cdot

⋅ Multiplication (binaire). Similaire : Point puce \bullet.

\chi

χ Lettre grecque en bas de casse chi (ordinaire).

\circ

∘ Composition de fonctions, opérateur rond (binaire). Similaire : opérateur de taille variable \bigcirc.

\clubsuit

♣ Trèfle de carte à jouer (ordinaire).

\complement

∁ Complement d’ensemble, utilisée en indice supérieur comme dans $S^\complement$ (ordinaire). Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb. On utilise aussi : $S^{\mathsf{c}}$ ou $\bar{S}$.

\cong

≅ Congruent (relation).

\coprod

∐ Coproduit (opérateur).

\cup

∪ Réunion de deux ensembles (binaire). opérateur de taille variable \bigcup.

\dagger

† Relation obèle (binaire).

\dashv

⊣ Taquet gauche, tiret avec barre verticale à droite, tourniquet pour gauchers (relation). Similaire : taquet droit, tourniquet \vdash.

\ddagger

‡ Relation double obèle (binaire).

\Delta

Δ Delta grec capital, utilisé pour indiquer une incrémentation (ordinaire).

\delta

δ Delta grec bas-de-casse (ordinaire).

\Diamond

◇ Opérateur grand carreau (ordinaire). Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb.

\diamond

⋄ Opérateur Carreau, ou puce carreau (binaire). Similaire : grand carreau \Diamond, puce disque \bullet.

\diamondsuit

♢ Carreau de carte à jouer (ordinaire).

\div

÷ Signe de division, obélus (binaire).

\doteq

≐ Approche la limite (relation). Similaire : géométriquement égal à \Doteq.

\downarrow

↓ Flèche vers le bas, converge (relation). Similaire : flèche à ligne double vers le bas \Downarrow.

\Downarrow

⇓ Flèche à ligne double vers le bas (relation). Similaire : flèche à ligne simple vers le bas \downarrow.

\ell

ℓ Lettre l bas de casse cursive (ordinaire).

\emptyset

∅ Symbole ensemble vide (ordinaire). La forme en variante est \varnothing.

\epsilon

ϵ Lettre grecque bas de casse epsilon lunaire (ordinaire). Sembable à la lettre en texte grec. En mathématiques on utilise plus fréquemment l’epsilon minuscule de ronde \varepsilon ε. En relation avec : la relation ensembliste « appartenir à » \in ∈.

\equiv

≡ Équivalence (relation).

\eta

η Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\exists

∃ Quanteur « Il existe » (ordinaire).

\flat

♭ Bémol (ordinaire).

\forall

∀ Quanteur « Pour tout » (ordinaire).

\frown

⌢ Moue (ordinaire).

\Gamma

Γ Lettre grecque en capitale (ordinaire).

\gamma

γ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\ge

≥ Supérieur ou égal à (relation). Synonyme : \geq.

\geq

≥ Supérieur ou égal à (relation). Synonyme : \ge.

\gets

← Auquel est assignée la valeur (relation). Synonyme : \leftarrow.

\gg

≫ Beaucoup plus grand que (relation). Similaire : Beaucoup plus petit que \ll.

\hbar

ℏ Constante de Planck sur deux pi (ordinaire).

\heartsuit

♡ Cœur de carte jouer (ordinaire).

\hookleftarrow

↩ Flèche vers la gauche avec crochet (relation).

\hookrightarrow

↪ Flèche vers la gauche avec crochet (relation).

\iff

⟷ Si et seulement si (relation). C’est un \Longleftrightarrow avec un \thickmuskip de chaque côté.

\Im

ℑ Partie imaginaire (ordinaire). Voir aussi : partie réelle \Re.

\in

∈ Appartient à (relation). Voir aussi : lettre grecque bas de casse epsilon lunaire \epsilon ϵ et l’epsilon minuscule de ronde \varepsilon.

\infty

∞ Infini (ordinaire).

\int

∫ Intégrale (opérateur).

\iota

ι Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\Join

⨝ Symbole jointure condensé (relation). Ceci n’est pas disponible en TeX de base.

\kappa

κ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\Lambda

Λ Lettre grecque en capitale (ordinaire).

\lambda

λ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\land

∧ Et logique (binaire). Synonyme : \wedge. Voir aussi ou-logique \lor.

\langle

⟨ Chevron mathématique gauche, ou séquence, crochet (ouvrant). Similaire : inférieur à <. Correspond à \rangle.

\lbrace

{ Accolade gauche (ouvrant). Synonyme : \{. Correspond à \rbrace.

\lbrack

[ Crochet gauche (ouvrant). Synonyme : [. Correspond à \rbrack.

\lceil

⌈ Plafond à gauche, ressemble à un crochet mais avec le pied coupé (ouvrant). Correspond à \rceil.

\le

≤ Inférieur ou égal à (relation). C’est un synonyme de \leq.

\leadsto

⇝ flèche vers la droite en tire-bouchon (relation). Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb.

\Leftarrow

⇐ Est impliqué par, flèche vers la gauche à double-ligne (relation). Similaire : flèche vers la gauche à simple ligne \leftarrow.

\leftarrow

← Flèche vers la gauche à simple ligne (relation). Synonyme : \gets. Similaire : Flèche vers la gauche à double-ligne \Leftarrow.

\leftharpoondown

↽ Harpon vers la gauche à simple ligne avec crochet vers le bas (relation).

\leftharpoonup

↼ Harpon vers la gauche à simple ligne avec crochet vers le haut (relation).

\Leftrightarrow

⇔ Bi-implication ; double flèche bilatérale (relation). Similaire : flèche bilatérale \leftrightarrow.

\leftrightarrow

↔ Flèche bilatérale (relation). Similaire : double flèche bilatérale \Leftrightarrow.

\leq

≤ Inférieur ou égal à (relation). Synonyme : \le.

\lfloor

⌊ Plancher à gauche (ouvrant). Correspond à : \rfloor.

\lhd

◁ Pointe de flèche, c.-à-d. triangle pointant vers la gauche (binaire). Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb. For the normal subgroup symbol you should load amssymb and use \vartriangleleft (qui est une relation et ainsi donne un meilleur espacement).

\ll

≪ Beaucoup plus petit que (relation). Similaire : Beaucoup plus grand que \gg.

\lnot

¬ Négation logique (ordinaire). Synonyme : \neg.

\longleftarrow

⟵ Longue flèche vers la gauche à ligne simple (relation). Similaire : longue flèche gauche à ligne double \Longleftarrow.

\longleftrightarrow

⟷ Longue flèche bilatérale à ligne simple (relation). Similaire : longue flèche bilatérale à ligne double \Longleftrightarrow.

\longmapsto

⟼ Longue flèche d’un taquet vers la droite à ligne simple (relation). Similaire : version courte \mapsto.

\longrightarrow

⟶ Longue flèche vers la droite à ligne simple (relation). Similaire : longue flèche vers la droite à ligne double \Longrightarrow.

\lor

∨ Ou-logique (binaire). Synonyme : \wedge.

\mapsto

↦ Flèche d’un taquet vers la droite (relation). Similaire : version longue \longmapsto.

\mho

℧ Conductance, symbole Ohm culbuté (ordinaire). Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb.

\mid

∣ Barre verticale à ligne simple (relation). une utilisation typique de \mid est pour un ensemble \{\, x \mid x\geq 5 \,\}.

Similaire : \vert et | produisent le même symbole de barre verticale à ligne simple mais sans aucun espacement (on les classe comme « ordinaires ») et vous ne devriez pas les utiliser comme symbole de relation mais seulement comme des ordinaux, c.-à-d. comme des symboles de note en bas de page. Pour dénoter une valeur absolue, voir l’entrée de \vert et pour une norme voir l’entrée de \Vert.

\models

⊨ Vrai, ou satisfait ; double turnstile, short double dash (relation). Similaire : long double dash \vDash.

\mp

∓ Moins ou plus (relation).

\mu

μ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\nabla

∇ Del de Hamilton, ou différentiel, opérateur (ordinaire).

\natural

♮ Bécarre (ordinaire).

\ne

≠ Non égal (relation). Synonyme : \neq.

\nearrow

↗ Flèche nord-est (relation).

\neg

¬ Négation logique (ordinaire). Synonyme : \lnot. Utilisé parfois au lieu du symbole de négation: \sim.

\neq

≠ Non égal (relation). Synonyme : \ne.

\ni

∋ Signe d’appartenance réfléchi ; « contient comme élément » (relation). Synonyme : \owns. Similaire : « appartient à » \in.

\not

̸ Barre oblique longue utilisée pour rayer un opérateur la suivant (relation).

Beaucoup opérateurs en négation qui n’ont pas besoin de \not sont disponibles, en particulier avec le paquetage amssymb. Par exemple, \notin est sans doute préférable à \not\in d’un point de vue typographique.

\notin

∉ N’appartient pas à (relation). Similaire : non contenu dans \nsubseteq.

\nu

ν Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\nwarrow

↖ Flèche nord-ouest (relation).

\odot

⊙ Point cerclé (binaire). Similaire : opérateur de taille variable \bigodot.

\oint

∮ Intégrale de contour, intégrale avec un cercle au milieu (opérateur).

\Omega

Ω Lettre grecque en capitale (ordinaire).

\omega

ω Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\ominus

⊖ Signe moins, ou tiret, cerclé (binaire).

\oplus

⊕ Signe plus cerclé (binaire). Similaire : opérateur de taille variable \bigoplus.

\oslash

⊘ Barre de fraction, ou barre oblique, cerclée (binaire).

\otimes

⊗ Signe de multiplication, ou croix, cerclé (binaire). Similaire : opérateur de taille variable \bigotimes.

\owns

∋ Epsilon d’appartenance réfléchi ; « contient comme élément » (relation). Synonyme : \ni. Similaire : appartient à \in.

\parallel

∥ Parallèle (relation). Synonyme : \|.

\partial

∂ Différentielle partielle (ordinaire).

\perp

⟂ Perpendiculaire (relation). Similaire : \bot utilise le même glyphe mais l’espacement est différent parce qu’il est dans la classe ordinaire.

\phi

ϕ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est \varphi φ.

\Pi

Π Lettre grecque en capitale (ordinaire).

\pi

π Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est \varpi ϖ.

\pm

± Plus or minus (binaire).

\prec

≺ Précède (relation). Similaire : inférieur à <.

\preceq

⪯ Précède ou égal, précède par-dessus signe égal à une ligne (relation). Similaire : inférieur ou égal \leq.

\prime

′ Prime, ou minute au sein d’une expression temporelle (ordinaire). Typiquement utilisé en indice supérieur $A^\prime$. Il est à noter sque $f^\prime$ et $f'$ produisent le même résultat. Un avantage de la seconde forme est que $f'''$ produit le symbole désiré, c.-à-d. le même résultat que $f^{\prime\prime\prime}$, mais en nécessitant moins de saisie. Il est à noter que vous ne pouvez utiliser \prime qu’en mode mathématique. Utiliser le quote ' en mode texte produit un caractère différent (apostrophe ou guillemet anglais simple de droite).

\prod

∏ Produit (opérateur).

\propto

∝ Proportionnel à (relation)

\Psi

Ψ Lettre grecque en capitale (ordinaire).

\psi

ψ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\rangle

⟩ Chevron mathématique droit, ou séquence, crochet (fermant). Similaire : supérieur à >. Correspond à \langle.

\rbrace

} Accolade de droite (fermante). Synonyme : \}. Correspond à \lbrace.

\rbrack

] Crochet droit (fermant). Synonyme : ]. Correspond à \lbrack.

\rceil

⌉ Plafond droit (fermant). Correspond à \lceil.

\Re

ℜ Partie réelle, nombres réels, R capital gothique (ordinaire). En relation avec : R majuscule ajouré, ou gras de tableau d’école \mathbb{R} ; pour accéder à cela charger le paquetage amsfonts.

\restriction

↾ Restriction d’une fonction (relation). Synonyme : \upharpoonright. Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb.

\revemptyset

⦰ Symbole ensemble vide inversé (ordinaire). En relation avec : \varnothing. Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage stix.

\rfloor

⌋ Plancher droit, un crochet droit avec la dent du haut coupée (fermant). Correspond à \lfloor.

\rhd

◁ Pointe de flèche, c.-à-d. u triangle pointant vers la droite (binaire). Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb. Pour le symbole normal de sousgroupe vous devriez plutôt charger amssymb et utiliser \vartriangleright (qui est une relation et ainsi donne un meilleur espacement).

\rho

ρ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est \varrho ϱ.

\Rightarrow

⇒ Implique, flèche vers la droite à double-ligne (relation). Similaire : flèche vers la droite \rightarrow.

\rightarrow

→ Flèche vers la droite à ligne simple (relation). Synonyme : \to. Similaire : flèche vers droite à ligne double \Rightarrow.

\rightharpoondown

⇁ Harpon vers la droite avec crochet vers le bas (relation).

\rightharpoonup

⇀ Harpon vers la droite avec crochet vers la haut (relation).

\rightleftharpoons

⇌ Harpon vers la droite avec crochet vers le haut au dessus d’un harpon vers la gauche avec crochet vers le bas (relation).

\searrow

↘ Flèche pointant sud-est (relation).

\setminus

⧵ Difference ensembliste, barre de faction inversée ou contr’oblique, comme \ (binaire). Similaire : contr’oblique \backslash et aussi \textbackslash hors du mode mathémaitque.

\sharp

♯ Dièse (ordinaire).

\Sigma

Σ Lettre grecque en capitale (ordinaire).

\sigma

σ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est \varsigma ς.

\sim

∼ Similaire à, dans une relation (relation).

\simeq

≃ Similaire ou égal à, dans une relation (relation).

\smallint

∫ Signe intégrale qui ne change pas en taille plus grande au sein d’une formule hors texte (opérateur).

\smile

⌣ Arc concave en haut, sourire (ordinaire).

\spadesuit

♠ Pique de carte à jouer (ordinaire).

\sqcap

⊓ Symbole d’intersection carré (binaire). Similaire : intersection cap.

\sqcup

⊔ Symbole d’union carré (binaire). Similaire : union \cup. En relation avec : opérateur de taille variable \bigsqcup.

\sqsubset

⊏ Symbole carré de sous-ensemble (relation). Similaire : sous-ensemble \subset. Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb.

\sqsubseteq

⊑ Symbole carré de sous-ensemble ou égal à (binaire). Similaire : subset or égal à \subseteq.

\sqsupset

⊐ Symbole carré de sur-ensemble (relation). Similaire : superset \supset. Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb.

\sqsupseteq

⊒ Symbole carré de sur-ensemble ou égal à (binaire). Similaire : sur-ensemble ou égal \supseteq.

\star

⋆ Étoile à cinq branches, quelque-fois utilisée comme une opération binaire générale mais quelque-fois réservée pour la corrélation croisée (binaire). Similaire : les synonymes astérisque * anet \ast, qui sont à six branches, et apparaissent plus souvent comme indice supérieur et inférieur, comme c’est le cas avec l’étoile de Kleene.

\subset

⊂ Est contenu (occasionnellement, est impliqué par) (relation).

\subseteq

⊆ Est contenu ou égal à (relation).

\succ

≻ Vient après, suit (relation). Similaire : inférieur à >.

\succeq

⪰ Suit ou est égal à (relation). Similaire : inférieur ou égal à \leq.

\sum

∑ Summation (opérateur). Similaire : Lettre grecque capitale \Sigma.

\supset

⊃ Contient (relation).

\supseteq

⊇ Contient ou est égal à (relation).

\surd

√ Symbole racine (ordinaire). La commande LaTeX \sqrt{..} compose la racine de l’argument, avec une barre qui s’étend pour couvrir l’argument.

\swarrow

↙ Flèche pointant au sud-ouest (relation).

\tau

τ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\theta

θ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire). La forme en variante est \vartheta ϑ.

\times

× Signe de multiplication d’école primaire (binaire). Voir aussi \cdot.

\to

→ Flèche en ligne simple vers la droite (relation). Synonyme : \rightarrow.

\top

⊤ Taquet vers le haut ; dessus, plus grand élément d’un poset (ordinaire). Voir aussi \bot.

\triangle

△ Triangle (ordinaire).

\triangleleft

◁ Triangle non-rempli pointant à gauche (binaire). Similaire : \lhd. Pour le symbole normal de sous-groupe vous devez charger amssymb et utiliser \vartriangleleft (qui est une relation et ainsi donne un meilleur espacement).

\triangleright

▷ Triangle non-rempli pointant à droite (binaire). Pour le symbole normal de sousgroupe vous devez à la place charger amssymb et utiliser \vartriangleright (qui est une relation et ainsi donne un meilleur espacement).

\unlhd

⊴ Pointe de flèche non-pleine soulignée pointant vers la gauche, c.-à-d. triangle avec une ligne en dessous (binaire). Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb. Pour le symbole normal de sous-groupe chargez amssymb et utilisez \vartrianglelefteq (qui est une relation et ainsi donne un meilleur espacement).

\unrhd

⊵ Pointe de flèche non-pleine soulignée pointant vers la droite, c.-à-d. triangle avec une ligne en dessous (binaire). Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb. Pour le symbole normal de sous-groupe chargez amssymb et utilisez \vartrianglerighteq (qui est une relation et ainsi donne un meilleur espacement).

\Uparrow

⇑ Flèche vers le haut à ligne double (relation). Similaire : flèche vers le haut à ligne simple \uparrow.

\uparrow

↑ Single-line upward-pointing flèche, diverges (relation). Similaire : double-line up-pointing flèche \Uparrow.

\Updownarrow

⇕ Double-line upward-and-downward-pointing flèche (relation). Similaire : single-line upward-and-downward-pointing flèche \updownarrow.

\updownarrow

↕ flèche haut et bas à ligne simple (relation). Similaire : flèche haut et bas à ligne double \Updownarrow.

\upharpoonright

↾ Harpon vers le haut avec crochet à droite (relation). Synonyme : \restriction. Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb.

\uplus

⊎ Union de multiensemble, un symbole union avec un symbole plus en son sein (binaire). Similaire : union \cup. En relation avec : opérateur de taille variable \biguplus.

\Upsilon

Υ Lettre grecque en capitale (ordinaire).

\upsilon

υ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\varepsilon

ε Epsilon de ronde en bas de casse (ordinaire). Plus largement utilise en mathematique que la forme non variante epsilon lunaire \epsilon ϵ. En relation avec : « appartient à » \in.

\vanothing

∅ Symbole ensemble vide. Similaire : \emptyset. En relation avec : \revemptyset. Ceci n’est pas disponible en TeX de base. En LaTeX vous devez charger le paquetage amssymb.

\varphi

φ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). La forme non en variante est \phi ϕ.

\varpi

ϖ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). La forme non en variante est \pi π.

\varrho

ϱ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). La forme non en variante est \rho ρ.

\varsigma

ς Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). La forme non en variante est \sigma σ.

\vartheta

ϑ Variante de la lettre grecque bas de casse (ordinaire). La forme non en variante est \theta θ.

\vdash ⊢ Taquet droit ; prouve, implique ;

portillon/tourniquet ; barre verticale et un tiret (relation). Similaire : portillon inversé \dashv.

\vee

∨ Ou logique ; une forme de v pointant vers le bas (binaire). En relation avec : Et logique \wedge. Similaire : Opérateur de taille variable \bigvee.

\Vert

‖ Double barre verticale (ordinaire). Similaire : barre verticale simple \vert.

Pour une norme vous pouvez utiliser le paquetage mathtools et ajouter \DeclarePairedDelimiter\norm{\lVert}{\rVert} à votre préambule. Ceci vous donne trois variantes de commande pour faire des barres verticales correctement espacées horizontalement : si dans le corps du document vous écrivez la version étoilée $\norm*{M^\perp}$ alors la hauteur des barres verticales correspond à celle de l’argument, alors qu’avec \norm{M^\perp} les barres ne grnadissent pas avec la hauteur de l’argument mais à la place reste de la hauteur par défaut, et \norm[commande-taille]{M^\perp} donne aussi des barres qui ne grandissent pas mais sont de la taille donnée dans la commande-taille, par ex. \Bigg.

\vert

| Barre verticale simple (ordinaire). Similaire : barre à double-ligne verticale \Vert. Pour usage tel qu’au sein de la définition d’un ensemble, utilisez \mid parce que c’est une relation.

Pour une valeur aboslue vous pouvez utilise le paquetage mathtools et ajouter \DeclarePairedDelimiter\abs{\lvert}{\rvert} à votre préambule. Ceci vous donne trois variantes de commande pour les barres simples verticales qui sont correctement espacées verticalement : si dans le corps du document vous écrivrez la version étoilée $\abs*{\frac{22}{7}}$ alors la hauteur des barres verticales correspond à la hauteur de l’argument, alors qu’avec \abs{\frac{22}{7}} les pabarres ne grandissent pas avec l’argument ais à la place sont de la hauteur par défaut, et \abs[commande-taille]{\frac{22}{7}} donne aussi des barres qui ne grandissent pas mais qui sont rélgées à la taille donnée par la commande-taille, par ex. \Bigg.

\wedge

∧ Et logique (binaire). Synonyme : \land. Voir aussi ou logique \vee. Similaire : opérateur de taille variable \bigwedge.

\wp

℘ « p » de Weierstrass, fonction elliptique de Weierstrass (ordinaire).

\wr

≀ Produit couronnne (binaire).

\Xi

Ξ Lettre grecque en capitale (ordinaire).

\xi

ξ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).

\zeta

ζ Lettre grecque en bas de casse (ordinaire).


Suivant: , Précédent: , Monter: Math formulas   [Table des matières][Index]

16.3 Fonctions mathématiques

En mode mathématique ces commandes produisent des noms de fonction en police romaine et avec l’espacement adéquat.

\arccos

\arccos

\arcsin

\arcsin

\arctan

\arctan

\arg

\arg

\bmod

Opérateur modulo binaire (x \bmod y)

\cos

\cos

\cosh

\cosh

\cot

\cos

\coth

\cosh

\csc

\csc

\deg

\deg

\det

\deg

\dim

\dim

\exp

\exp

\gcd

\gcd

\hom

\hom

\inf

\inf

\ker

\ker

\lg

\lg

\lim

\lim

\liminf

\liminf

\limsup

\limsup

\ln

\ln

\log

\log

\max

\max

\min

\min

\pmod

Modulo parenthésé, comme dans (\pmod 2^n - 1)

\Pr

\Pr

\sec

\sec

\sin

\sin

\sinh

\sinh

\sup

\sup

\tan

\tan

\tanh

\tanh


Suivant: , Précédent: , Monter: Math formulas   [Table des matières][Index]

16.4 Accents mathématiques

LaTeX fournit diverse commandes pour produire des lettres accentuées en math. Elles diffèrent de celles concernant les accents en texte normal (voir Accents).

\acute

Accent aigu mathématique : \acute{x}.

\bar

Accent barre suscrite mathématique : \bar{x}.

\breve

Accent brève mathématique : \breve{x}.

\check

Accent háček (caron) mathématique : \check{x}.

\ddot

Accent diérèse (tréma) mathématique : \ddot{x}.

\dot

Accent point suscrit mathématique : \dot{x}.

\grave

Accent grave mathématique : \grave{x}.

\hat

Accent chapeau (circonflexe) mathématique : \hat{x}.

\imath

I sans point mathématique.

\jmath

J sans point mathématique.

\mathring

Accent rond-en-chef mathématique : x*.

\tilde

Accent tilde mathématique : \tilde{x}.

\vec

Symbole vecteur mathématique : \vec{x}.

\widehat

Accent chapeau large mathématique : \widehat{x+y}.

\widetilde

Accent tilde mathématique : \widetilde{x+y}.


Suivant: , Précédent: , Monter: Math formulas   [Table des matières][Index]

16.5 Espacement en mode mathématique

Au sein d’un environnement math, LaTeX ignore les espaces que vous tapez et met à la place l’espacement correspondant aux règles normales pour les textes mathématiques.

En mode mathématique, beaucoup de définitions sont exprimées dans l’unité mathématique mu donnée par 1 em = 18 mu, où le em est pris de la famille courante des symboles mathématiques (voir Units of length).

\;

Normalement 5.0mu plus 5.0mu. Le nom long est \thickspace. Utilisable seulement en mode mathématique.

\:
\>

Normalement 4.0mu plus 2.0mu minus 4.0mu. The longer name is \medspace. Utilisable seulement en mode mathématique.

\,

Normalement 3mu. Le nom long est \thinspace. Utilisable à la fois en mode mathématique et en mode texte. Voir \thinspace.

\!

Une espace finie négative. Normalement -3mu. Utilisable seulement en mode mathématique.

\quad

Vaut 18mu, c.-à-d. 1em. Souvent utilisé pour l’espace entourant les équation ou expression, par ex. pour l’espace entre deux équation au sein d’un environnement displaymath. Utilisable à la fois en mode mathématique et en mode texte.

\qquad

Une longueur de 2 quads, soit 36mu = 2em. Utilisable à la fois en mode mathématique et en mode texte.

Dans cet exemple une espace fine sépare la fonction de la forme différentielle.

\int_0^1 f(x)\,dx

Précédent: , Monter: Math formulas   [Table des matières][Index]

16.6 Recueil de diverses commandes utiles en math

\*

Un symbole de multipliciation discrétionnaire, sur lequel un saut de ligne est autorisé. En l’absence de saut, la multiplication est indiquée implicitement par un espace, alors qu’en cas de saut un symbole × est imprimé immédiatement avant le saut. Ainsi

\documentclass{article}
\usepackage[utf8]{inputenc}
\usepackage{french}
\begin{document}
Mais \(A_3 = 0\), ainsi le produit de tous les termes de
\(A_1\) à \(A_4\), c.-à-d.\ \(A_1\* A_2\* A_3 \* A_4\),
est égal à zéro.
\end{document}

produit une sortie de ce type (on a omis une partie du texte pour faire apparaître la césure au même endroit que dans une sortie TeX) :

Mais A_3 = 0, ainsi […] de A_1 à A_4, c.-à-d. A_1 A_2 \times
A_3 A_4, est égal à zéro.

\cdots

Des points de suspension élevés au centre de la ligne.

\ddots

Des points de suspension en diagonale : \ddots.

\frac{num}{dén}

Produit la fraction num divisé par dén.

\left delim1 ... \right delim2

Les deux délimiteurs ne se correspondent par nécessairement ; ‘.’ tient lieu de délimiteur nul, ne produisant rien en sortie. Les délimiteurs sont dimensionnés selon la portion de formule mathématique qu’ils embrassent. Exemple : \left( \sum_{i=1}^{10} a_i \right].

\mathdollar

Signe dollar en mode mathématique : $.

\mathellipsis

Points de suspension (épacés pour du texte) en mode mathématique : ….

\mathparagraph

Signe paragraphe (pied-de-mouche) en mode mathématique : ¶.

\mathsection

Signe section en mode mathématique.

\mathsterling

Signe livre sterling mode mathématique : £.

\mathunderscore

Signe « souligné » en mode mathématique : _.

\overbrace{math}

Génère une accolade au dessus de math. Par exemple, \overbrace{x+\cdots+x}^{k \;\textrm{fois}}.

\overline{texte}

Génère une ligne horizontale au dessus de texte. Par exemple, \overline{x+y}.

\sqrt[nième]{arg}

Produit la représentation de la racine carrée de arg. L’argument optionnel nième détermine quelle racine produire. Par exemple, la racine cubique de x+y serait tapée comme $\sqrt[3]{x+y}$.

\stackrel{texte}{relation}

Place texte au dessus de relation. Par exemple, \stackrel{f}{\longrightarrow}.

\underbrace{math}

Génère math avec une accolade en-dessous. Par exemple, \underbrace{x+y+z}_{>\,0}.

\underline{texte}

A pour effet que texte, ce qui peut être ou non en mode mathématique, soit souligné. La ligne est toujours sous le texte, en prenant en compte les jambages.

\vdots

Produit des points de suspension alignés verticalement.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

17 Modes

Quand LaTeX traite votre texte en entrée, il est forcément dans l’un de ces trois modes :

LaTeX change le mode seulement lorsqu’il monte ou descend un escalier le menant à un niveau différent, quoique tous les changement de niveau ne produisent pas de changement de mode. Les changements de mode se produisent seulement lorsqu’on entre dans ou quitte un environnement, ou quand LaTeX traite l’argument de cetraines commandes qui produisent du texte.

Le « mode paragraphe » est le plus usuel ; c’est celui dans lequel LaTeX se trouve lorsqu’il traite du texte ordinaire. Dans ce mode-là, LaTeX fragments votre texte en lignes et fragmentes les lignes en pages. LaTeX est en « mode math » quand il est en train de générer une formule mathématique. En « mode LR », comme en mode paragraphe, LaTeX considère la sortie qu’il produit comme une chaîne de mots avec des espaces entre eux. Toutefois, contrairement au mode paragraphe, LaTeX continue à progresser de la gauche vers la droite ; il ne démarre jamais une nouvelle ligne en mode LR. Même si vous mettez une centraine de mots dans une \mbox, LaTeX continue à les composer de gauche à droite au sein d’une seule boîte, et ensuite se plaindra que la boîte résultante est trop large pour tenir dans la ligne.

LaTeX est en mode LR quand il commence à fabriquer une boîte avec une commande \mbox. Vous pouver le faire entrer dans un mode different mode au sein de la boîte — par exemple, vous pouvez le faire entrer en mode math pour mettre un forume dans la boîte. Il y a aussi plusieurs commandes qui produisent du texte et environnement pour fabriquer une boîte qui mettre LaTeX en mode paragraphe. La boîte fabriquée par l’une de ces commandes ou environnements est appelée une parbox. Quand LaTeX est en mode paragraphe alors qu’il fabrique une boîte, on dit qu’il est en « mode paragraphe interne ». Son mode paragraphe normal, celui dans lequel il démarre, est appelé « mode paragraphe externe ».


Monter: Modes   [Table des matières][Index]

17.1 \ensuremath

Synopsis :

\ensuremath{formule}

La commande \ensuremath assure que formule est composée en mode mathématique quel que soit le mode courant où la commande apparaît.

Par exemple :

\documentclass{report}
\usepackage{french}
\newcommand{\ab}{\ensuremath{(\delta, \varepsilon)}}
\begin{document}
Le couple \ab\ vaut alors \(\ab = (\frac{1}{\pi}, 0)\), ...
\end{document}

Il est possible de redéfinir des commandes qui ne peuvent être utilisées qu’en mode mathématique pour qu’elles puissent être utilisées en tout mode comme dans l’exemple ci-dessous avec \leadsto :

\documentclass{report}
\usepackage{amssymb}
\usepackage{french}
\newcommand{\originalMeaningOfLeadsTo}{}
\let\originalMeaningOfLeadsTo\leadsto
\renewcommand\leadsto{\ensuremath{\originalMeaningOfLeadsTo}}
\begin{document}
Tous les chemins \leadsto\ Rome.
\end{document}

Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

18 Styles de page

La commande \documentclass détermine la taille et la position de l’en-tête et du bas de page. Le style de page détermine leur contenu.


Suivant: , Monter: Page styles   [Table des matières][Index]

18.1 \maketitle


Suivant: , Précédent: , Monter: Page styles   [Table des matières][Index]

18.2 \pagenumbering

Synopsis :

\pagenumbering{style}

Spécifie le style des numéros de page numbers selon style. \pagenumbering remet également le numéro de page à 1. L’argument style peut prendre les valeurs suivantes :

arabic

nombres arabes

roman

Nombres romain en bas de casse

Roman

Nombres romain en capitales

alph

Lettres en bas de casse

Alph

Lettre en capitales


Suivant: , Précédent: , Monter: Page styles   [Table des matières][Index]

18.3 \pagestyle


Précédent: , Monter: Page styles   [Table des matières][Index]

18.4 \thispagestyle{style}

La commande \thispagestyle fonctionne de la même manière que la commande \pagestyle (voir section pécédente) à ceci près qu’elle change en style pour la page courante seulement.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

19 Espaces

LaTeX a beaucoup de façons de produire de l’espace blanc (ou rempli).

Une autre commande produisant de l’espace est \, pour produire une espace « fine » (d’habitude 1/6quad). Elle peut être utilisée en mode texte, mais est le plus souvent utile en mode math (voir Espacement en mode mathématique).


Suivant: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.1 \hspace

Synopsis :

\hspace{longueur}
\hspace*{longueur}

La commande \hspace ajoute de l’espace horizontal. L’argument longueur peut être exprimé en toute unité que LaTeX comprend : points, pouces, etc. C’est une longueur elastique. Vous pouvez ajouter aussi bien de l’espace négatif que de l’espace positif avec une commande \hspace ; ajouter de l’espace negatif revient à retourner en arrière.

LaTeX enlève normalement l’espace horizontal qui vient au début ou à la fin d’une ligne. Pour préserver cet espace, utilisez la forme étoilée, c.-à-d. avec le suffixe * optionnel.


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.2 \hfill

La commande \hfill de remplissage produit une “longueur élastique” qui n’a aucun espace naturel mais peut s’allonger ou se rétrécir horizontalement autant que nécessaire.

Le paramètre \fill est la longueur élastique elle-même (c.-à-d. pour parler technique, la valeur de glue ‘0pt plus1fill’) ; ainsi, \hspace\fill équivaut à \hfill.


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.3 \<espace> et \@

Ces commandes permettent de marquer un caractère de ponctuation, typiquement un point, comme soit finissant une phrase, soit finissant une abréviation.

Par défaut, lorsque LaTeX justifie une ligne il ajuste l’espace après le point final de chaque phrase (ou le point d’interrogation, la virgule, ou le deux-points) plus que pour l’espace inter-mot (voir \frenchspacing). LaTeX suppose que le point finit une phrase à moins qu’il soit précédé d’une lettre capitale, dans quel cas il considère que ce point fait partie d’une abréviation. Il est à noter que si un point final de phrase est immédiatement suivit d’une parenthèse ou crochet de droite, ou d’un guillemet-apostrophe simple ou double de droite, alors l’espace inter-phrase suit cette parenthèse ou ce guillemet.

Si vous avez un point finissant une abréviation dont la dernière lettre n’est pas une capitale, et que cette abréviation n’est pas le dernier mot d’une phrase, alors faites suivre ce point d’un contr’oblique-espace (\ ), où d’un tilde (~). Voici des exemples : Nat.\ Acad.\ Science, et Mr.~Bean, et (du fumier, etc.)\ à vendre.

Pour une autre utilisation de \ , voir \ après une séquence de contrôle.

Dans la situation opposée, si vous avez une lettre capitale suivi d’un point qui finit la phrase, alors placez \@ avant ce point. Par ex., book by the MAA\@. aura l’espacement inter-phrase après ce point.

Par contre, placer \@ après un point dit à TeX que ce point ne finit pas la phrase. Dans l’exemple les mot réservés (if, then, etc.\@) sont différents, TeX met un espace inter-mot après la parenthèse fermante (notez que \@ est avant la parenthèse).


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.4 \ après une séquence de contrôle

La commande \ est aussi souvent utilisée après les séquences de contrôle pour les empêcher d’avaler les espaces qui suivent, comme dans ‘\TeX\ c'est chouette.’ Et, dans des circonstances normales, \tabulation et \sautdeligne sont équivalents à \ . Pour une autre utilisation de \ , voir aussi \(SPACE) and \@.

Certaines personnes préfèrent utiliser {} dans le même but, comme dans \TeX{} c'est chouette. Ceci a l’avantage que vous écrivez toujours la même chose, en l’occurrence \TeX{}, qu’elle soit suivie d’un espace ou d’un signe de ponctuation. Comparez :

\TeX\ est un chouette système. \TeX, un chouette système.

\TeX{} est un chouette système. \TeX{}, un chouette système.

Certaines commandes, notamment celles définies avec le paquetage xspace, ne suivent pas ce comportement standard.


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.5 \frenchspacing, rendre égaux les espacements inter-phrase et inter-mot

Cette déclaration (provenant de TeX de base) cause que LaTeX traite l’espacement inter-phrase de la même façon que l’espacement inter-mot.

En justifiant le texte sur une ligne, certaine traditions typographique, y comrpis l’anglaise, préfèrent ajuster l’espace entre les phrase (ou après d’autres signes de ponctuation) plus que l’espace entre les mots. À la suite de cette déclaration, tous les espaces sont traités de la même façon.

Revenez au comportement par défaut en déclarant \nonfrenchspacing.


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.6 \thinspace

\thinspace produit une espace insécable et non-elastique qui vaut 1/6 d’em. C’est l’espace adéquate entre des guillemets anglais simples emboîtés, comme dans ’”.


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.7 \/ : insérer une correction italique

La commande \/ produit une correction italique. C’est une espace fine deéfni par le créateur de caractères typographiques pour un caractère donné, pour éviter que le caractère entre en collision avec ce qui suit. Le caractère italique f a typiquement une valeur importante de correction italique.

Si le caractère suivant est un point ou une virgule, il n’est pas nécessaire d’insérer une correction italique, puisque ces symboles de ponctuation ont une très faible hauteur. Toutefois, avec les point-virgules ou les deux-points, de même qu’avec les lettres normales, il peut être utilie. Comparez : f: f; (dans la sortie TeX, les ‘f’s sont séparés joliment) avec f: f;.

Lorsque on change de fontes avec des commandes telles que \textit{italic text} ou {\itshape italic text}, LaTeX insère automatiquement une correction italique appropriée si nécessaire (voir Font styles).

Malgré leur nom, les caractères romains peuvent aussi avoir une correction italique. Comparez : pdfTeX (dans la sortie TeX, il y a une espace fine après le ‘f’) avec pdfTeX.

Le concept de correction italique n’existe pas en mode mathématique ; l’espacement y est fait d’une façon différente.


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.8 \hrulefill \dotfill

Produit une longueur elastique infinie (voir Lengths) remplie avec un filled filet horizontal (c.-à-d. une ligne) ou avec des pointillés, au lieu de just de l’espace blanche.

Quand on le place entre deux lignes à blanc cet exemple crée un paragraphe qui est justifié à gauche et à droite, où l’espace au milieu est rempli avec des pointillés uniformément espacés.

\noindent Jack Aubrey\dotfill Melbury Lodge

Pour que le filet ou les pointillés aillent jusqu’au bout de la ligne utilisez \null au début ou à la fin.

Pour changer l’épaisseur du filet, copiez la définition et ajustez là, comme avec \renewcommand{\hrulefill}{\leavevmode\leaders\hrule height 1pt\hfill\kern\z@}, ce qui cuange l’épaisseur par défaut de 0.4pt à 1pt. De même, ajustez l’espacement inter-pointillé comme avec \renewcommand{\dotfill}{\leavevmode\cleaders\hb@xt@ 1.00em{\hss .\hss }\hfill\kern\z@}, ce qui change la longeur par défaut de 0.33em à 1.00em.


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.9 \addvspace

\addvspace{length}

Ajoute un espace vertical de longeur length, ce qui est une longueur élatsique (voir Lengths). Toutefois, si l’espace vertical a déjà été ajouté au même point de la sortie par une commande \addvspace précédente, alors cette commande n’ajoutera pas plus d’espace que nécessaire à fabriquer la longeur naturelle de l’espace vertical total égale à length.

Utilisez cette commande pour ajuster l’espace vertical au-dessus ou au-dessous d’un environnement qui commence un nouveau paragraphe. (Par exemple, un environnement Theorem est défini pour commencer et finir en \addvspace{..} de sorte que deux Theorem consécutifs sont séparés par un espace vertical, et non deux.)

Cette commande est fragile (voir \protect).

L’erreur ‘Something's wrong--perhaps a missing \item’ signifie que vous n’étiez pas en mode vertical quand vous avez invoqué cette commande ; une façon pour sortir de cela et de faire précéder cette commande d’une commande \par.


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.10 \bigskip \medskip \smallskip

Ces commandes produisent une quantité donnée d’espace, spécifiée par la classe de document.

\bigskip

La même chose que \vspace{\bigskipamount}, ordinairement environ l’espace d’une ligne, avec dilatation et rétrécissement (la valeur par défaut pour les classes book et article et 12pt plus 4pt minus 4pt).

\medskip

La même chose que \vspace{\medskipamount}, ordinairement environ la moitié de l’espace d’une ligne, avec dilatation et rétrécissement (la valeur par défaut pour les classes book et article et 6pt plus 2pt minus 2pt).

\smallskip

La même chose que \vspace{\smallskipamount}, ordinairement environ le quart de l’espace d’une ligne, avec dilatation et rétrécissement (la valeur par défaut pour les classes book et article et 3pt plus 1pt minus 1pt).


Suivant: , Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.11 \vfill

Finit le paragraphe courante et insère une longueur elastique verticale (voir Lengths) qui est infinie, de sorte qu’elle puisse se dilater ou that is se rétrécire autant que nécessaire.

On l’utilise souvent de la même façon que \vspace{\fill}, à ceci près que \vfill finit le paragraphe courant, tandis que \vspace{\fill} ajoute une espace verticale infinin sous sa ligne sans tenir compte de la structure du paragraphe. Dans les deux cas cette espace disparaît à la fin de la page ; pour éviter cela voir \vspace.

Dans l’exemple qui suit la page est remplie, de sorte que les lignes en haut et en bas contiennent le texte ‘Chien perdu !’ et que le troisième ‘Chien perdu !’ est exactement à mi-chemin entre eux.

\begin{document}
Chien perdu !
\vfill
Chien perdu !
\vfill
Chien perdu !
\end{document}

Précédent: , Monter: Spaces   [Table des matières][Index]

19.12 \vspace

Synopsis, l’une des deux formes suivantes :

\vspace{longueur}
\vspace*{longueur}

Ajout l’espace verticale longueur. Celle-ci peut-être négative ou positive, et c’est une longueur élastique (voir Lengths).

LaTeX enlève l’espace verticale provenant de \vspace aux sauts de page, c.-à-d. au sommet et au bas des pages. La version étoilée \vspace*{...} permet de conserver cette espace.

Si \vspace est utilisée au milieu d’un paragraphe (c.-à-d. en mode horizontal), l’esace est insérée après la ligne comprenant la commande \vspace sans commencer un nouveau paragraphe.

Dans cet exemple les deux questions sont espacées uniformément verticalement sur la page, avec au moins 2,5cm d’espace sous chacune d’elle.

\begin{document}
1) Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la
\vspace{2.5cm plus 1fill}

2) Où est donc passé ce chien ? Je le cherche partout
\vspace{2.5cm plus 1fill}
\end{document}

Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

20 Boîtes

Tous les paramètres de longueurs prédéfinies (voir Predefined lengths) peuvent être utilisés au sein des arguments des commandes de fabrication de boîtes.


Suivant: , Monter: Boxes   [Table des matières][Index]

20.1 \mbox{texte}

La commande \mbox crée un boîte qui a la largeur juste du texte créé par son argument. Le texte n’est pas coupé en plusieurs lignes, c’est pourquoi cette commande peut être utilisée pour empécher la césure.


Suivant: , Précédent: , Monter: Boxes   [Table des matières][Index]

20.2 \fbox and \framebox

Synopsis :

\fbox{texte}
\framebox[largeur][position]{texte}

Les commandes \fbox et \framebox sont similaires à \mbox, à ceci près qu’elle mettent un cadre autour de l’extérieur de la boîte ainsi créée.

De plus, la commande \framebox permet de spécifier explicitement la largeur de la boîte avec l’argument optionnel largeur (une longueur), et sa position sur la ligne avec l’argument optionnel position.

Les deux commandes produisent un filet d’épaisseur \fboxrule (valant par défaut ‘.4pt’), et laisse un espace de \fboxsep (valant par défaut ‘3pt’) entre le filet et le contenu de la boîte.

Voir \framebox (picture), pour la commande \framebox dans l’environnement picture.


Suivant: , Précédent: , Monter: Boxes   [Table des matières][Index]

20.3 lrbox

Synopsis :

\begin{lrbox}{\cmd}
  texte 
\end{lrbox}

Ceci est la forme environnement de la commande \sbox.

Le texte au sein de l’environnement est sauvegarder dans une boîte \cmd qui doit avoir préalablement été déclarée avec \newsavebox.


Suivant: , Précédent: , Monter: Boxes   [Table des matières][Index]

20.4 \makebox

Synopsis :

\makebox[largeur][position]{texte}

La commande \makebox crée une boîte juste assez large pour contenir le texte spécifié. La largeur de la boîte peut-être emportée par l’argument optionnel largeur. La position du texte au sein de la boîte est determinée par l’argument optionnel position qui peut prendre l’une des valeurs suivantes :

c

Centré (par défaut).

l

(Left) justifié à gauche.

r

(Right) justifié à droite.

s

(Stretch) justifié à travers la largeur entière ; texte doit contenir de l’espace dilatable pour que cela marche.

\makebox est aussi utilisé au sein de l’environnement picture, voir \makebox (picture).


Suivant: , Précédent: , Monter: Boxes   [Table des matières][Index]

20.5 \parbox

Synopsis :

\parbox[position][hauteur][pos-interne]{largeur}{texte}

La commande \parbox produit une boîte dont le contenu est créé en mode paragraphe. On devrait l’utiliser pour fabriquer une boîte à partir de petits moreaux de texte, avec rien de trop élaboré à l’intérieur. En particulier, vous ne devriez utiliser aucun environnement de fabrication de paragraphe au sein de l’argument texte d’une \parbox. Pour des morceaux de texte de plus grande taille, y compris ceux comprenant un environnement de fabrication de paragraphe, vous devriez utiliser un environnement minipage (voir minipage).

\parbox a deux arguments obligatoires :

largeur

la largeur de la parbox;

texte

le texte qui à mettre dans la parbox.

Par défault LaTeX positionne verticallement un parbox de sorte que son centre soit aligné avec le centre de la ligne de texte alentour. Lorsque l’argument optionnel position est présent et vaut soit ‘t’ soit ‘b’, cela vous permet respectivement d’aligner soit la ligne du haut, soit la ligne du bas de la parbox avec la ligne de base du texte alentour. Il est possible de spécifier position à ‘m’ pour avoir le comportement par défaut.

L’argument optionnel hauteur l’emporte sur la hauteur naturelle de la boîte.

L’argument pos-interne contrôle la position du texte au sein de la boîte, comme suit ; s’il n’est pas spécifié, position est utilisé.

t

le texte est placé en haut de la boîte.

c

le texte est centré dans la boîte.

b

le texte est placé en bas de la boîte.

s

dilatation (stretch) verticale ; le texte doit contenir de l’espaces dilatable verticalement pour que cela fonctionne.


Suivant: , Précédent: , Monter: Boxes   [Table des matières][Index]

20.6 \raisebox

Synopsis :

\raisebox{distance}[hauteur][profondeur]{texte}

La commande \raisebox élève ou abaisse du texte. Le premier argument obligatoire spécifie la longueur dont le texte doit être élevé (ou abaissé si c’est une longueur négative). Le texte lui-même est traité en mode LR.

Les arguments optionnels hauteur et profondeur sont des longueurs. S’ils sont spécifiés, LaTeX traite texte comme s’il s’étendait une certaine distance (hauteur) au-dessus de la ligne de base, ou au dessous (profondeur), en ignorant ses hauteur et profondeur naturelles.


Suivant: , Précédent: , Monter: Boxes   [Table des matières][Index]

20.7 \savebox

Synopsis :

\savebox{\boxcmd}[largeur][pos]{texte}

Cette commande compose texte dans une boîte de la même façon qu’avec \makebox (voir \makebox), à ceci près qu’au lieu d’imprimer la boîte résultante, elle la sauvegarde dans une boîte étiquettée \boxcmd, ce qui doit avoir été déclaré avec \newsavebox (voir \newsavebox).


Suivant: , Précédent: , Monter: Boxes   [Table des matières][Index]

20.8 \sbox{\boxcmd}{texte}

Synopsis :

\sbox{\boxcmd}{texte}

\sbox tape texte au sein d’une boîte tout comme \mbox (voir \mbox) à ceci près qu’au lieu que la boîte résultante soit incluse dans la sortie normale, elle est sauvegardée dans la boîte étiquetée \boxcmd. \boxcmd doit avoir été préalablement déclarée avec \newsavebox (voir \newsavebox).


Précédent: , Monter: Boxes   [Table des matières][Index]

20.9 \usebox{\boxcmd}

Synopsis :

\usebox{\boxcmd}

\usebox produit la boîte la plus récemment sauvegardée dans le bac \boxcmd par une commande \savebox (voir \savebox).


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

21 Insertions spéciales

LaTeX fournit des commandes pour insérer les caractères qui ont une signification spéciale mais ne correspondent à aucun caractère simple que vous pouvez taper.


Suivant: , Monter: Special insertions   [Table des matières][Index]

21.1 Caractères réservés

LaTeX réserve les caractères suivant à un usage spécial (par exemple, le signe pourcent % sert aux commentaires) c’est pourquoi on les appelle caractères réservés ou caractères spéciaux.

# $ % & { } _ ~ ^ \

Si vous voulez qu’un caractère réservés soit imprimé comme lui-même, dans la même police que le corps du texte, alors pour tous les caractères hormis les trois derniers de cette liste il suffit de les faire précéder d’une contr’oblique \. Ainsi \$1.23 produit $1.23 en sortie.

Quant aux trois derniers caractères, pour faire un tilde dans la police du corps du texte utilisez \~{} (sans les accolades cela mettrait un accent tilde sur le caractère suivant). De même pour faire un accent circonflexe dans la police du corps du texte utilisez \^{}. Une contr’oblique dans la police du corps de texte se fait avec \textbackslash{}.

Pour produire les caractères réservé dans la police d’une machine à écrire utilisez \verb!! comme ci-dessous :

\begin{center}
  \# \$ \% \& \{ \} \_ \~{} \^{} \textbackslash \\
  \verb!# $ % & { } _ ~ ^ \!
\end{center}

Dans cet exemple la double contr’oblique \\ n’est là que pour sauter à la ligne.


Suivant: , Précédent: , Monter: Special insertions   [Table des matières][Index]

21.2 Symboles appelés par leur position dans une police

Vous pouvez accéder à n’importe quel caractère de la police courante en utilisant son numéro avec la commande \symbol. Par exemple, le caractère espace visible utilisé dans la commande \verb* a le code décimal 32, ainsi on peut le taper avec \symbol{32}.

Vous pouvez également spécifier le numéro en octal (base 8) en utilisant un préfixe ', ou en hexadécimal (base 16) avec un préfixe ", ainsi l’exemple précédent pourrait tout aussi bien être écrit comme \symbol{'40} ou \symbol{"20}.


Suivant: , Précédent: , Monter: Special insertions   [Table des matières][Index]

21.3 Symboles en texte

LaTeX fournit des commandes pour générer divers symboles qui ne sont pas des lettres dans le cours sein du texte. Certaines d’entre elles, en particulier les plus obscures, ne sont pas disponible en OT1 ; il se peut que vous deviez charger le paquetage textcomp.

\copyright
\textcopyright

Le symbole « droit d’auteur », ©.

\dag

Le symbole obèle (dans le texte).

\ddag

Le symbole double obèle (dans le texte).

\LaTeX

Le logo LaTeX.

\LaTeXe

Le logo LaTeX2e.

\guillemotleft («)
\guillemotright (»)
\guilsinglleft (‹)
\guilsinglright (›)

Guillemets à chevron double et simple, utilisés communément en français : «, », ‹, ›.

\ldots
\dots
\textellipsis

Des points de suspension (trois points sur la ligne de base) : ‘…’. \ldots et \dots peuvent également être utilisés en mode mathématique.

\lq

guillemet-apostrophe simple de gauche (ouvrant) : ‘.

\P
\textparagraph

Signe paragraphe : ¶ (pied-de-mouche).

\pounds
\textsterling

Livre sterling anglais : £.

\quotedblbase („)
\quotesinglbase (‚)

Guillemets-virgule inférieur double et simple : „ et ‚.

\rq

Guillemet-apostrophe simple de gauche (fermant) : ’.

\S

\itemx \textsection Signe section : §.

\TeX

Le logo TeX.

\textasciicircum

circonflexe ASCII : ^.

\textasciitilde

tilde ASCII : ~.

\textasteriskcentered

Astérisque centré : *.

\textbackslash

Contr’oblique : \.

\textbar

Barre verticale : |.

\textbardbl

Barre verticale double.

\textbigcircle

Symbole grand rond.

\textbraceleft

Accolade gauche : {.

\textbraceright

Accolade droite : }.

\textbullet

Puce : •.

\textcircled{lettre}

lettre dans un cercle, comme dans ®.

\textcompwordmark
\textcapitalcompwordmark
\textascendercompwordmark

Marque de mot composé (invisible). La forme \textcapital... à la hauteur de capitale de la fonte, alors que la forme \textascender... a la hauteur de hampe.

\textdagger

Obèle : \dag.

\textdaggerdbl

Double-obèle : \ddag.

\textdollar (ou \$)

Signe Dollar : $.

\textemdash (ou ---)

Cadratin : — (pour la ponctuation).

\textendash (ou --)

Demi cadratin : – (pour les plages en anglais).

\texteuro

Le symbole Euro : €.

\textexclamdown (ou !`)

Point d’exclamation culbuté : ¡.

\textgreater

Supérieur à : >.

\textless

Inférieur à : <.

\textleftarrow

Flèche gauche.

\textordfeminine
\textordmasculine

Symboles ordinaux féminin et masculin : ª, º.

\textperiodcentered

Point centré : ·.

\textquestiondown (ou ?`)

Point d’interrogation culbuté : ¿.

\textquotedblleft (ou ``)

Guillemet-apostrophe double culbuté : “.

\textquotedblright (ou '')

Guillemet-apostrophe de droite double : ”.

\textquoteleft (ou `)

Guillemet-apostrophe simple culbuté : ‘.

\textquoteright (ou ')

Guillemet-apostrophe simple : ’.

\textquotesingle

Guillemet-apostrophe simple droit. (Du codage TS1.)

\textquotestraightbase
\textquotestraightdblbase

Guillemets droit simple et double sur la ligne de base.

\textregistered

Symbole « marque déposée » : ®.

\textrightarrow

Flèche droite.

\textthreequartersemdash

Cadratin « trois quarts ».

\texttrademark

Symbole marque de commerce : ™.

\texttwelveudash

Deux-tiers cadratin.

\textunderscore

Tiret bas : _.

\textvisiblespace

Symbol espace visible.


Suivant: , Précédent: , Monter: Special insertions   [Table des matières][Index]

21.4 Accents

LaTeX a une prise en charge très large de beaucoup des scripts et langages du monde, à travers ce qu’offre le paquetage babel. Cette section ne tente pas de couvrir la totalité de cette prise en charge. Elle liste simplement les commandes LaTeX cœur pour créer des caractères accentués, et plus généralement des caractères portant un signe diacritique.

Les commandes \capital... produisent des formes alternatives pouvant être utilisées avec les lettres capitales. Elles ne sont pas disponible avec l’OT1.

\"
\capitaldieresis

Produit une tréma, comme dans ö.

\'
\capitalacute

Produit un accent aigu, comme dans ó. Dans l’environnement tabbing, pousse la colonne courante à droite de la colonne précédente (voir tabbing).

\.

Produit un point suscrit à la lettre qui suit, comme dans ȯ.

\=
\capitalmacron

Produit un macron (une barre) suscrit à la lettre qui suit, comme dans ō.

\^
\capitalcircumflex

Produit un accent circonflexe (un chapeau) suscrit à la lettre qui suit, comme dans ô.

\`
\capitalgrave

Produit un accent grave suscrit à la lettre qui suit, comme dans ò. Au sein de l’environnement tabbing, déplace le texte qui suit à la marge de droite (voir tabbing).

\~
\capitaltilde

Produit un diacritique tilde suscrit à la lettre qui suit, comme dans ñ.

\b

Produit un diacritique barre souscrite à la lettre qui suit, comme dans o_. Voir aussi \underbar ci-après.

\c
\capitalcedilla

Produit une cedille souscrite à la lettre qui suit, comme dans ç.

\d
\capitaldotaccent

Produit un point souscrit à la lettre qui suit, comme dans ọ.

\H
\capitalhungarumlaut

Produit un long tréma hongrois suscrit à la lettre qui suit, comme dans ő.

\i

Produit un i sans point, comme dans ‘i’.

\j

Produit un j sans point, comme dans ‘j’.

\k
\capitalogonek

Produit un ogonek, comme dans ‘ǫ’. Non disponible dans le codage OT1.

\r
\capitalring

Produit un rond en chef, comme dans ‘o*’.

\t
\capitaltie
\newtie
\capitalnewtie

Produit un tirant suscrit (double brève renversée), comme dans ‘oo[’. La forme \newtie est centrée dans sa boîte.

\u
\capitalbreve

Produit un accent brève, comme dans ‘ŏ’.

\underbar

Ce n’est pas vraiement un diacritique. Produit une barre au-dessous de l’argument texte. L’argument est toujours traité en mode horizontal. La barre est toujours à une position fixée sous la ligne de base, de la sorte elle traverse les descentes. Voir aussi \underline dans Math miscellany. Voir aussi \b ci-avant.

\v
\capitalcaron

Produit un accent háček (caron), comme dans ‘ǒ’.


Suivant: , Précédent: , Monter: Special insertions   [Table des matières][Index]

21.5 Lettres latines supplémentaires

Voici les commandes de base de LaTeX pour insérer des caractères utilisés généralement utilisés dans des langages autres que l’anglais.

\aa
\AA

å et Å.

\ae
\AE

æ et Æ.

\dh
\DH

Lettre islandaise eth : ð et Ð. Non disponible dans le codage OT1, il vous faut le paquetage fontenc pour sélectionner un autre codage de police, tel que T1.

\dj
\DJ

d et D barre, lettre d capitale et bas-de-casse avec une barre traversant la hampe. Non disponible dans le codage OT1, il vous faut le paquetage fontenc pour sélectionner un autre codage de police, tel que T1.

\ij
\IJ

ij et IJ (à ceci près que les deux lettre apparaissent plus liées qu’ici).

\l
\L

ł et Ł.

\ng
\NG

Lettre eng laponais, utilisé aussi en phonétique. Non disponible dans le codage OT1, il vous faut le paquetage fontenc pour sélectionner un autre codage de police, tel que T1.

\o
\O

ø et Ø.

\oe
\OE

œ et Œ.

\ss
\SS

ß et SS.

\th
\TH

Lettre islandaise thorn : þ et Þ. Non disponible dans le codage OT1, il vous faut le paquetage fontenc pour sélectionner un autre codage de police, tel que T1.


Suivant: , Précédent: , Monter: Special insertions   [Table des matières][Index]

21.6 \rule

Synopsis :

\rule[élévation]{largeur}{épaisseur}

la commande \rule produit un filet, c.-à-d. une ligne ou un rectangle. Les arguments sont :

élévation

De combien élever le filet (optionnel).

largeur

La longueur du filet (obligatoire).

épaisseur

L’épaisseur du filet (obligatoire).


Précédent: , Monter: Special insertions   [Table des matières][Index]

21.7 \today

La commande \today produit la date d’aujourd’hui, par défaut dans le format ‘mois jj, aaaa’ ; par exemple, ‘July 4, 1976’. Elle utilise les compteurs prédéfinis \day, \month, et \year (voir \day \month \year) pour faire cela. Elle n’est pas mise à jour durant l’execution de la compilation.

Les extensions multilingues comme entre autres le paquetage babel ou la classe lettre localisent \today. Par exemple le code suivant produit ‘4 juillet 1976’ :

\year=1976 \month=7 \day=4
\documentclass{minimal}
\usepackage[french]{babel}
\begin{document}
\today
\end{document}

Le paquetage datetime, entre autres, produit un large choix d’autres formats de date.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

22 Partitionner le fichier d’entrée

Un document de grande taille nécessite beaucoup de données en entrée. Plutôt que de mettre toutes les entrées dans un seul grand fichier, il est plus efficace de les partitionner en plusieurs fichiers plus petits. Indépendamment du nombre de fichiers distincts que vous utilisez, il y en a un seul qui est le fichier racine ; c’est le fichier dont vous passer le nom à la ligne de commande quand vous exécutez LaTeX.

Voir filecontents, pour un environnement qui permet de grouper un fichier externe à créer avec le document principal.


Suivant: , Monter: Splitting the input   [Table des matières][Index]

22.1 \include

Synopsis :

\include{fichier}

Si aucune commande \includeonly n’est présente, la commande \include exécute un \clearpage pour commencer une nouvelle page (voir \clearpage), puis elle lit fichier, et ensuite fait encore un \clearpage.

Précédé d’une commande \includeonly, les actions de \include ne sont exécutées que si fichier est un élément des fichiers listés en argument de l’\includeonly. Voir \includeonly.

La commande \include ne doit apparaître ni dans le préambule, ni au sein d’un fichier lu par une autre commande \include.


Suivant: , Précédent: , Monter: Splitting the input   [Table des matières][Index]

22.2 \includeonly

Synopsis :

\includeonly{fichier1,fichier2,...}

La commande \includeonly contrôle quels fichiers sont lisible par toute commande \include venant ensuite. La liste des noms de fichier est à éléments séparés par des virgules. Chaque élément fichier1, fichier2, … doit exactement correspondre à un nom de fichier spécifié en argument d’une commande \include pour que la sélection soit effective.

Cette commande ne peut apparaître que dans le préambule.


Précédent: , Monter: Splitting the input   [Table des matières][Index]

22.3 \input

Synopsis :

\input{nomfichier}

La commande \input a pour effet que le nomfichier spécifié soit lu et traité comme si son contenu était inséré dans le fichier courant à cet endroit.

Si nomfichier ne se termine pas en ‘.tex’ (par ex., ‘toto’ ou ‘toto.tata’), on essaie en premier en ajoutant cette extension (‘toto.tex’ ou ‘toto.tata.tex’). Si aucun fichier n’est trouvé avec ce nom, alors on essaie le nomfichier original (c.-à-d. ‘toto’ ou ‘toto.tata’).


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

23 Prologue et épilogue


Suivant: , Monter: Front/back matter   [Table des matières][Index]

23.1 Tables des matières

On produit une table des matières avec la commande \tableofcontents. Placez la commande à l’endroit même où vous voulez que la table des matière apparaisse ; LaTeX fera le reste pour vous. Une seconde compilation est nécessaire pour qu’un fichier .toc ait été produit à la précédente.

La commande \tableofcontents produit un titre, mais il ne produit pas automatiquement un début de nouvelle page. Si vous voulez une nouvelle page après la table des matières, mettez une commande \newpage après la commande \tableofcontents.

Les commandes analogues \listoffigures et \listoftables produisent respectivement une liste des figures et une listes des tableaux. Le fonctionnement est exactement le même que pour la table des matières.

La commande \nofiles l’emporte sur ces commandes, et empèche la génération de ces listes.


Suivant: , Monter: Tables of contents   [Table des matières][Index]

23.1.1 \addcontentsline

Synopsis :

\addcontentsline{ext}{unit}{texte}

La commande \addcontentsline ajoute une entrée a la liste ou table specifiée où :

ext

L’extension de nom de fichier du fichier dans lequel l’information doit être écrite, typiquement c’est l’une des trois suivante :: toc pour la table des matière (« table of contents » en langue anglaise), lof pour la liste des figures (« list of figures »), ou lot pour la liste des tableaux (« list of tables »).

unit

Le nom de l’unité sectionnelle à ajouter, typiquement l’une des suivantes, selon la valeur de l’argument ext :

toc

Les unités sectionnelles : part, chapter, section, subsection, subsubsection.

lof

Pour la liste des figures : figure.

lot

Pour la liste des tableaux : table.

texte

Le texte de l’entrée.

Ce qui est écrit dans le fichier .ext est la commande \contentsline{unit}{texte}{numéro}, où numéro est la valeur courante du compteur unit.


Précédent: , Monter: Tables of contents   [Table des matières][Index]

23.1.2 \addtocontents

La commande \addtocontents{ext}{texte} ajoute du texte (ou des commandes de formatage) directement au fichier .ext qui génère la tables des matières, ou la liste des figures ou des tableaux. generates the table of contents or listes of figures or tables.

ext

L’extension de nom de fichier du fichier dans lequel l’information est à écrire : toc (table des matières), lof (liste des figures), ou lot (liste des tableaux).

texte

Le texte à écrire.


Suivant: , Précédent: , Monter: Front/back matter   [Table des matières][Index]

23.2 Glossaires

La commande \makeglossary active la création des glossaires.

La commande \glossary{texte} écrit un article de glossaire pour texte dans un fichier auxiliaire nommé avec l’extension .glo.

Plus précisément, ce qui est écrit est la commande \glossaryentry{texte}{numpage}, où numpage est la valeur courante de \thepage.

Le paquetage glossary disponible sur le CTAN fournit une prise en charge de glossaires plus élaborée.


Précédent: , Monter: Front/back matter   [Table des matières][Index]

23.3 Index

La commande \makeindex active la création d’index. Placez là dans le préambule.

La commande \index{texte} écrit un article d’index pour texte dans un fichier auxiliaire nommé avec une extention .idx.

Plus précisément, ce qui est écrit est la commande \indexentry{texte}{numpage}, où numpage est la valeur courante de \thepage.

Pour générer un article d’index pour « toto » qui dit « Voir titi », utilisez une barre verticale : \index{toto|see{titi}}. Utilisez seealso au lieu de see pour fabriquer un article en « Voir aussi ».

Le texte « Voir » est défini par la macro \seename, et le texte « Voir aussi » par la macro \alsoname. Ils peuvent être redéfinis pour d’autres langages.

Le fichier en .idx généré est ensuite trié avec une commande externe, d’ordinaire soit makeindex (http://mirror.ctan.org/indexing/makeindex) ou la commande ( multi-lingue) xindy (http://xindy.sourceforge.net). Ceci résulte en un fichier en .ind, ce qui peut ensuite être lu pour composer l’index.

L’index est d’ordinaire généré avec la commande \printindex. Celle-ci est définie dans le paquetage makeidx, ainsi vous devez mettre \usepackage{makeidx} dans le préambule.

La longueur élastique \indexspace est insérée avant chaque nouvelle lettre dans l’index imprimé ; sa valeur par défaut est ‘10pt plus5pt minus3pt’.

Le paquetage showidx a pour effet que chaque article de l’index est affiché dans la marge de la page où l’article apparaît. Ceci peut aider à la préparation de l’index.

Le paquetage multind prend en charge la pluralité des index. Voir aussi l’article de la FAQ TeX FAQ à ce propos, http://www.tex.ac.uk/cgi-bin/texfaq2html?label=multind.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

24 Des lettres

Synopsis :

\documentclass{letter}
\address{adresse expéditeur}
\signature{nom de l'expéditeur}
\begin{document}
\begin{letter}{adresse destinataire}
\opening{apostrophe}
  corps-de-la-lettre
\closing{texte de salutation}
\end{letter}
  ...  encore des lettres ...
\end{document}

Produit une ou plusieurs lettres.

Chaque lettre est dans un environnement séparé letter, dont l’argument adresse desinataire contient souvent plusieurs lignes séparées par une double contr’oblique (\\). Par exemple, vous pourriez avoir :

 \begin{letter}{M. Joseph Fabre \\
      25 rue de la République\\
      35700 Rennes}
   ...
 \end{letter}

Le début de l’environnement letter reinitialise le numéro de page à 1, et le numéro de note en bas de page à 1 aussi.

Les adresse expéditeur et nom de l’expéditeur sont communs à toutes les lettres, qu’il y en ait une ou plus, ainsi il est préférable de mettre ces déclarations dans le préambule. Comme avec l’adresse du destinataire, souvent adresse expéditeur contient plusieurs lignes séparées par une double contr’oblique \\. LaTeX place le nom de l’expéditeur sous la salutation, après un espace vertical pour la signature manuscrite traditionnelle ; il peut aussi contenir plusieurs lignes.

Le corps de chaque environnement letter commence par une commande \opening obligatoire telle que \opening{Madame, Monsieur,}. Le texte corps-de-la-lettre est du code LaTeX ordinaire et peut donc tout contenir de la liste énumérée à des formules mathématique en hors texte, à ceci près que la commandes de rubricage telles que \chapter qui n’ont pas lieu d’être au sein d’une lettre sont indisponibles. Chaque environnement letter se termine typiquement par une commande \closing telle que dans \closing{Je vous prie, Madame, Monsieur, d'agréer l'expression de mes sentiments les meilleurs.}.

Du matériel suppélementaire peut venir après le \closing. Vous pouvez préciser qui est en copie de la lettre avec une commande comme \cc{Le Patron\\Le Patron du Patron}. Il y a une commande \encl similaire pour spécifier une liste de pièces jointes. Et, vous pouvez ajouter un postscriptum avec \ps.

Par défaut LaTeX renfonce la signature et la salutation \closing la précédant d’une longueur valant \longindentation. Celle-ci vaut par défaut 0.5\textwidth. Pour les aligner à gauche, il suffit de spécifier \setlength{\longindentation}{0em} dans votre préambule.

Pour fixer la date utilisez quelque-chose comme \renewcommand{\today}{2015-10-12}. En plaçant ce code dans votre préambule, il s’appliquera à toutes les lettres du document.

Cet exemple est avec un seul environnement letter. Les trois lignes marquées en commentaire comme optionnelles sont typiquement omises.

\documentclass{letter}
\usepackage[T1]{fontenc}
\usepackage{french}
\address{Rue de l'expéditeur \\ Ville de l'expéditeur}
\signature{Nom de l'expéditeur\\ Titre de l'expéditeur}
% optionnel : \location{Boîte Postale 13}
% optionnel : \telephone{(102) 555-0101}
\begin{document}
\begin{letter}{Nom du destinataire \\ Adresse du destinataire}
\opening{Monsieur,}
% optionnel : \thispagestyle{firstpage}
I ne suis pas intéressé à faire affaire avec vous.
\closing{Je vous prie, Monsieur, de recevoir mes salutations distinguées.}
\end{letter}
\end{document}

Ces commandes sont utilisées avec la classe letter.


Suivant: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.1 \address

Synopsis :

\address{adresse-expéditeurs}

Spécifie l’adresse de retour telle qu’elle apparaît sur la lettre et sur l’enveloppe. Séparez des lignes multiples au sein de adresse-expéditeurs avec une double contr’oblique \\.

Parce qu’elle peut s’appliquer à des lettres multiples cette déclaration est souvent placée dans le préambule. Toutefois elle peut être faite n’importe où, y compris au sein d’un environnement letter individuel.

Cette commande est optionnelle : sans la déclaration \address la lettre est formatée avec un espace à blanc en haut de sorte à pouvoir être imprimée sur du papier à en-tête pré-imprimé. (Voir Overview, pour les détails concernant votre implémentation locale). Avec la déclaration \address, elle est formatée comme une lettre personnelle.


Suivant: , Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.2 \cc

Synopsis :

\cc{premier nom\\...}

Produit une liste de noms de personnes mis en copie de la lettre. Cette commande est optionnelle. Si elle est présente, alors elle vient typiquement après le \closing. En cas de ligne multiple, séparez les avec une double contr’oblique \\, comme dans :

\cc{Président \\
    Vice-président}

Suivant: , Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.3 \closing

Synopsis :

\closing{texte}

D’ordinaire à la fin d’une lettre, au dessus de la signature manuscrite, il y a un \closing (bien que cette commande soit optionnelle). Par exemple :

\closing{Je vous prie, Madame, Monsieur, d'agréer l'expression de ma
   confiance.}

Suivant: , Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.4 \encl

Synopsis :

\encl{ligne1\\ligne2}

Déclare une liste d’une ou plus de pièces jointes.


Suivant: , Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.5 \location

Synopsis :

\location{texte}

Le texte apparaît centré au bas de chaque page. Il apparaît seulement si le style de la page est firstpage.


Suivant: , Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.6 \makelabels

Synopsis :

\makelabels

Crée une feuille d’étiquettes d’adresses à partir des adresses des destinataires, une pour chaque lettre. Cette feuille sera sortie avant les lettres, avec dans l’idée de la copier sur une feuille vierge de vignettes autocollantes. Cette commande est à mettre dans le préambule.

Vous pouvez personnaliser les étiquettes en redéfinissant les trois commandes \startlabels, \mlabel et \returnaddress dans le préambule. Ces commandes ne sont pas à appeler directement par l’utilisateur, c’est la classe letter qui les appelle. La commande \startlabels compose la page sur laquelle les étiquettes sont imprimées en termes de largeur, de hauteur, et de nombre de colonnes, etc. La commande \mlabel{adresse expéditeur}{adresse destinataire} est appelée pour chaque lettre du document avec deux arguments :

La définition par défaut de \mlabel ignore le premier argument, c’est à dire que si vous placez seulement un \makelabels dans le préambule, la feuille d’étiquettes ne contiendra des étiquettes que pour les destinataires.

Si vous désirez imprimer une étiquette d’adresse expéditeur et d’adresse destinataire pour chaque lettre, vous devez faire deux choses :

  1. La première est de redéfinir \mlabel pour fabriquer deux étiquettes au lieu d’une, vous pouvez pour cela mettre ce qui suit dans le préambule :
    \newcommand*\originalMlabel{}
    \let\originalMlabel\mlabel
    \def\mlabel#1#2{\originalMlabel{}{#1}\originalMlabel{}{#2}}
    

    Ceci ne suffit toutefois pas, parce que la première des deux étiquettes est vide, vu que la définition par défaut de \returnaddress l’est.

  2. La seconde est de redéfinir \returnaddress pour contenir l’adresse de l’expéditeur, vous pouvez faire cela en plaçant dans le préambule :
    \renewcommand*\returnaddress{\protect\fromname\\\protect\fromaddress}
    

Suivant: , Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.7 \name

\name{June Davenport}

Le nom de l’expéditeur, à imprimer sur l’enveloppe avec l’adresse de retour.


Suivant: , Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.8 \opening{texte}

Synopsis :

\opening{texte}

Cette commande est obligatoire. Elle commence la lettre, en suivant le \begin{letter}{...}. L’argument obligatoire texte est le texte d’appel de votre lettre. Par exemple :

\opening{Dear John,}

Suivant: , Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.9 \ps

Synopsis :

\ps{texte}

Utilisez la commande \ps pour commencer un postscriptum dans une lettre, après \closing.


Suivant: , Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.10 \signature{texte}

Synopsis :

\signature{première ligne \\
            ... }

Le nom de l’expéditeur. Cette commande est optionnelle, quoique son inclusion soit habituelle.

Le texte de l’argument apparaît à la fin de la lettre, après la clôture et après une espace verticale pour la signature manuscrite traditionnelle. Séparez des lignes multiples avec une double contr’oblique \\. Par exemple :

\signature{J Fred Muggs \\
           White House}

La valeur par défault de LaTeX pour l’espace verticale space du texte de \closing au texte de \signature est 6\medskipamount, ce qui vaut six fois 0,7em.

Cette commande est d’ordinaire dans le preambule, de sorte à s’appliquer à toutes les lettres du document. Pour qu’elle ne s’applique qu’à une seule lettre, placez la au sein d’un environnement letter et avant le \closing.

Vous pouvez inclure un graphique dans la signature, par exemple avec \signature{\vspace{-6\medskipamount}\includegraphics{sig.png}\\ My name} (ceci nécessite d’écrire \usepackage{graphicx} dans le préambule).


Précédent: , Monter: Letters   [Table des matières][Index]

24.11 \telephone

Synopsis :

\telephone{numéro}

C’est le numéro de telephone de l’expéditeur. Déclaré typiquement dans le préambule, où il s’applique à toutes les lettres. Ceci apparaît seulement si le style de page (pagestyle) firstpage est sélectionné. Dans ce cas, il apparaît en bas à droite de la page.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

25 Entrée/sortie console


Suivant: , Monter: Terminal input/output   [Table des matières][Index]

25.1 \typein[cmd]{msg}

Synopsis :

\typein[\cmd]{msg}

\typein tape msg sur la console et fait que LaTeX s’arrête et attend que vous saisisiez une ligne d’entrée, en la terminant par un retour-chariot. Si l’argument optionnel \cmd est omis, l’netrée tapée est traitée comme si elle avec été incluse dans le fichier d’entrée à la place de la commande \typein. Si l’argument \cmd est présent, cela doit être un nom de commande. Ce nom de commande est alors défini, ou redéfini, pour se développer en le texte en entrée qui a été tapé.


Précédent: , Monter: Terminal input/output   [Table des matières][Index]

25.2 \typeout{msg}

Synopsis :

\typeout{msg}

Tape msg sur le terminal et dans le journal (fichier log). Les commandes dans msg qui sont définis avec \newcommand ou \renewcommand (entre autres) sont remplacées par leurs définitions avant d’être tapée.

Les règles usuelles de LaTeX pour le traitement de plusieurs espaces comme un seul espace et pour ignorer les espaces après un nom de commande s’appliquent à msg. Une commande \space dans msg provoque un unique espace tapé, indépendant des espaces qui l’entourent. Un ^^J dans msg tape un saut à la ligne.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

26 Ligne de commande

La spécification du fichier d’entrée indique le fichier à être formaté ; TeX utilise .tex comme extension de fichier par défaut. Si vous omettez complètment le fichier d’entrée, TeX accèpte en entrée les caractères saisis à partir de la console. Vous spécifiez les options de commande en fournissant une chaîne en paramètre de la commande ; par ex.

latex '\nonstopmode\input foo.tex'

Traitera foo.tex sans faire de pause après chaque erreur.

Si LaTeX s’arrête au milieu du document et vous fait une invite en ‘*’, c’est qu’il attend que vous saisissiez quelque chose. Vous pouvez taper \stop (et retour-chariot) et il terminera prématurément le document.

Voir TeX engines, pour les autres commandes système invoquant LaTeX.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

Appendice A Patrons de documents

Bien que ce ne soit pas un matériel de référence, peut-être que ces patrons de document vous seront utiles. Davantage de resources de patrons sont listé à http://tug.org/interest.html#latextemplates.


Suivant: , Monter: Document templates   [Table des matières][Index]

A.1 Un patron beamer

La classe beamer crée des présentations en diapositives. Elle a de très nombreuses possibilités, mais voici un patron de base :

\documentclass{beamer}
\usepackage[latin1]{inputenc}

\title{Patron pour la classe Beamer}
\author{Alex L'Auteur}
\date{31 juillet 2007}

\begin{document}

\maketitle

% sans [fragile], n'importe quel code {verbatim} se prend des erreurs mystérieuses.
\begin{frame}[fragile]
 \frametitle{Première diapositive}

\begin{verbatim}
  C'est \verbatim!
\end{verbatim}

\end{frame}

\end{document}

Une ressource web pour cela : http://robjhyndman.com/hyndsight/beamer/.


Suivant: , Précédent: , Monter: Document templates   [Table des matières][Index]

A.2 Un patron book

\documentclass{book}
\title{Le Patron de la classe book}
\author{Alex L'Auteur}

\begin{document}
\maketitle

\chapter{Premier}
Du texte.

\chapter{Second}
Et du texte.

\section{Un sujet secondaire}
La fin.
\end{document}

Précédent: , Monter: Document templates   [Table des matières][Index]

A.3 Un patron tugboat

TUGboat est la revue du groupe des utilisateur de TeX (TeX Users Group), http://tug.org/TUGboat.

\documentclass{ltugboat}
\usepackage{graphicx}
\usepackage{ifpdf}
\ifpdf
\usepackage[breaklinks,hidelinks]{hyperref}
\else
\usepackage{url}
\fi

\title{Exemple d'article \TUB}

% répétez l'information pour chaque auteur.
\author{Prénom Nom}
\address{Voie\\ Ville, Code postal \\ Pays}
\netaddress{user (at) exemple dot org}
\personalURL{http://exemple.org/~user/}

 %%% Fin des métadonnées %%%

\begin{document}

\maketitle

\begin{abstract}
Ceci est un exemple d'article pour le \TUB{}.
Prière d'écrire un abrégé.
\end{abstract}

\section{Introduction}

Ceci est un exemple d'article pour le \TUB, à partir du lien
\url{http://tug.org/TUGboat/location.html}.

Nous recommandons le paquetage graphicx pour les inclusionj d'iimage, et
le paquetage hyperref pour des adresses réticulaires (url) actives (dans
la sortie \acro{PDF}).  De nos jour le \TUB\ est produit en utilisant
exclusivement des fichiers \acro{PDF}.

La classe \texttt{ltugboat} fournit ces abréviations (et bien d'autres) :

% verbatim blocks are often better in \small
\begin{verbatim}[\small]
\AllTeX \AMS \AmS \AmSLaTeX \AmSTeX \aw \AW
\BibTeX \CTAN \DTD \HTML
\ISBN \ISSN \LaTeXe
\mf \MFB
\plain  \POBox \PS
\TUB \TUG \tug
\UNIX \XeT \WEB \WEAVE

\, \bull \Dash \dash \hyph

\acro{FRED} -> {\small[er] fred}  % prière d'utiliser !
\cs{fred}   -> \fred
\meta{fred} -> <fred>
\nth{n}     -> 1st, 2nd, ...
\sfrac{3/4} -> 3/4
\booktitle{Book of Fred}
\end{verbatim}

Pour faire référence à d'autre numéros du \TUB\, veuillez utiliser le
format \textsl{volno:issno}, par ex., ``\TUB\ 32:1'' pour notre numéro
\nth{100}.

Ce fichier n'est qu'un patron.  La documentation du style \TUB\ est dans
le document \texttt{ltubguid} se trouvant à
\url{http://ctan.org/pkg/tugboat}.  (Pour les références au \CTAN\ nous
recommandons cette forme d'URL utilisant \texttt{/pkg/} quand cela fait
sens ; ou, si vous avez besoin de faire référence spécifiquement à une
localisation : \texttt{http://mirror.ctan.org/\textsl{chemin}}.)

Écrivez par mél à \verb|tugboat@tug.org| en cas de problèmes ou
questions.

\bibliographystyle{plain}  % nous  recommandons le style de bibliographie plain
\nocite{book-minimal}      % pour forcer la bibliographie à ne pas être vide
\bibliography{xampl}       % xampl.bib est compris dans BibTeX

\makesignature
\end{document}

Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

Appendice B Traduction de la licence

La traduction qui suit est donnée uniquement à titre informatif, et ne remplace pas le texte en anglais donné au début de ce document.

Permission vous est donnée de distribuer des copies conformes de ce manuel à condition que les mentions du droit d’auteur et de permission soient préservées sur toutes les copies.

Permission vous est donnée de copier et distribuer des versions modifiées de ce manuel dans les conditions d’une copie conforme, à condition que l’ensemble de l’ouvrage dérivé résultant soit distribué sous les termes d’une mention de permission identique à celle-ci.

Permission vous est donnée de copier et distribuer des traductions de ce manuel dans une autre langue, dans les conditions ci-dessus pour les versions modifiées.


Suivant: , Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

Index des concepts

Aller à:   *   .   \   «  
A   B   C   D   E   F   G   I   J   K   L   M   N   O   P   Q   R   S   T   U   V   W   X   É  
Entrée d’index  Section

*
*’, invite: Command line

.
.glo, fichier: Glossaries
.idx, fichier: Indexes
.ind, fichier: Indexes

\
\include emboîtés interdits: \include

«
« Voir » et « Voir aussi », article d’index: Indexes

A
a e liés: Non-English characters
a rond-en-chef: Non-English characters
a, e dans l’a: Non-English characters
accent: Font styles
accent: Font styles
accent aigu: Accents
accent aigu en math: Math accents
accent barre suscrite en math: Math accents
accent brève en math: Math accents
accent caron: Accents
accent caron en math: Math accents
accent chapeau en math: Math accents
accent circonflexe: Accents
accent circonflexe en math: Math accents
accent diérèse en math: Math accents
accent double-brève-renversée: Accents
accent grave en math: Math accents
accent háček: Accents
accent háček en math: Math accents
accent macron en math: Math accents
accent point: Accents
accent point en chef: Accents
accent point suscrit: Accents
accent point suscrit en math: Math accents
accent rond en chef: Accents
accent rond-en-chef en math: Math accents
accent tilde en math: Math accents
accent tréma: Accents
accent tréma en math: Math accents
accent tréma hongrois: Accents
accents: Accents
Accents mathématiques: Math accents
accentuées, lettres: Accents
accentués, caractères: Accents
accolade droite, dans le texte: Text symbols
accolade gauche, dans le texte: Text symbols
accéder à un caractère quelconque d’une police: Symbols by font position
afficher du texte cité avec renfoncement de paragraphe: quotation and quote
afficher un texte cité sans renfoncement de paragraphe: quotation and quote
agrandir la page courante: \enlargethispage
align environnement, d’amsmath: eqnarray
alignement au moyen de tabbing: tabbing
aligner des équations: eqnarray
aligner du texte dans des tableaux: tabular
aligner du texte en utilisant des taquets de tabulation: tabbing
amsmath paquetage, remplaçant eqnarray: eqnarray
annexe, création: Sectioning
anomalies, rapports: About this document
aperçu de LaTeX: Overview
appel: \opening
arguments mouvants: \protect
article d’une liste, compteur spécifiant: \usecounter
articles numérotés, compteur spécifiant: \usecounter
ASCII, circonflexe dans le texte: Text symbols
ASCII, tilde dans le texte: Text symbols
astérisque centré, dans le texte: Text symbols
aval, référence déclarée en: Cross references

B
barre par-dessus, accent: Accents
barre au-dessous: Accents
barre sousscite: Accents
barre verticale double, dans le texte: Text symbols
barre verticale, dans le texte: Text symbols
barre, diacritique: Accents
barre, double verticale, dans le texte: Text symbols
barre-souscrite, diacritique: Accents
bas de page, créer des notes: Footnotes
bas de page, des paramètres pour: Page layout parameters
bases de LaTeX: Overview
beamer patron et classe: beamer template
bibliographie, créer (automatiquement): Using BibTeX
bibliography, creating (manually): thebibliography
bibTeX, utilisation: Using BibTeX
Big point: Units of length
bogues, rapports: About this document
Bonjour le monde: Starting and ending
boîtes: Boxes
boîtes noires, en omettant: Document class options
brève, accent: Accents
brève, diacritique: Accents

C
cadratin: Units of length
cadratin: Text symbols
cadratin, demi: Text symbols
cadratin, deux tiers: Text symbols
cadratin, trois-quarts: Text symbols
caractères latins non diacrités: Non-English characters
caractères réservés: Reserved characters
caractères speciaux: Non-English characters
caractères spéciaux: Reserved characters
caron, diacritique: Accents
catcode: \makeatletter and \makeatother
catégorie, code de … de caractère: \makeatletter and \makeatother
Centimètre: Units of length
centrer du texte, déclaration pour: \centering
centrer du texte, environnement pour: center
centré, astérisque, dans le texte: Text symbols
centré, point, dans le texte: Text symbols
chapeau, accent: Accents
chargement des paquetages supplémentaires: Additional packages
chevron double, guillemets: Text symbols
chevron droit, guillemets: Text symbols
chevron gauche, guillemets: Text symbols
chevron simple, guillemets: Text symbols
chiffres de revêtement: Font styles
chiffres de style ancien: Font styles
chiffres de style ancien,: Font styles
Cicero: Units of length
circonflexe ASCII, dans le texte: Text symbols
circonflexe, accent: Accents
circonflexe, diacritique: Accents
citation: quotation and quote
class options: Class and package commands
classe de document, commandes: Class and package construction
classe de document, définition: Starting and ending
classe et paquetage, commandes: Class and package commands
classe et paquetage, différence: Class and package construction
classe et paquetage, structure: Class and package structure
classe ltugboat: tugboat template
classe, disposition du fichier: Class and package structure
classe, fichier d’exemple: Class and package structure
classe, options: Class and package structure
classes de documents: Document classes
clause at, au sein d’une définition de police: \newfont
clef de référence bibiliographique: \bibitem
code de catégorie de caractère: \makeatletter and \makeatother
code source, composer du: verbatim
commande de longueur: \setlength
commande longue: Class and package commands
commandes de fontes de bas niveau: Low-level font commands
commandes de fontes, de bas niveau: Low-level font commands
commandes de mise en page: Layout
commandes des classes de document: Class and package construction
commandes fragiles: \protect
commandes pour classe ou paquetage: Class and package commands
commandes robustes: \protect
commandes, en définir de nouvelles: \newcommand & \renewcommand
commandes, syntaxe des: LaTeX command syntax
commandes, variantes étoilées: \@ifstar
commencer une nouvelle page: \newpage
commencer une nouvelles page et débourrer les flottant: \clearpage
commencer une page de droite: \cleardoublepage
compteurs, a list of: Counters
compteurs, définir de nouveaux: \newcounter
compteurs, obtenir la valeur d’un: \value
compteurs, réglage: \setcounter
contr’oblique, dans le texte: Text symbols
copie, liste des personnes en, dans une lettre: \cc
Correction italique: \/
coupure de mot, empécher: \mbox
créer des images: picture
créer des tableaux: table
crésure, discrétionnaire: \discretionary
cédille, diacritique: Accents
césure, définir: \hyphenation
césure, empécher: \mbox
césure, forcer: \- (hyphenation)

D
date d’aujourd’hui: \today
defining new environnements: \newenvironment & \renewenvironment
demi-cadratin: Text symbols
deux-tiers cadratin: Text symbols
diacritique barre-souscrite: Accents
diacritique brève: Accents
diacritique caron: Accents
diacritique circonflexe: Accents
diacritique cédille: Accents
diacritique double-brève-renversée: Accents
diacritique háček: Accents
diacritique macron-souscrit: Accents
diacritique ogonek: Accents
diacritique point suscrit: Accents
diacritique point-souscrit: Accents
diacritique rond en chef: Accents
diacritique tilde: Accents
diacritique tirant susscrit: Accents
diacritique tréma hongrois: Accents
diacrtique accent aigu: Accents
diacrtique tréma: Accents
diacrtitiques, signes: Accents
différence entre classe et paquetage: Class and package construction
dilatation verticale infinie: \vfill
discrétionnaire, césure: \discretionary
dollar, signe: Text symbols
double obèle, dans le texte: Text symbols
double renvoi, résolution: Output files
double, barre verticale, dans le texte: Text symbols
double, guillemet-apostrophe culbuté: Text symbols
double, guillemet-apostrophe de droite: Text symbols
double, obèle, dans le texte: Text symbols
double-brève-renversée, diacritique: Accents
droit d’auteur, symbole: Text symbols
droit, guillemet double sur la ligne de base: Text symbols
droit, guillemet simple sur la ligne de base: Text symbols
droit, guillemet-apostrophe simple: Text symbols
droite, accolade, dans le texte: Text symbols
droite, flèche, dans le texte: Text symbols
droite, guillemet anglais simple: Text symbols
droite, guillemet-apostrophe simple: Text symbols
débourrer les flottant et commencer une page: \clearpage
début de document, crochet: \AtBeginDocument
début et fin: Starting and ending
déclaration en aval de référence: Cross references
définir de nouveaux théorèmes: \newtheorem
définir de nouvelles polices: \newfont
définir une nouvelle commande: \newcommand & \renewcommand
définitions: Definitions
délimiteur nul: Math miscellany

E
e dans l’a: Non-English characters
e dans l’o: Non-English characters
e-TeX: TeX engines
em: Units of length
en-tête et pied de page en cours de traitement: Page layout parameters
en-tête, des paramètres pour: Page layout parameters
encerclée, lettre, dans le texte: Text symbols
entrée Unicode, native: TeX engines
entrée/sortie console: Terminal input/output
environments: Environments
environnement: Starting and ending
environnement simili-théorème: \newtheorem
environnements, defining: \newenvironment & \renewenvironment
espace vertical: \addvspace
espace vertical avant les paragraphes: \parskip
espace vertical, insérer: \addvspace
espace verticale: \vspace
espace visible: \verb
espace visible, symbole, dans le texte: Text symbols
espacement au sein du mode mathématique: Spacing in math mode
espacement inter-phrase: \frenchspacing
espaces: Spaces
eszet lettre allemande: Non-English characters
eth islandais: Non-English characters
eth, lettre islandaise: Non-English characters
euro, symbole: Text symbols
exposant: Subscripts & superscripts
extension, structure: Class and package structure

F
fabriquer une page de titre: titlepage
Faire des paragraphes: Making paragraphs
fermant, guillemet anglais simple: Text symbols
fermant, guillemet-apostrophe simple: Text symbols
fichier auxiliaire: Output files
fichier d’entrée: Splitting the input
fichier de transcription: Output files
fichier externe, écrire: filecontents
fichier journal: Output files
fichier racine: Splitting the input
figures, insertion: figure
figures, notes en bas de page au sein des: minipage
fin d’une lettre: \closing
fin document, crochet: \AtEndDocument
fin et début: Starting and ending
flèche droite, dans le texte: Text symbols
flèche gauche, left, dans le texte: Text symbols
fonctions mathématiques: Math functions
forme en * de commandes de rubricage: Sectioning
forme en * des commandes d’environnement: \newenvironment & \renewenvironment
forme en *, définir de nouvelles commandes: \newcommand & \renewcommand
forme étoilée de commandes de rubricage: Sectioning
forme étoilée des commandes d’environnement: \newenvironment & \renewenvironment
forme étoilée, définir de nouvelles commandes: \newcommand & \renewcommand
formules en ligne: math
formules mathématiques: Math formulas
formules, environnement pour: equation
formules, math: Math formulas
fragile, commande: \protect
français, guillemets: Text symbols
féminin, symbole ordinal: Text symbols

G
gauche, accolade, dans le texte: Text symbols
gauche, flèche, dans le texte: Text symbols
gauche, guillemet-apostrophe simple de: Text symbols
globales, options: Additional packages
glossaires: Glossaries
Grand rond, symbole, dans le texte: Text symbols
gras: Font styles
gras tapuscrit, éviter: description
grave accent: Accents
guillemet droit double sur la ligne de base: Text symbols
guillemet droit simple sur la ligne de base: Text symbols
guillemet-apostrophe de droite double: Text symbols
guillemet-apostrophe double culbuté: Text symbols
guillemet-apostrophe simple: Text symbols
guillemet-apostrophe simple culbuté: Text symbols
guillemet-apostrophe simple droit: Text symbols
guillemet-virgule inférieur double: Text symbols
guillemet-virgule inférieur simple: Text symbols
guillemets double: Text symbols
guillemets français: Text symbols
guillemets simple: Text symbols
guillemets-virgule inférieurs, simple et double: Text symbols

I
i sans point: Accents
i sans point en math: Math accents
Icelandic thorn: Non-English characters
ici, placer les flottants: Floats
images, créer: picture
implémentations de TeX: TeX engines
index: Indexes
indice inférieur: Subscripts & superscripts
indice supérieur: Subscripts & superscripts
inférieur à, symbole dans le texte: Text symbols
inférieur, guillemet-virgule double: Text symbols
inférieur, guillemet-virgule simple: Text symbols
inserer des figures: figure
interligne double: Low-level font commands
invite ‘*: Command line
italique: Font styles

J
j sans point: Accents
j sans point en math: Math accents
jsutifier à gauche du texte, environnement pour: flushleft
justification, drapeau droit: \raggedright
justification, drapeau gauche: \raggedleft
justifier le texte à droite: \raggedleft
justifier à droite, environnement pour: flushright
justifié à gauche du texte: \raggedright

K
Knuth, Donald E.: Overview

L
l polonais: Non-English characters
L’équipe de projet LaTeX: About this document
Lamport TeX: Overview
Lamport, Leslie: Overview
LaTeX aperçu: Overview
LaTeX ou LaTeX2e, que choisir ?: About this document
LaTeX, logo: Text symbols
LaTeX2e logo: Text symbols
Lettre grecques: Math symbols
lettre ij, Holandais: Non-English characters
lettres calligraphiques pour les mathématiques: Font styles
lettres de script pour les mathématiques: Font styles
lettres latines non diacritées: Non-English characters
lettres, commencer: \opening
lettres, salutation: \closing
lettres, écrire des: Letters
ligne de commande: Command line
lignes dans des tableaux: tabular
liste des figures, fichier: Output files
liste des personnes en copie, dans une lettre: \cc
liste des tableaux, fichier: Output files
listes d’articles: itemize
listes d’articles, générique: list
listes de description, créer: description
listes non ordonnées: itemize
listes à puces: itemize
lists of items, numbered: enumerate
lists étiquetée, créer: description
livre, symbole: Text symbols
logo LaTeX: Text symbols
logo LaTeX2e: Text symbols
logo TeX: Text symbols
longueur: Lengths
longueur, ajouter à une: \addtolength
longueur, commande de: \setlength
longueur, régler une: \setlength
longueurs prédéfinies: Predefined lengths
longueurs, définir de nouvelles: \newlength
longueurs, définir et utiliser: Lengths
LuaTeX: TeX engines

M
m, largeur d’un: Units of length
macron, diacritique: Accents
macron-souscrit, diacritique: Accents
Madsen, Lars: eqnarray
makeindex, programme: Indexes
marque de fabrique, symbole: Text symbols
marque déposée, symbole: Text symbols
masculin, symbole ordinal: Text symbols
math, accent aigu: Math accents
math, accent barre suscrite: Math accents
math, accent brève: Math accents
math, accent grave: Math accents
math, accent macron: Math accents
math, accent point suscrit: Math accents
math, accent rond-en-chef: Math accents
math, accents: Math accents
math, fonctions: Math functions
math, miscellanées: Math miscellany
mathématiques gras: Font styles
mathématiques, gras: Font styles
matières, fichier: Output files
Millimètre: Units of length
minipage, créer une: minipage
miscellanées en math: Math miscellany
mise en page, les paramètres de: Page layout parameters
mode gauche-à-droite (left-to-right): Modes
mode LR: Modes
mode math: Modes
mode mathématique, entrer: Math formulas
mode mathématique, espacement: Spacing in math mode
mode paragraphe: Modes
mode paragraphe: \parbox
modes: Modes
modèle de document: Document templates
monnaie, dollar: Text symbols
monnaie, euro: Text symbols
moteur pdfTeX: TeX engines
moteurs, TeX: TeX engines
mpfootnote, compteur: \footnote
mu, unité mathématique: Units of length
multiplication discrétionnaire: Math miscellany

N
note en bas de page, créer: Footnotes
note en bas de page, symboles au lieu de numéros: \footnote
notes dans la marge: Marginal notes
notes en bas de page au sein des figures: minipage
Notes en bas de page, au sein d’une minipage: \footnote
notes en bas de page, dans les titres de rubrique: Footnotes in section headings
Notes en bas de page, dans un tableau: Footnotes in a table
notes en bas de page, paramètres: Footnote parameters
Notes en marge: Marginal notes
nouvelle commande, définition: Class and package commands
nouvelle commande, vérification: Class and package commands
nouvelle commandes, définir: \newcommand & \renewcommand
nouvelle ligne, commencer une: \\
nouvelle ligne, commencer une (mode paragraphe): \newline
nouvelle page, commencer: \newpage
nouvelles classes, commandes: Class and package construction
numéro d’équation, omettre: eqnarray
numéro d’équation, référence croisée: \ref
numéro de figure, référence croisée: \ref
numéro de note en bas de page, référence croisée: \ref
numéro de page, référence croisée: \pageref
numéro de rubrique, référence croisée: \ref
numéros de rubrique, composition: Sectioning
numérotation de page, style: \pagenumbering

O
o e liés: Non-English characters
o, e dans l’o: Non-English characters
obèle double, dans le texte: Text symbols
obèle, dans le texte: Text symbols
obèle, dans le texte: Text symbols
officieuse, nature de ce document: About this document
ogonek, diacritique: Accents
option stable du paquetage footmisc: Footnotes in section headings
options de classe: Document class options
options de classe de document: Document class options
options globales: Document class options
options globales: Additional packages
options pour classe de document: Class and package structure
options pour paquetage: Class and package structure
options, class: Class and package commands
options, classe de document: Document class options
options, package: Class and package commands
Ordinaux espagnols, féminin et masculin: Text symbols
Ordinaux, féminin et masculin: Text symbols
oslash: Non-English characters
ouvrant, , guillemet-apostrophe simple: Text symbols

P
package options: Class and package commands
page de flottants: Floats
page styles: Page styles
page, paramètres de mise en page: Page layout parameters
pages de titre, création: titlepage
pages, saut: Page breaking
paquet de macro, LaTeX en tant que: Overview
paquetage, disposition du fichier: Class and package structure
paquetage, options: Class and package structure
paquetages, le chargement: Additional packages
paragraphe, mode: \parbox
paragraphe, symbole: Text symbols
paragraphes: Making paragraphs
paramètre positionnel: \newcommand & \renewcommand
paramètre positionnel: \newenvironment & \renewenvironment
paramètres, la mise en page: Page layout parameters
paramètres, pour notes en bas de page: Footnote parameters
partitionner le fichier d’entrée: Splitting the input
patron de document: Document templates
patron, beamer: beamer template
patron, book: book template
patron, TUGboat: tugboat template
pdfTeX: Output files
pdfTeX, moteur: TeX engines
pica: Units of length
Pied-de-mouche: Text symbols
pièces jointes, liste: \encl
placement des flottants: Floats
Point: Units of length
point centré, dans le texte: Text symbols
point d’exclamation culbuté: Text symbols
point d’interrogation culbuté: Text symbols
point Didot: Units of length
point en chef, diacritique: Accents
Point proportionné (Scaled point): Units of length
point suscrit, diacritique: Accents
points de suspension: Text symbols
police de largeur fixe: Font styles
police inclinée: Font styles
police machine à écrire: Font styles
police oblique: Font styles
police petites capitales: Font styles
police romaine: Font styles
police, symboles par leur numéro: Symbols by font position
polices de caractères: Fonts
polices OpenType: TeX engines
polices TrueType: TeX engines
polices, commandes pour déclarer de nouvelles: \newfont
position, dans un dessin picture: picture
postscriptum, dans une lettre: \ps
poésie, un environnement pour la: verse
prononciation: Overview
préambule, définition: Starting and ending
prédéfinies, longueurs: Predefined lengths
puce, dans le texte: Text symbols

Q
quad: Spacing in math mode

R
racine, fichier: Splitting the input
rapports d’anomalies: About this document
rapports de bogues: About this document
redefining environnements: \newenvironment & \renewenvironment
remarks in the marge: Marginal notes
renfoncement des paragraphes dans du texte cité: quotation and quote
renfoncement des paragraphes dans un texte cité, omettre: quotation and quote
Renfoncement des paragraphes, au sein d’une minipage: minipage
renfoncement, forcer: \indent
renfoncement, forcer: \indent
renfoncement, supprimer: \noindent
renvoi en aval, résolution: Output files
renvoi, résolution: Output files
robuste, commande: \protect
rond en chef, diacritique: Accents
rond, grand symbole, dans le texte: Text symbols
rubricage: Sectioning
référence bibiliographique, clef: \bibitem
référence croisée avec numéro de page: \pageref
référence croisée, symbolique: \ref
référence déclarée en aval: Cross references
références croisées: Cross references
réglage de compteurs: \setcounter
réservés, caractères: Reserved characters
résumé: abstract

S
s long: Non-English characters
sans serif: Font styles
saut de ligne: \newline
saut de ligne, forcer: \\
saut de ligne, sortie semblable à l’entrée pour le: \obeycr & \restorecr
saut de page: Page breaking
saut de page, empécher: \pagebreak & \nopagebreak
saut de page, forcer: \pagebreak & \nopagebreak
saut à la ligne: Line breaking
sauter à la ligne: Line breaking
sauts de ligne, empêcher: \linebreak & \nolinebreak
sauts de ligne, forcer: \linebreak & \nolinebreak
section, symbole: Text symbols
signes diacrtitiques: Accents
simple droit, guillemet-apostrophe: Text symbols
simple, guillemet-apostrophe: Text symbols
simple, guillemet-apostrophe culbuté: Text symbols
simuler du texte tapuscrit: verbatim
sortie à deux colonnes: \twocolumn
sortie à une colonne: \onecolumn
souligné, dans le texte: Text symbols
source logiciel, composer du: verbatim
speciaux, caractères: Non-English characters
spéciaux, caractères: Reserved characters
spécificateur, placement de flottants: Floats
stable, option du paquetage footmisc: Footnotes in section headings
sterling, symbole: Text symbols
style de numérotation de page: \pagenumbering
styles de police: Font styles
styles de texte: Font styles
styles typographiques: Font styles
styles, page: Page styles
supérieur à, symbole dans le texte: Text symbols
suspension, points de: Text symbols
symbole de multiplication, saut de ligne discretionnaire: Math miscellany
symbole droit d’auteur: Text symbols
symbole marque de fabrique: Text symbols
symbole marque déposée: Text symbols
symbole puce: Math symbols
symbole vecteur en math: Math accents
symboles d’une police, par leur numéro: Symbols by font position
symboles mathématiques: Math symbols
symboles texte: Text symbols
symbols, mathématiques: Math symbols

T
table des matière, création: Tables of contents
table des matières, fichier: Output files
table des matières, éviter les notes en bas de page: Footnotes in section headings
table of contents entry, manually adding: \addcontentsline
tableaux mathématiques: array
tableaux, créer: table
taille de conception, au sein d’une définition de police: \newfont
tailles de police: Font sizes
tailles de texte: Font sizes
tailles des polices de caractères: Font sizes
taquets des tabulation, utiliser: tabbing
TeX, logo: Text symbols
texte cité avec renfoncement des paragraphes, affichage: quotation and quote
texte cité sans renfoncement des paragraphes, affichage: quotation and quote
texte drapeau droit: \raggedright
texte drapeau droit, environnement pour: flushleft
texte drapeau gauche: \raggedleft
texte drapeau gauche, environnement pour: flushright
texte fer à gauche: \raggedright
texte fer à gauche, environnement pour: flushleft
texte ferré à gauche: \raggedright
texte ferré à gauche, environnement pour: flushleft
texte sur plusieurs colonnes: \twocolumn
texte tapuscrit, simulation de: verbatim
texte verbatim: verbatim
texte verbatim, en-ligne: \verb
thickspace: Spacing in math mode
thinspace: Spacing in math mode
thorn, lettre islandaise: Non-English characters
théorème, environnement simili-: \newtheorem
théorèmes, composition des: theorem
théorèmes, définition: \newtheorem
tilde ASCII, dans le texte: Text symbols
tilde, diacritique: Accents
tirant suscrit, diacritique: Accents
tiret bas, dans le texte: Text symbols
trois-quarts, cadratin: Text symbols
tréma hongrois, accent: Accents
tréma hongrois, diacritique: Accents

U
unités, de longueur: Units of length
UTF-8: TeX engines
utilisation de BibTeX: Using BibTeX

V
variables, a list of: Counters
verticale infinie, dilatation: \vfill
verticale, barre dans le texte: Text symbols
verticale, espace: \vspace
visible, symbole espace, dans le texte: Text symbols

W
wide hat accent, math: Math accents
wide tilde accent, math: Math accents

X
x, hauteur d’un: Units of length
XeTeX: TeX engines
xindy, programle: Indexes

É
écrire des lettres: Letters
écrire un fichier externe: filecontents
équations, aligner: eqnarray
équations, environnement pour: equation
étiquette: Cross references
étiquette tapuscrite dans les listes: description
étirement, omettre l’étirement vertical: \raggedbottom
étoilées, variantes de commandes: \@ifstar

Aller à:   *   .   \   «  
A   B   C   D   E   F   G   I   J   K   L   M   N   O   P   Q   R   S   T   U   V   W   X   É  

Précédent: , Monter: Top   [Table des matières][Index]

Index des commandes

Aller à:   $   &   .   [   \   ^   _   {  
A   B   C   D   E   F   G   H   I   L   M   O   P   Q   S   T   U   V   X  
Entrée d’index  Section

$
$: Math formulas

&
&: tabular

.
.aux fichier: Output files
.fd fichier: \newfont
.lof fichier: Output files
.lot fichier: Output files
.pdf fichier: Output files
.toc fichier: Output files
.toc, fichier: Tables of contents
.xdv fichier: TeX engines

[
[...] pour les arguments optionnels: LaTeX command syntax

\
\ caractère de début des commandes: LaTeX command syntax
\!: Spacing in math mode
\" (accent tréma): Accents
\#: Reserved characters
\$: Reserved characters
\%: Reserved characters
\&: Reserved characters
\' (acute accent): Accents
\' (tabbing): tabbing
\(: Math formulas
\): Math formulas
\*: Math miscellany
\+: tabbing
\,: Spacing in math mode
\-: tabbing
\- (césure): \- (hyphenation)
\. (dot-over accent): Accents
\/: \/
\:: Spacing in math mode
\;: Spacing in math mode
\<: tabbing
\= (macron accent): Accents
\= (tabbing): tabbing
\>: tabbing
\>: Spacing in math mode
\> (tabbing): tabbing
\@fnsymbol: \footnote
\@ifstar: \@ifstar
\a (tabbing): tabbing
\a' (acute accent in tabbing): tabbing
\a= (macron accent in tabbing): tabbing
\aa (å): Non-English characters
\AA (Å): Non-English characters
\acute: Math accents
\addcontentsline{ext}{unit}{texte}: \addcontentsline
\address: \address
\addtocontents{ext}{texte}: \addtocontents
\addtocounter: \addtocounter
\addtolength: \addtolength
\addvspace: \addvspace
\ae (æ): Non-English characters
\AE (Æ): Non-English characters
\aleph: Math symbols
\alinea: Sectioning
\alph: \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol
\Alph: \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol
\Alph example: enumerate
\alpha: Math symbols
\alsoname: Indexes
\amalg: Math symbols
\angle: Math symbols
\appendix: Sectioning
\approx: Math symbols
\arabic: \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol
\arccos: Math functions
\arcsin: Math functions
\arctan: Math functions
\arg: Math functions
\arraycolsep: array
\arrayrulewidth: tabular
\arraystretch: tabular
\ast: Math symbols
\asymp: Math symbols
\AtBeginDocument: \AtBeginDocument
\AtBeginDvi: Class and package commands
\AtEndDocument: \AtEndDocument
\AtEndOfClass: Class and package commands
\AtEndOfPackage: Class and package commands
\a` (grave accent in tabbing): tabbing
\b (accent barre-souscrite): Accents
\backslash: Math symbols
\bar: Math accents
\baselineskip: Low-level font commands
\baselinestretch: Low-level font commands
\begin: Environments
\beta: Math symbols
\bf: Font styles
\bfseries: Font styles
\bibitem: \bibitem
\bibliography: Using BibTeX
\bibliographystyle: Using BibTeX
\bigcap: Math symbols
\bigcirc: Math symbols
\bigcup: Math symbols
\bigodot: Math symbols
\bigoplus: Math symbols
\bigotimes: Math symbols
\bigskip: \bigskip \medskip \smallskip
\bigskipamount: \bigskip \medskip \smallskip
\bigsqcup: Math symbols
\bigtriangledown: Math symbols
\bigtriangleup: Math symbols
\biguplus: Math symbols
\bigvee: Math symbols
\bigwedge: Math symbols
\bmod: Math functions
\boldmath: Math formulas
\bot: Math symbols
\bottomfraction: Floats
\bottomnumber: Floats
\bowtie: Math symbols
\Box: Math symbols
\breve: Math accents
\bullet: Math symbols
\c (cédille): Accents
\cal: Font styles
\cap: Math symbols
\capitalacute: Accents
\capitalbreve: Accents
\capitalcaron: Accents
\capitalcedilla: Accents
\capitalcircumflex: Accents
\capitaldieresis: Accents
\capitaldotaccent: Accents
\capitalgrave: Accents
\capitalhungarumlaut: Accents
\capitalmacron: Accents
\capitalnewtie: Accents
\capitalogonek: Accents
\capitalring: Accents
\capitaltie: Accents
\capitaltilde: Accents
\caption: figure
\caption: table
\cc: \cc
\cdot: Math symbols
\cdots: Math miscellany
\centering: \centering
\chapter (seulement pour classes report et book): Sectioning
\check: Math accents
\CheckCommand: Class and package commands
\CheckCommand*: Class and package commands
\chi: Math symbols
\circ: Math symbols
\circle: \circle
\cite: \cite
\ClassError: Class and package commands
\ClassInfo: Class and package commands
\ClassInfoNoLine: Class and package commands
\ClassWarning: Class and package commands
\ClassWarningNoLine: Class and package commands
\cleardoublepage: \cleardoublepage
\clearpage: \clearpage
\cline: \cline
\closing: \closing
\clubsuit: Math symbols
\columnsep: \twocolumn
\columnseprule: \twocolumn
\columnwidth: \twocolumn
\complement: Math symbols
\cong: Math symbols
\contentsline: \addcontentsline
\coprod: Math symbols
\copyright: Text symbols
\cos: Math functions
\cosh: Math functions
\cot: Math functions
\coth: Math functions
\csc: Math functions
\cup: Math symbols
\CurrentOption: Class and package commands
\d (dot-under accent): Accents
\dag: Text symbols
\dagger: Math symbols
\dashbox: \dashbox
\dashv: Math symbols
\day: \day \month \year
\dblfloatpagefraction: \twocolumn
\dblfloatsep: \twocolumn
\dbltextfloatsep: \twocolumn
\dbltopfraction: \twocolumn
\ddag: Text symbols
\ddagger: Math symbols
\ddot: Math accents
\ddots: Math miscellany
\DeclareOption: Class and package commands
\DeclareOption*: Class and package commands
\DeclareRobustCommand: Class and package commands
\DeclareRobustCommand*: Class and package commands
\deg: Math functions
\Delta: Math symbols
\delta: Math symbols
\depth: Predefined lengths
\det: Math functions
\dh (ð): Non-English characters
\DH (Ð): Non-English characters
\Diamond: Math symbols
\diamond: Math symbols
\diamondsuit: Math symbols
\dim: Math functions
\displaystyle: Math formulas
\div: Math symbols
\dj: Non-English characters
\DJ: Non-English characters
\documentclass: Document classes
\dot: Math accents
\doteq: Math symbols
\dotfill: \hrulefill \dotfill
\dots: Text symbols
\doublerulesep: tabular
\downarrow: Math symbols
\Downarrow: Math symbols
\ell: Math symbols
\em: Font styles
\emph: Font styles
\emptyset: Math symbols
\encl: \encl
\end: Environments
\enlargethispage: \enlargethispage
\enumi: enumerate
\enumii: enumerate
\enumiii: enumerate
\enumiv: enumerate
\epsilon: Math symbols
\equiv: Math symbols
\espace: \(SPACE) and \@
\eta: Math symbols
\evensidemargin: Document class options
\ExecuteOptions: Class and package commands
\exists: Math symbols
\exp: Math functions
\extracolsep: tabular
\fbox: \fbox and \framebox
\fboxrule: \framebox (picture)
\fboxrule: \fbox and \framebox
\fboxsep: \framebox (picture)
\fboxsep: \fbox and \framebox
\fill: \hfill
\flat: Math symbols
\floatpagefraction: Floats
\floatsep: Floats
\flushbottom: \flushbottom
\fnsymbol: \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol
\fnsymbol, et note en bas de page: \footnote
\fontencoding: Low-level font commands
\fontfamily: Low-level font commands
\fontseries: Low-level font commands
\fontshape: Low-level font commands
\fontsize: Low-level font commands
\footnote: \footnote
\footnotemark: \footnotemark
\footnoterule: Footnote parameters
\footnotesep: Footnote parameters
\footnotesize: Font sizes
\footnotetext: \footnotetext
\footskip: Page layout parameters
\forall: Math symbols
\frac: Math miscellany
\frac{num}{dén}: Math miscellany
\frame: \frame
\framebox: \framebox (picture)
\framebox: \fbox and \framebox
\frenchspacing: \frenchspacing
\frown: Math symbols
\fussy: \fussy
\Gamma: Math symbols
\gamma: Math symbols
\gcd: Math functions
\ge: Math symbols
\geq: Math symbols
\gets: Math symbols
\gg: Math symbols
\glossary: Glossaries
\glossaryentry: Glossaries
\grave: Math accents
\guillemotleft («): Text symbols
\guillemotright (»): Text symbols
\guilsinglleft (‹): Text symbols
\guilsinglright (›): Text symbols
\H (tréma hongrois): Accents
\hat: Math accents
\hbar: Math symbols
\headheight: Page layout parameters
\headsep: Page layout parameters
\heartsuit: Math symbols
\height: Predefined lengths
\hfill: \hfill
\hline: \hline
\hom: Math functions
\hookleftarrow: Math symbols
\hookrightarrow: Math symbols
\hrulefill: \hrulefill \dotfill
\hsize: Page layout parameters
\hspace: \hspace
\huge: Font sizes
\Huge: Font sizes
\hyphenation: \hyphenation
\i (i sans point): Accents
\iff: Math symbols
\IfFileExists: Class and package commands
\ij (ij): Non-English characters
\IJ (IJ): Non-English characters
\il: Font styles
\Im: Math symbols
\imath: Math accents
\in: Math symbols
\include: \include
\includeonly: \includeonly
\indent: \indent
\index: Indexes
\indexentry: Indexes
\indexspace: Indexes
\inf: Math functions
\infty: Math symbols
\input: \input
\InputIfFileExists: Class and package commands
\int: Math symbols
\intextsep: Floats
\iota: Math symbols
\item: description
\item: description
\item: enumerate
\item: itemize
\itemindent: itemize
\itemsep: itemize
\itshape: Font styles
\j (j sans point): Accents
\jmath: Math accents
\Join: Math symbols
\k (ogonek): Accents
\kappa: Math symbols
\ker: Math functions
\kill: tabbing
\l (ł): Non-English characters
\L (Ł): Non-English characters
\label: \label
\labelenumi: enumerate
\labelenumii: enumerate
\labelenumiii: enumerate
\labelenumiv: enumerate
\labelitemi: itemize
\labelitemii: itemize
\labelitemiii: itemize
\labelitemiv: itemize
\labelsep: itemize
\labelwidth: itemize
\Lambda: Math symbols
\lambda: Math symbols
\land: Math symbols
\langle: Math symbols
\large: Font sizes
\Large: Font sizes
\LARGE: Font sizes
\LaTeX: Text symbols
\LaTeXe: Text symbols
\lbrace: Math symbols
\lbrack: Math symbols
\lceil: Math symbols
\ldots: Text symbols
\le: Math symbols
\leadsto: Math symbols
\left delim1 ... \right delim2: Math miscellany
\Leftarrow: Math symbols
\leftarrow: Math symbols
\lefteqn: eqnarray
\leftharpoondown: Math symbols
\leftharpoonup: Math symbols
\leftmargin: itemize
\leftmargini: itemize
\leftmarginii: itemize
\leftmarginiii: itemize
\leftmarginiv: itemize
\leftmarginv: itemize
\leftmarginvi: itemize
\Leftrightarrow: Math symbols
\leftrightarrow: Math symbols
\leq: Math symbols
\lfloor: Math symbols
\lg: Math functions
\lhd: Math symbols
\lim: Math functions
\liminf: Math functions
\limsup: Math functions
\line: \line
\linebreak: \linebreak & \nolinebreak
\linespread: Low-level font commands
\linethickness: \linethickness
\linewidth: Page layout parameters
\listoffigures: Tables of contents
\listoftables: Tables of contents
\listparindent: itemize
\ll: Math symbols
\ln: Math functions
\lnot: Math symbols
\LoadClass: Class and package commands
\LoadClassWithOptions: Class and package commands
\location: \location
\log: Math functions
\longleftarrow: Math symbols
\longleftrightarrow: Math symbols
\longmapsto: Math symbols
\longrightarrow: Math symbols
\lor: Math symbols
\lq: Text symbols
\makebox: \makebox
\makebox (picture): \makebox (picture)
\makeglossary: Glossaries
\makeindex: Indexes
\makelabels: \makelabels
\mapsto: Math symbols
\marginpar: Marginal notes
\marginparpush: Marginal notes
\marginparsep: Marginal notes
\marginparwidth: Marginal notes
\mathbf: Font styles
\mathcal: Font styles
\mathdollar: Math miscellany
\mathellipsis: Math miscellany
\mathnormal: Font styles
\mathparagraph: Math miscellany
\mathring: Math accents
\mathrm: Font styles
\mathsection: Math miscellany
\mathsf: Font styles
\mathsterling: Math miscellany
\mathtt: Font styles
\mathunderscore: Math miscellany
\mathversion: Font styles
\max: Math functions
\mbox: \mbox
\mdseries: Font styles
\medskip: \bigskip \medskip \smallskip
\medskipamount: \bigskip \medskip \smallskip
\medspace: Spacing in math mode
\mho: Math symbols
\mid: Math symbols
\min: Math functions
\models: Math symbols
\month: \day \month \year
\mp: Math symbols
\mu: Math symbols
\multicolumn: \multicolumn
\multiput: \multiput
\nabla: Math symbols
\name: \name
\natural: Math symbols
\ne: Math symbols
\nearrow: Math symbols
\NeedsTeXFormat: Class and package commands
\neg: Math symbols
\neq: Math symbols
\newcommand: \newcommand & \renewcommand
\newcounter: \newcounter
\newenvironment: \newenvironment & \renewenvironment
\newfont: \newfont
\newlength: \newlength
\newline: \newline
\newpage: \newpage
\newsavebox: \newsavebox
\newtheorem: \newtheorem
\newtie: Accents
\ng: Non-English characters
\NG: Non-English characters
\ni: Math symbols
\nocite: \nocite
\nofiles: Tables of contents
\noindent: \noindent
\nolinebreak: \linebreak & \nolinebreak
\nonfrenchspacing: \frenchspacing
\nonumber: eqnarray
\nopagebreak: \pagebreak & \nopagebreak
\normalfont: Font styles
\normalmarginpar: Marginal notes
\normalsize: Font sizes
\not: Math symbols
\notin: Math symbols
\nu: Math symbols
\nwarrow: Math symbols
\o (ø): Non-English characters
\O (Ø): Non-English characters
\obeycr: \obeycr & \restorecr
\oddsidemargin: Document class options
\odot: Math symbols
\oe (œ): Non-English characters
\OE (Œ): Non-English characters
\oint: Math symbols
\oldstylenums: Font styles
\Omega: Math symbols
\omega: Math symbols
\ominus: Math symbols
\onecolumn: \onecolumn
\opening: \opening
\oplus: Math symbols
\OptionNotUsed: Class and package commands
\oslash: Math symbols
\otimes: Math symbols
\oval: \oval
\overbrace{math}: Math miscellany
\overline{texte}: Math miscellany
\owns: Math symbols
\P: Text symbols
\PackageError: Class and package commands
\PackageInfo: Class and package commands
\PackageInfoNoLine: Class and package commands
\PackageWarning: Class and package commands
\PackageWarningNoLine: Class and package commands
\pagebreak: \pagebreak & \nopagebreak
\pagenumbering: \pagenumbering
\pageref: \pageref
\paperheight: Page layout parameters
\paperwidth: Page layout parameters
\paragraph: Sectioning
\paragraph: Sectioning
\parallel: Math symbols
\parbox: \parbox
\parindent: minipage
\parindent: \indent
\parsep: itemize
\parskip: \parskip
\parskip exemple: itemize
\part: Sectioning
\partial: Math symbols
\partopsep: itemize
\PassOptionsToClass: Class and package commands
\PassOptionsToPackage: Class and package commands
\pdfpageheight: Document class options
\pdfpagewidth: Document class options
\perp: Math symbols
\phi: Math symbols
\Pi: Math symbols
\pi: Math symbols
\pm: Math symbols
\pmod: Math functions
\poptabs: tabbing
\poptabs: tabbing
\pounds: Text symbols
\Pr: Math functions
\prec: Math symbols
\preceq: Math symbols
\prime: Math symbols
\printindex: Indexes
\ProcessOptions: Class and package commands
\ProcessOptions*: Class and package commands
\prod: Math symbols
\propto: Math symbols
\protect: \protect
\ProvidesClass: Class and package commands
\ProvidesFile: Class and package commands
\ProvidesPackage: Class and package commands
\ps: \ps
\Psi: Math symbols
\psi: Math symbols
\pushtabs: tabbing
\put: \put
\qquad: Spacing in math mode
\quad: Spacing in math mode
\quotedblbase („): Text symbols
\quotesinglbase (‚): Text symbols
\r (ring accent): Accents
\raggedbottom: \raggedbottom
\raggedleft: \raggedleft
\raggedright: \raggedright
\raisebox: \raisebox
\rangle: Math symbols
\rbrace: Math symbols
\rbrack: Math symbols
\rceil: Math symbols
\Re: Math symbols
\ref: \ref
\refstepcounter: \refstepcounter
\renewenvironment: \newenvironment & \renewenvironment
\RequirePackage: Class and package commands
\RequirePackageWithOptions: Class and package commands
\restorecr: \obeycr & \restorecr
\restriction: Math symbols
\revemptyset: Math symbols
\reversemarginpar: Marginal notes
\rfloor: Math symbols
\rhd: Math symbols
\rho: Math symbols
\right: Math miscellany
\Rightarrow: Math symbols
\rightarrow: Math symbols
\rightharpoondown: Math symbols
\rightharpoonup: Math symbols
\rightleftharpoons: Math symbols
\rightmargin: itemize
\rm: Font styles
\rmfamily: Font styles
\roman: \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol
\Roman: \alph \Alph \arabic \roman \Roman \fnsymbol
\rq: Text symbols
\rule: \rule
\S: Text symbols
\sautdeligne: \(SPACE) and \@
\savebox: \savebox
\sbox: \sbox
\sc: Font styles
\scriptsize: Font sizes
\scshape: Font styles
\searrow: Math symbols
\sec: Math functions
\section: Sectioning
\seename: Indexes
\selectfont: Low-level font commands
\setcounter: \setcounter
\setlength: \setlength
\setminus: Math symbols
\settodepth: \settodepth
\settoheight: \settoheight
\settowidth: \settowidth
\sf: Font styles
\sffamily: Font styles
\sharp: Math symbols
\shortstack: \shortstack
\Sigma: Math symbols
\sigma: Math symbols
\signature: \signature
\signature: \signature
\sim: Math symbols
\simeq: Math symbols
\sin: Math functions
\sinh: Math functions
\sl: Font styles
\slshape: Font styles
\small: Font sizes
\smallint: Math symbols
\smallskip: \bigskip \medskip \smallskip
\smallskipamount: \bigskip \medskip \smallskip
\smile: Math symbols
\spadesuit: Math symbols
\sqcap: Math symbols
\sqcup: Math symbols
\sqrt[nième]{arg}: Math miscellany
\sqsubset: Math symbols
\sqsubseteq: Math symbols
\sqsupset: Math symbols
\sqsupseteq: Math symbols
\ss (ß): Non-English characters
\SS (SS): Non-English characters
\stackrel{texte}{relation}: Math miscellany
\star: Math symbols
\stepcounter: \stepcounter
\stop: Command line
\subset: Math symbols
\subseteq: Math symbols
\subsubsection: Sectioning
\succ: Math symbols
\succeq: Math symbols
\sum: Math symbols
\sup: Math functions
\suppressfloats: Floats
\supset: Math symbols
\supseteq: Math symbols
\surd: Math symbols
\swarrow: Math symbols
\symbol: Symbols by font position
\t (tie-after accent): Accents
\tabbingsep: tabbing
\tabcolsep: tabular
\tableofcontents: Tables of contents
\tabulation: \(SPACE) and \@
\tan: Math functions
\tanh: Math functions
\tau: Math symbols
\telephone: \telephone
\TeX: Text symbols
\textascendercompwordmark: Text symbols
\textasciicircum: Text symbols
\textasciitilde: Text symbols
\textasteriskcentered: Text symbols
\textbackslash: Reserved characters
\textbackslash: Text symbols
\textbar: Text symbols
\textbardbl: Text symbols
\textbf: Font styles
\textbigcircle: Text symbols
\textbraceleft: Text symbols
\textbraceright: Text symbols
\textbullet: Text symbols
\textcapitalcompwordmark: Text symbols
\textcircled{lettre}: Text symbols
\textcompwordmark: Text symbols
\textcopyright: Text symbols
\textdagger: Text symbols
\textdaggerdbl: Text symbols
\textdollar (ou \$): Text symbols
\textellipsis: Text symbols
\textemdash (ou ---): Text symbols
\textendash (ou --): Text symbols
\texteuro: Text symbols
\textexclamdown (ou !`): Text symbols
\textfloatsep: Floats
\textfraction: Floats
\textgreater: Text symbols
\textheight: Page layout parameters
\textit: Font styles
\textleftarrow: Text symbols
\textless: Text symbols
\textmd: Font styles
\textnormal: Font styles
\textordfeminine: Text symbols
\textordmasculine: Text symbols
\textparagraph: Text symbols
\textperiodcentered: Text symbols
\textquestiondown (ou ?`): Text symbols
\textquotedblleft (ou ``): Text symbols
\textquotedblright (ou ''): Text symbols
\textquoteleft (ou `): Text symbols
\textquoteright (ou '): Text symbols
\textquotesingle: Text symbols
\textquotestraightbase: Text symbols
\textquotestraightdblbase: Text symbols
\textregistered: Text symbols
\textrightarrow: Text symbols
\textrm: Font styles
\textsc: Font styles
\textsf: Font styles
\textsl: Font styles
\textsterling: Text symbols
\textthreequartersemdash: Text symbols
\texttrademark: Text symbols
\texttt: Font styles
\texttwelveudash: Text symbols
\textunderscore: Text symbols
\textup: Font styles
\textvisiblespace: Text symbols
\textwidth: Page layout parameters
\th (þ): Non-English characters
\TH (Þ): Non-English characters
\theta: Math symbols
\thicklines: \thicklines
\thickspace: Spacing in math mode
\thinlines: \thinlines
\thinspace: Spacing in math mode
\thinspace: \thinspace
\thispagestyle: \thispagestyle
\tilde: Math accents
\times: Math symbols
\tiny: Font sizes
\to: Math symbols
\today: \today
\top: Math symbols
\topfraction: Floats
\topmargin: Page layout parameters
\topnumber: Floats
\topsep: itemize
\topskip: Page layout parameters
\totalheight: Predefined lengths
\totalnumber: Floats
\triangle: Math symbols
\triangleleft: Math symbols
\triangleright: Math symbols
\tt: Font styles
\ttfamily: Font styles
\twocolumn: \twocolumn
\typein: \typein
\typeout: \typeout
\u (breve accent): Accents
\unboldmath: Math formulas
\underbar: Accents
\underbrace{math}: Math miscellany
\underline{texte}: Math miscellany
\unitlength: picture
\unlhd: Math symbols
\unrhd: Math symbols
\Uparrow: Math symbols
\uparrow: Math symbols
\Updownarrow: Math symbols
\updownarrow: Math symbols
\upharpoonright: Math symbols
\uplus: Math symbols
\upshape: Font styles
\Upsilon: Math symbols
\upsilon: Math symbols
\usebox: \usebox
\usecounter: \usecounter
\usefont: Low-level font commands
\usepackage: Additional packages
\v (breve accent): Accents
\value: \value
\vanothing: Math symbols
\varepsilon: Math symbols
\varphi: Math symbols
\varpi: Math symbols
\varrho: Math symbols
\varsigma: Math symbols
\vartheta: Math symbols
\vdash ⊢ Taquet droit ; prouve, implique ;: Math symbols
\vdots: Math miscellany
\vec: Math accents
\vector: \vector
\vee: Math symbols
\verb: \verb
\Vert: Math symbols
\vert: Math symbols
\vfill: \vfill
\vline: \vline
\vspace: \vspace
\wedge: Math symbols
\widehat: Math accents
\widetilde: Math accents
\width: Predefined lengths
\wp: Math symbols
\wr: Math symbols
\Xi: Math symbols
\xi: Math symbols
\year: \day \month \year
\zeta: Math symbols
\[: Math formulas
\\ (for eqnarray): eqnarray
\\ (pour center): center
\\ (pour flushright): flushright
\\ (pour les objets \shortstack): \shortstack
\\ (tabbing): tabbing
\\ for flushleft: flushleft
\\ force un saut de ligne: \\
\\ pour les lettres: Letters
\\ pour tabular: tabular
\\ pour verse: verse
\\* (pour eqnarray): eqnarray
\]: Math formulas
\^: Reserved characters
\^ (accent circonflexe): Accents
\_: Reserved characters
\` (accent grave): Accents
\` (tabbing): tabbing
\{: Reserved characters
\|: Math symbols
\}: Reserved characters
\~: Reserved characters
\~ (accent tilde): Accents

^
^: Subscripts & superscripts

_
_: Subscripts & superscripts

{
{...} pour les arguments obligatoires: LaTeX command syntax

A
abstract, environnement: abstract
amsmath, paquetage: array
amsmath, paquetage: displaymath
array, environnement: array

B
bp: Units of length

C
cc: Units of length
center, environnement: center
classe article: Document classes
classe book: Document classes
classe letter: Document classes
classe report: Document classes
classe slides: Document classes
cm: Units of length
commande dvipdfmx: Output files
commande dvips: Output files
commande dvitype: Output files
commande latex: Output files
commande pdflatex: Output files
commande xdvi: Output files

D
datetime, paquetage: \today
dd: Units of length
description, environnement: description
displaymath, environnement: displaymath
displaymath, environnement: Math formulas
document, environnement: document

E
em: Units of length
enumerate, environnement: enumerate
environnement abstract: abstract
environnement array: array
environnement center: center
environnement description: description
environnement displaymath: displaymath
environnement displaymath: Math formulas
environnement document: document
environnement enumerate: enumerate
environnement eqnarray: eqnarray
environnement equation: equation
environnement equation: Math formulas
environnement figure: figure
environnement filecontents: filecontents
environnement filecontents*: filecontents
environnement flushleft: flushleft
environnement flushright: flushright
environnement itemize: itemize
environnement letter: letter
environnement list: list
environnement math: math
environnement math: Math formulas
environnement minipage: minipage
environnement picture: picture
environnement quotation: quotation and quote
environnement quote: quotation and quote
environnement tabbing: tabbing
environnement table: table
environnement tabular: tabular
environnement thebibliography: thebibliography
environnement theorem: theorem
environnement titlepage: titlepage
environnement verbatim: verbatim
environnement verse: verse
eqnarray, environnement: eqnarray
equation, environnement: equation
equation, environnement: Math formulas
etex, commande: TeX engines
etoolbox, paquetage Le paquetage etoolbox offre les commandes: Class and package commands
ex: Units of length

F
fichier .dvi: Output files
fichier .log: Output files
figure, environnement: figure
filecontents*, environnement: filecontents
filecontents, environnement: filecontents
first-latex-doc document: About this document
flafter, paquetage: Floats
float, paquetage: Floats
flushleft, environnement: flushleft
flushright, environnement: flushright
footmisc, paquetage: Footnotes in section headings

G
geometry, paquetage Lorsque on utilise l'un des moteurs pdfLaTeX,: Document class options

H
http://puszcza.gnu.org.ua/software/latexrefman/ page d’accueil: About this document

I
in: Units of length
itemize, environnement: itemize

L
latex-doc-ptr document: About this document
latexrefman@tug.org adresse mél.: About this document
letter, environnement: letter
list, environnement: list
lR box: picture
lrbox: lrbox
lshort document: About this document
lualatex commande: TeX engines

M
macros2e, paquetage: \makeatletter and \makeatother
makeidx, paquetage: Indexes
math, environnement: math
math, environnement: Math formulas
minipage, environnement: minipage
mm: Units of length
mu: Units of length
multind, paquetage: Indexes

O
option 10pt: Document class options
option 11pt: Document class options
option 12pt: Document class options
option a4paper: Document class options
option a5paper: Document class options
option b5paper: Document class options
option draft: Document class options
option executivepaper: Document class options
option final: Document class options
option fleqn: Document class options
option landscape: Document class options
option legalpaper: Document class options
option leqno: Document class options
option letterpaper: Document class options
option notitlepage: Document class options
option onecolumn: Document class options
option oneside: Document class options
option openany: Document class options
option openbib: Document class options
option openright: Document class options
option titlepage: Document class options
option twocolumn: Document class options
option twoside: Document class options

P
paquetage amsmath: array
paquetage amsmath: displaymath
paquetage datetime: \today
paquetage etoolbox: Class and package commands
paquetage flafter: Floats
paquetage float: Floats
paquetage footmisc: Footnotes in section headings
paquetage geometry: Document class options
paquetage macros2e: \makeatletter and \makeatother
paquetage makeidx: Indexes
paquetage multind: Indexes
paquetage picture: picture
paquetage setspace: Low-level font commands
paquetage showidx: Indexes
paquetage textcomp: Font styles
paquetage xspace: \(SPACE) after control sequence
pc: Units of length
picture, environnement: picture
picture, paquetage: picture
pouce (inch): Units of length
pt: Units of length

Q
quotation, environnement: quotation and quote
quote, environnement: quotation and quote

S
secnumdepth counter: Sectioning
setspace, paquetage: Low-level font commands
showidx, paquetage: Indexes
sp: Units of length

T
tabbing, environnement: tabbing
table, environnement: table
tabular, environnement: tabular
textcomp, paquetage: Font styles
textcomp, paquetage: Text symbols
thebibliography, environnement: thebibliography
theorem, environnement: theorem
titlepage, environnement: titlepage

U
usrguide documentation officielle: About this document

V
verbatim, environnement: verbatim
verse, environnement: verse

X
xdvipdfmx: TeX engines
xelatex commande: TeX engines
xspace, paquetage: \(SPACE) after control sequence

Aller à:   $   &   .   [   \   ^   _   {  
A   B   C   D   E   F   G   H   I   L   M   O   P   Q   S   T   U   V   X  

Notes de bas de page

(1)

Indépendant du périphérique de sortie, ce n’est toutefois pas un format portable de document

(2)

Format portable de document